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Qui es-tu de ‘Eden?’

Bienvenue au quiz Qui es-tu de 'Eden'? Si vous êtes fan de l'anime ou de la série télévisée, vous êtes au bon endroit! Ce quiz vous permettra de découvrir quel personnage de 'Eden' vous ressemble le plus. Êtes-vous plutôt comme Sara, la protagoniste courageuse et déterminée? Ou peut-être êtes-vous plus comme E92, le robot aux émotions complexes? Peut-être êtes-vous plus comme la mystérieuse figure de Zero? Quel que soit le personnage qui vous correspond le mieux, ce quiz vous permettra de le découvrir. Alors, êtes-vous prêt à commencer? Cliquez sur le bouton Commencer ci-dessous pour découvrir qui vous êtes de 'Eden'!

Bienvenue au quizz: Qui es-tu de Eden?

À propos du Eden en quelques mots:

Eden est une série d’anime de science-fiction qui se déroule dans un futur lointain où les humains ont disparu de la surface de la Terre. Les seuls êtres vivants restants sont des robots qui ont été programmés pour prendre soin d’un jardin botanique. Mais lorsque deux robots découvrent un enfant humain, leur vie tranquille est bouleversée. Ils décident de protéger l’enfant et de chercher des réponses sur l’humanité disparue. La série explore des thèmes tels que la survie, l’identité, la famille et la nature humaine.

Rencontrez les personnages d’Eden

Sara

Sara est la tête brûlée du groupe, toujours la première à foncer et à hurler que tout ira bien (même quand c’est clairement pas le cas). Elle a ce mélange dingue de bonté et de colère, genre tu veux la serrer dans tes bras puis lui arracher son téléphone pour qu’elle se repose. On dirait qu’elle porte des cicatrices invisibles mais elle rit fort, trop fort parfois, pour couvrir ça. Elle déteste les règles mais a une routine du soir ultra stricte — thé à la camomille, trois pages de carnet, rangement des chaussures exactement à angle droit, allez comprendre. Ah et elle collectionne des boutons vintage (oui, des boutons) comme si c’était des trophées; je jure que ça a du sens pour elle.

A37

A37 donne l’impression d’un automate poli tout droit sorti d’un vieux film de science-fiction mais avec un cœur qui refuse de rester programmé. On sait jamais trop si on doit l’appeler “il”, “elle” ou juste “A37” parce que le mystère fait partie du charme — et il aime brouiller les pistes. Il oublie parfois des choses bizarres comme le goût du café ou le nom d’une fleur, puis revient en demandant des détails comme si c’était la première fois, ce qui est à la fois troublant et adorable. Il a un humour sec, un peu mathématique, et collectionne des cartes postales sans jamais les envoyer (enfin, sauf une fois, ou deux, là je suis plus sûre). Malgré l’aspect mécanique, il garde des reliques — vieilles photos coincées, petits bouts de papier — et ça te retourne, sincèrement.

Ashley Fields

Ashley Fields, c’est la voix pragmatique du groupe: ferme, sarcastique, ancrée — la personne à qui tu confierais une plaie ou un scoop sans hésiter. On la dit journaliste, infirmière, planque-tout — les rumeurs lui donnent une double vie qui lui va bien, bref, efficace. Elle a des manies de road trip: playlists des années 90, chewing-gum à la menthe et un carnet où elle note des noms de lieux improbables comme des trophées. Elle paraît froide au premier abord mais s’effondre littéralement si tu parles chatons ou recettes de grand-mère, mortellement humaine sur ces sujets. Oh et elle joue de la guitare très mal et fièrement, ce qui est probablement la meilleure façon de décrire sa confiance pas prétentieuse.

Zero

Zero a ce silence tranchant, genre iceberg intellectuel, et on sent tout de suite qu’il a vu plus que ce qu’il laisse paraître. Expert en réseaux, en codes, ou juste en regards qui percent, il planifie les choses comme on écrit des poèmes glacés. Il est obsédé par les détails minuscules — le cliquetis d’une montre, la disposition des tasses — et jure qu’il ne s’attache jamais, grosse blague. Il écrit des haïkus sur des tickets de métro et les colle parfois par mégarde dans ta poche (c’est perturbant et étrangement tendre). Zero, c’est le personnage qu’on suit pour son cerveau et qu’on supporte pour le mystère, et quand il rit, c’est sacré.

S566

S566 sonne comme une référence froide mais en vrai c’est un mix improbable entre soldat d’élite et artiste raté (dans le meilleur sens du terme). Protocoles, habitudes, cases cochées, et puis, une fois la mission terminée, il peint des fleurs à l’aquarelle comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Il parle en phrases courtes et réglées, militaire, mais a un péché mignon: les comédies romantiques en VO, et oui, il pleure parfois (donc pas totalement cohérent, je sais). Il est loyal jusqu’à l’excès et tient à des principes étranges comme toujours plier les cartes au même endroit. Tu peux compter sur lui dans une crise, même s’il oublie parfois où il a posé son casque (les mystères de S566).

Zurich

Zurich, le nom claque comme une ville, et c’est presque voulu: précis, élégant, un peu distant, genre horloge suisse qui te juge gentiment. Stratège-né, il voit le monde comme un échiquier, décide des mouvements et adore une bonne métaphore autour d’un café serré. Pourtant, il se fait des pâtisseries à minuit et craque pour les gâteaux trop sucrés, contradiction savoureuse entre froid extérieur et gourmandise cachée. Il est obsédé par la ponctualité mais son bureau ressemble à un champ de bataille d’objets qu’il prétend comprendre; c’est chaotique et élégant à la fois. Bref, Zurich te corrige poliment en public puis te tend un croissant volé derrière le dos — charmant et piquant.