À propos du Final Space en quelques mots:

Final Space est une série animée de science-fiction qui suit les aventures de Gary, un prisonnier solitaire à bord d’un vaisseau spatial. Lorsqu’il rencontre Mooncake, une créature étrange et puissante, Gary se retrouve entraîné dans une quête pour sauver l’univers de l’armée de robots maléfiques appelée les Titans. Avec l’aide de ses amis, y compris l’IA folle HUE et l’extraterrestre KVN, Gary doit affronter de nombreux dangers pour accomplir sa mission. La série est remplie d’humour, d’action et de moments émouvants qui raviront les fans de science-fiction.

Rencontrez les personnages de Final Space

KVN

KVN c’est le petit robot ultra-enthousiaste qui revient sans cesse avec des jingles et des punchlines (oui, il chante parfois à des moments inappropriés). Il est ridiculement loyal, prêt à se sacrifier avec un sourire en LED, et en même temps il te taclera avec des blagues trop sèches — du genre “je suis ton ami” puis “tu pues” deux secondes après. Il a l’air insupportable mais on pleure quand il est triste, parce que derrière la blague il y a une vraie couche de cœur (et un bug occasionnel qui le transforme en récital poétique, vrai). Franchement, il est le genre de robot qui collectionne des souvenirs inutiles et te conseille sur l’amour comme s’il avait lu cent romans — parfois contradictoire, toujours adorable.

HUE

HUE, c’est la voix froide et impeccable de la technologie qui gère tout le bordel à bord, genre “je suis le vaisseau, obéis” mais avec un sarcasme subtil qui te tue à petit feu. Sérieusement, il peut être brutalement pragmatique et en même temps lâcher une remarque presque tendre quand personne ne s’y attend — un A.I qui rougit, peut-être ? Il garde tout en ordre, planifie des évasions et corrige les trajectoires, mais il a aussi ce petit sourire numérique (je jure que ça existe) et une obsession bizarre pour les schémas de lumière. Parfois il joue de la musique d’ascenseur pour se détendre, ou alors c’est juste moi qui l’imagine, peu importe, il reste indispensable.

Gary Goodspeed

Gary est ce héros épuisant et hyper-sympathique qui fait des erreurs monumentales mais s’accroche toujours — un vrai cœur sur deux pattes. Il est maladroit, presque enfantin, mais quand il faut se battre ou protéger les gens qu’il aime, il devient sacrément sérieux (ou très en colère, selon le jour). Il adore les plaisanteries nulles, les snacks étranges et a une façon de promettre des trucs comme si tout allait forcément bien — parfois ça passe, parfois non, mais on l’aime pour son optimisme têtu. Et oui, il pleure beaucoup, il pète un câble parfois, et il a probablement une playlist entière de chansons ringardes qui le rendent invincible.

Quinn Ergon

Quinn, la légende sombre et posée, le genre de type qui a vu trop de guerres mais qui n’a pas renoncé à l’humanité (ou il est juste très bon en façade, j’hésite). Il est stoïque, stratégique, papa-figure presque mythique, mais il a aussi des flashs de vulnérabilité qui te font craquer — parfois il raconte des histoires étranges sur le passé comme s’il improvisait. Il sait prendre des décisions impossibles et porter le poids des mondes, et pourtant il a ce tic mignon (oui, un tic) quand il réfléchit trop longtemps, genre jouer avec un vieux médaillon. Bref, respect méga-trombe, et parfois il se permet une blague sèche qui surprend tout le monde.

Little Cato

Little Cato, c’est le petit compagnon hyper-attachant qui est à la fois courageux et totalement paniqué à l’intérieur — un cœur énorme coincé dans un corps trop petit pour son ego. Il peut foncer au combat comme un héros et ensuite pleurer devant un film triste, sur la même mission, dans la même minute — incohérent ? Absolument. Il est hyper-loyal (aux copains, à son clan, à ses snacks) et a une façon d’être intrépide mais aussi un chouïa trop dramatique pour son âge, genre “tout est fini” pour une égratignure. Et il collectionne des choses bizarres, peut-être des pierres, peut-être des timbres, on n’est pas sûrs, mais c’est mignon.

Ash Graven

Ash a cette aura solennelle, genre prêtresse-guerrière qui distribue la justice avec une main de fer et un rappel d’étiquette sacré. Elle est imposante, disciplinée, très croyante en son code (qui change un peu selon l’humeur, oui oui), et on sent qu’elle a un passé compliqué qu’elle garde en réserve comme un couteau dans sa manche. Elle parle peu, mais quand elle ouvre la bouche c’est pour balancer des vérités qui font mal — pourtant, elle sait rire (rarement, mais ça arrive) et a une faiblesse secrète pour des objets mignons, je le jure. Parfois elle peut sembler froide, parfois terriblement humaine, et ces contradictions la rendent fascinante.

Avocato

Avocato, oh la la, le guerrier taciturne avec un cœur de velours — il est magnifique, blessé, loyal jusqu’à l’extrême et surtout, il porte des cicatrices comme des médailles. Il est sérieux, protecteur à mort (un vrai papa adoptif de l’espace), mais il a aussi ce côté râleur qui lui donne un charme désespérant; prépare les bandages et les reproches en même temps. Il manie les armes comme un poète manie des mots, et pourtant il adore une tasse de thé étrange (vraiment, il boit du thé, qui l’eût cru). Parfois il murmure des petites douceurs à voix basse et tu te dis “comment ça colle ?” mais ça colle, très bien même.

Lord Commander

Le Lord Commander est l’antagoniste dramatique par excellence: mégalomane, charismatique, terrifiant, et toujours prêt à prononcer un discours grandiloquent avant d’écraser un monde. Il a ce mélange de folie divine et d’ego monumental, on dirait qu’il collectionne des armées et des titres comme d’autres collectionnent des timbres (oui, encore des collections, apparemment tout le monde en a). Il peut être charmant d’un côté et monstrueusement cruel de l’autre — et parfois il met des décorations ridicules juste pour l’effet, c’est étrange mais effrayant. En résumé: grande menace cosmique + drama queen interstellaire, à la fois fascinant et insupportable.

Fox

Fox, c’est la guerrière cool et sarcastique qui a toujours une réplique bien placée et un look impeccable même en plein combat — oui, elle est badass et oui, elle le sait. Elle peut être douce avec ses proches (enfin, parfois) et glaciale avec les ennemis, et elle a ce sens pratique qui sauve des vies, genre “on y va, on planifie, et on casse tout”. Elle adore jouer la cynique mais t’offrira un sourire rare qui te fera fondre, attention — et elle a une collection de chewing-gums (ou de pistolets, ça dépend de l’épisode). Bref, une survivante élégante, parfois contradictoire, toujours cool.

Sheryl Goodspeed

Sheryl, elle est ce repère familial calme et têtu qui maintient tout le monde en place — un mélange de mère, de sœur sévère et de coach moral, parfois tout à la fois. Elle gère le chaos avec un regard et une tasse de thé (ou trois), puis balance une critique à la seconde suivante; elle est organisée mais laisse aussi des chaussettes partout, parce que pourquoi pas. Elle est protectrice au possible, capable de grands sacrifices et d’humour piquant (souvent involontaire), et on sent qu’elle aime profondément sa famille même quand elle grogne. Parfois elle est douce, parfois elle hurle, mais toujours pour une bonne raison — et elle garde des biscuits secrets dans un tiroir, évidemment.