À propos du Green Lantern en quelques mots:

Green Lantern est une série animée basée sur le personnage de bande dessinée DC Comics du même nom. La série suit les aventures de Hal Jordan, un pilote de chasse qui est choisi pour devenir un Green Lantern, un membre d’une force de police intergalactique qui utilise des anneaux de pouvoir pour protéger l’univers. Hal doit apprendre à maîtriser ses pouvoirs et à travailler avec les autres Green Lanterns pour vaincre les ennemis les plus dangereux de l’univers, y compris Sinestro et les Red Lanterns. La série est remplie d’action, de suspense et de personnages mémorables qui plairont aux fans de super-héros de tous âges.

Rencontrez les Corps de Lantern

Green Lantern Corps

Les Green Lanterns, c’est la force de la volonté pure — des types et des nanas qui ne lâchent rien et qui sculptent des réfrigérateurs volants avec la force de leur esprit (oui, parfois ils font des trucs bizarres). Hétéroclite à mort, tu peux trouver un avocat interstellaire, un cowboy et une créature végétale dans le même secteur, c’est magnifique et un peu chaotique. Ils sont sérieux sur leur devoir, mais souvent drôles sans le vouloir, genre « mission cosmique » puis pause café de cinq minutes. Paradoxalement très organisés et un peu désordonnés — comme une bibliothèque où tout est à sa place sauf la pile de BD sur la table.

Red Lantern Corps

Les Red Lanterns, omg la rage incarnée — rouge, sanglant, totalement dramatique, et ils crachent littéralement du plasma quand ils sont énervés (glamour, non?). Ce sont des machines à colère, souvent torturées et avec des codes très stricts sur la vengeance, mais attention, il y a parfois une loyauté touchante derrière tout ce feu. Ils grognent beaucoup, hurlent juste assez pour réveiller les étoiles voisines et peuvent être aussi doux qu’un ours en peluche quand ils décident d’épargner un chat (ou pas, dépend du jour). Bref, furieux mais étrangement romantiques, avec un faible pour les tatouages sinistres.

Orange Lantern Corps

L’Orange Corps, centré sur l’avarice — Larfleeze et sa collection de « cadeaux » volés, c’est un peu la métaphore du type qui garde des trucs dans des boîtes étiquetées « pour après ». Ego gigantesque, chaque Orange est une tornade « c’est à moi ! » et pourtant, jure que parfois ils partageraient une miette (ou pas, vraiment pas sûr). C’est à la fois hilarant et inquiétant, genre « je t’aime tellement que je veux tout garder pour moi ». Ils sont obsédés par les possessions, collectionnent des reliques ridicules et parlent à leurs choses comme si c’étaient des amis — hyper possessifs, mais tu peux pas t’empêcher d’être fasciné.

Sinestro Corps

Le Sinestro Corps respire la peur mais version élégante: costumes parfaits, stratèges, propagande bien ficelée et ce sens du spectacle très, très calculé. Ils veulent l’ordre, la peur est leur outil, parfois ils ressemblent à des chefs d’État impecs qui sourient trop. Il y a une beauté glaçante dans leur méthode — et ils te feront la leçon sur la civilisation juste après t’avoir menacé de t’effacer. Paradoxalement, certains membres peuvent être curieusement dévoués à ce qu’ils appellent « la paix » (ce qui veut dire contrôle total), et bon, ils ont un sens du style indéniable.

Blue Lantern Corps

Les Blue Lanterns, pure hope vibes — calmes, presque mystiques, genre groupe de poètes qui fait des miracles quand quelqu’un croit encore en quelque chose. Ils amplifient les Green et sont dramatiquement inutiles sans espoir autour d’eux (c’est pratique ou frustrant, selon comment tu le regardes). Leur énergie est douce, presque contagieuse, et je jure qu’ils tiennent des ateliers de méditation entre deux sauvetages galactiques. Ils sont parfois trop naïfs, mais quand la foi se rallume, attention, c’est de la puissance pure et très bleue.

Indigo Tribe

L’Indigo Tribe, mystérieux au possible — compassion extrême, guérison émotionnelle, et souvent silencieux comme des moines qui auraient lu trop de romans d’amour. Ils s’emparent des émotions pour réhabiliter les pires criminels (oui, méthode étrange), parlent peu mais leurs actions te retournent souvent l’estomac ou le cœur, parfois les deux. Il y a cette ambiance d’étrangeté bienveillante, comme si chaque membre avait un secret triste et une tasse de thé. Ils sont paradoxaux: froids à l’extérieur, incroyablement chauds quand ça compte, et ils ont apparemment un faible pour les cigarettes électroniques vintage (je crois?).

Star Sapphire Lantern Corps

Les Star Sapphires: amour, passion, jalousie à haute dose — du romantisme cosmique qui peut devenir un peu possessif (ok, beaucoup possessif). Elles/ils portent du rose et distribuent des cœurs-armes, très théâtral, souvent dramatiques et toujours avec un accessoire sentimental en plus (boucles d’oreilles, un souvenir… un ex). C’est l’amour porté à l’extrême, parfois adorable, parfois terrifiant quand ça vire obsessionnel. En gros, attends-toi à des déclarations publiques, des serments éternels et un sens du glamour intense, parfois gênant mais toujours sincère.

Black Lantern Corps

Le Black Corps, l’ambiance funèbre totale — mort, résurrection, froideur clinique et parfois des répliques qui te donnent des frissons (ou des rires nerveux). Ils manipulent la mort comme une matière, ramènent des gens mais pas dans un bon sens « bienvenue à la vie », plutôt « bienvenue dans le déjà-fini ». C’est sinistre, mélancolique, et bizarrement poétique; ils ont une playlist de berceuses macabres, je te jure. Absolument implacables, et ils semblent parfois calmes, trop calmes, comme un couloir vide après minuit.

White Lantern Corps

Les White Lanterns incarnent la vie — rare, pur, lumineux, une sorte de reset cosmique quand tout va mal (oui, très grand-mère sauveuse de monde). Ils gèrent l’équilibre entre création et destruction, peuvent ressusciter ou soigner ce qui est cassé, mais attention: ce pouvoir est aussi lourd qu’un manteau trop grand. Ils donnent des vibes d’espoir absolu mais parfois semblent un peu naïfs face à la complexité morose de l’univers. Puissants, presque mythiques, et parfois irritants parce qu’ils font tout paraître si simple (alors que non, c’est compliqué).