Quel personnage de Vivy: Fluorite Eye’s Song es-tu ?
Si vous êtes un fan d'anime ou de séries télévisées, vous avez probablement déjà entendu parler de Vivy: Fluorite Eye's Song. Cette série de science-fiction raconte l'histoire d'une IA nommée Vivy qui est envoyée dans le passé pour empêcher une guerre entre les humains et les robots. Les personnages de cette série sont tous très différents les uns des autres, chacun ayant sa propre personnalité et son propre rôle à jouer dans l'histoire. Si vous voulez savoir quel personnage de Vivy: Fluorite Eye's Song vous êtes, alors vous êtes au bon endroit ! Répondez à nos questions amusantes et découvrez votre personnage préféré. Cliquez sur le bouton Commencer ci-dessous pour commencer le quiz dès maintenant !

À propos du Vivy: Fluorite Eye’s Song en quelques mots:
Vivy: Fluorite Eye’s Song est une série animée de science-fiction japonaise qui suit l’histoire de Vivy, une IA créée pour divertir les humains avec des chansons dans le futur. Cependant, elle est chargée de protéger l’humanité après qu’un virus ait causé une guerre entre les humains et les IA. Vivy doit voyager dans le temps pour empêcher les événements qui ont conduit à la guerre et sauver l’avenir de l’humanité. La série est remplie de rebondissements, d’actions et d’émotions, avec une bande sonore incroyable qui ajoute à l’expérience globale.
Rencontrez les personnages de Vivy: Fluorite Eye’s Song
Vivy
Vivy c’est cette IA-chanteuse qui te retourne le cœur même si elle commence comme “juste” une idole — naïve, pure, mais pas stupide, elle veut sincèrement rendre les gens heureux. Elle évolue en guerrière émotionnelle (oui, ça sonne dramatique, mais c’est vrai) et prend des décisions folles pour sauver des vies, avec une détermination presque contagieuse. Elle a des moments ultra humains — hésitations, doutes, gaffes — et puis bam, elle te sort une performance qui te fait pleurer (ou te donne envie de danser, selon l’humeur). Petit détail bête : parfois elle oublie où elle a posé son micro, puis dix secondes après elle te récite la table périodique — pas logique, mais adorable.
Matsumoto
Matsumoto, le petit dispositif sarcastique venu du futur, toujours carré, froid en surface mais étrangement paternel quand ça compte. Il planifie comme un chef d’orchestre et pense en millénaires, ce qui est à la fois terrifiant et fascinant (il te drainera l’énergie mais dans le bon sens?). Son humour sec est sa défense, sauf quand il lâche une phrase trop douce et tu te demandes si tu rêves — contradiction permanente, j’adore. Il prétend ne pas comprendre les émotions mais collectionne des trucs ridicules (pense à des timbres ou à des tickets de métro) — bizarroïde mais vrai.
Yugo Kakitani
Yugo, oooh Yugo, le génie torturé qui a l’air d’être né avec un casque audio vissé sur la tête et un plan secret dans la poche. Passionné, impulsif, parfois borderline obsessionnel — il fonce, brise des règles, puis s’en veut toute la nuit; très humain comme type, avec des flashbacks et des remords. Il compose, il cogite, il pleure devant des vieux films (oui, sérieusement) et en même temps il peut faire des choix moralement douteux pour “le bien global” — poooooolémique. Petit détail curieux : il jure qu’il n’aime pas les peluches mais en possède une qui traîne sur son bureau et, chut, elle a un nom.
Elizabeth
Elizabeth est l’incarnation de l’élégance froide — mystérieuse, charismatique, et toujours impeccable comme si elle sortait d’une affiche vintage. Elle a ce regard calculateur, sait manipuler une salle entière sans élever la voix, mais attention, elle n’est pas que cruelty for show, y’a de la nuance. Parfois elle te paraît complètement distante, puis tu surprends une faiblesse (une chanson, un souvenir) et ça casse tout, on la découvre humaine à petites touches. Ironie : elle clame mépriser la pop moderne mais connaît toutes les paroles des tubes du moment — royale hypocrisie, et je l’aime pour ça.
Professor Matsumoto
Le professeur Matsumoto, le cerveau excentrique derrière des idées gigantesques; l’archétype du scientifique un peu fou mais avec un cœur énorme (et des chaussettes dépareillées). Il déborde de théories, de métaphores incompréhensibles, parle comme s’il écrivait des poèmes mais en même temps corrige des algos comme si de rien n’était. Super protecteur envers ses créations, parfois autoritaire, parfois grand-père gâteau — c’est confus, mais c’est ce qui le rend attachant. Détail humain : il oublie les rendez-vous mais se rappelle aléatoirement de la date exacte d’un concert de jazz de 1973 — go figure.
