À propos du Ragnarok en quelques mots:

Ragnarok est une série d’animation japonaise qui suit l’histoire d’un jeune garçon nommé Thor, qui doit sauver le monde de la destruction totale. Dans ce monde fantastique, les dieux nordiques se battent contre les géants pour le contrôle de l’univers. Thor doit trouver le courage et la force de vaincre ces ennemis pour sauver ses amis et sa famille. La série est remplie d’action, de combats épiques et de personnages mémorables. Avec une animation magnifique et une histoire captivante, Ragnarok est une série incontournable pour les fans d’animation japonaise.

Découvrez les personnages de Ragnarok

Magne

Magne, c’est l’archétype du héros timide qui explose quand il faut — un gamin tranquille mais avec une colère et une loyauté atomiques. Il marche comme s’il portait le monde sur ses épaules (ou alors c’est juste le sac de cours trop lourd, qui sait), et il a ce côté “je vais tout arranger” même quand il rame grave. Honnête, droit, un peu maladroit en amour, mais impossible de lui en vouloir parce qu’il a ce regard qui veut tout protéger. Parfois il est zen comme un moine, parfois il casse tout, et ça marche trop bien pour la tension dramatique.

Laurits

Laurits est le petit frère bizarre et fascinant — moitié ange, moitié cabotin maléfique, toujours prêt à balancer une réplique metalleuse ou à disparaître dans un coin sombre. Il a des sourires qui te dérangent et des accès de fragilité qui te cassent le cœur aussitôt, genre “je t’aime mais je vais te mettre mal à l’aise”. Il change d’humeur comme de chaussettes (et certaines chaussettes sentent vraiment le fromage, apparemment), c’est imprévisible et donc tellement addictif à suivre. On l’aime parce qu’il est un mystère ambulant, mais aussi parce qu’il peut être étonnamment doux — oui, parfois.

Saxa

Saxa a ce côté professeur-qui-en-sait-trop, mystérieuse, un peu sévère mais étonnamment drôle quand elle aime bien une personne (ce qui n’arrive pas souvent, dit-elle). Elle est solide, ancrée, on dirait une pierre polie qui te donne des réponses à moitié cryptiques et des biscuits quand tu pleures — ou était-ce l’inverse ? Elle a des secrets et probablement une collection étrange de timbres ou d’épées mythiques, franchement je ne sais plus. Bref, elle est indispensable, parfois froide, souvent surprenante, et toujours présente quand il faut (même si elle râle beaucoup).

Fjor

Fjor, le gosse riche et trop sûr de lui, l’archétype du « beau gosse compliqué » — arrogant, entraîné, charismatique mais avec un vide à l’intérieur qui le rend humain. Il peut être odieux et magnétique à la fois; on veut lui arracher les épaules et lui donner un câlin, contradiction parfaite. Il joue des codes de la puissance (sports, pouvoir, costume nickel) mais se débat avec des attentes familiales qui le bouffent. Et oui, parfois il se montre vulnérable avec un regard ou un silence — c’est ça qui rend le personnage nerveusement bon.

Turid

Turid, la maman guerrière et parfois trop protectrice, elle a des mains qui réparent tout et un sens de la survie béton (elle ferait fuir un troll à mains nues, je le jure). Elle est à la fois tendre et emmerdeuse — elle répète les mêmes conseils 700 fois mais on sent que c’est par amour, même si parfois elle en fait trop. Elle a des convictions, elle se bat pour sa ville, pour ses enfants, et elle ne sait pas garder un secret (ou peut-être qu’elle joue la carte du mystère, qui sait). Franchement, elle est la glue de la famille, un peu stricte, mais avec un humour sec qui te fait craquer.

Ran

Ran est le genre de fille froide en façade mais en réalité pleine d’embûches intérieures — classe, calculatrice parfois, mais pas méchante au fond (ou peut-être si, ça dépend du jour). Elle a un côté stratégique, du genre à toujours savoir où placer ses pions, et elle manipule sans en avoir l’air (sourire mauvais inclus). Pourtant il lui arrive d’être drôle et maladroite quand elle baisse la garde, et ça désarme complètement. Honnêtement, on n’arrive jamais à la lire, et c’est hyper fascinant (et frustrant, mais surtout fascinant).

Gry

Gry, explosion d’énergie et de colère juste au bon moment — militante, passionnée, tête brûlée mais adorante, elle fonce tête baissée pour ce en quoi elle croit. Elle est loyale au possible, parle vite, rit fort, et parfois pense après avoir agi (oui, parfois — pas toujours). Son cœur est grand, elle est brutale en amitié mais aussi ultra sensible, et elle a cette vibe de meilleure amie qu’on veut avoir (et accessoirement qui pourrait te sauver la vie). Petit détail inutile: elle a probablement une playlist de protest songs qui ferait pleurer un roc.

Vidar

Vidar, calme comme un lac et pourtant rempli de courants, il est ce personnage posé qui cache une tempête (ou alors il cache juste un chat, j’exagère peut-être). Mentor taciturne, un peu ancien, il parle peu mais pèse ses mots, et quand il agit c’est toujours pour quelque chose de lourd. Il a un passé mystérieux, on sent qu’il en sait long sur les légendes, et parfois il lâche des petites perles de sagesse qui te restent collées. Parfois il est doux et paternaliste, parfois il devient glaçant — bipolaire ? Non, juste compliqué, dans le bon sens.

Oscar

Oscar, le copain maladroit et loyal, petit génie socialement en panne mais avec un cœur énorme — il dit des choses bizarres mais il veut toujours aider. Il a des blagues nulles, un rire contagieux, et il s’emballe pour des projets improbables (un jour il veut sauver des phoques, le lendemain apprendre la guitare, et le lendemain tout ça à la fois). Il est hilarant, bouleversant, parfois courageux à des moments improbables, et c’est précisément pour ça qu’on l’adore. Oh, et il a une relation sérieuse avec son petit-déjeuner, ne le jugez pas.