À propos du Made in Abyss en quelques mots:

Made in Abyss est une série d’animation japonaise qui suit les aventures d’une jeune fille nommée Riko et de son ami robotique Reg, alors qu’ils descendent dans un immense gouffre appelé Abyss. Là-bas, ils rencontrent des créatures étranges et découvrent des secrets surprenants sur le monde qui les entoure. La série est connue pour sa beauté visuelle, sa narration captivante et son exploration des thèmes de l’amitié, de l’aventure et de la découverte de soi. Cependant, elle contient également des éléments sombres et violents qui peuvent ne pas convenir à un public plus jeune.

Découvrez les personnages de Made in Abyss

Riko

Riko c’est ce mélange adorable d’obstination et d’enthousiasme insensé — elle veut devenir une grande Cave Raider et elle le crie au monde avec des yeux qui brillent, même quand tout va mal. Toujours avec ses lunettes un peu de travers et des idées plus grandes que ses poches, elle court tête baissée mais souvent revient avec une solution bizarre mais efficace (ou une blessure qu’elle minimise en disant « ça va »). Elle est étonnamment réfléchie parfois — tu la vois improviser un plan hyper logique, puis deux secondes après elle chiale parce qu’un oiseau lui a frôlé l’épaule. Ah, et elle garde des petits trésors dans sa poche, des trucs sans valeur pour les autres mais qui, pour elle, sont l’histoire entière (peut-être trop sentimentale, oui).

Reg

Reg est la machine-amie au grand cœur, moitié robot, moitié mystère, qui protège et se découvre en même temps — forces surhumaines et maladresse sociale, c’est un combo irrésistible. Il balance des bras-canon quand ça chauffe, mais il rougit presque (si les robots rougissent) devant un geste gentil, et il n’arrête pas de chercher son passé comme on cherche des clés qu’on a pourtant toujours eues. Super loyal, silencieux parfois, mais il a aussi ces petites manies étranges — collectionne-t-il vraiment des boulons? peut-être — et un sens de l’humour involontaire qui te tue. Contradictoire? Oui: impitoyable en combat, poulettes sentimentales avec Riko.

Nat

Nat (oui je sais, petit nom, grand mystère) est le genre de personnage qui paraît tranquille mais qui cache mille histoires — très pratique, un peu renfrogné, et pourtant capable d’exploser en anecdotes improbables sur l’Abyss. Il sait toujours où trouver le bon chemin ou l’outil bizarre dont personne n’aurait pensé avoir besoin, mais oublie parfois les trucs de base (genre où il a mis son propre chapeau — il a trois chapeaux, chut). Tendance à râler comme un vieux, mais tu sens que s’il faut, il te donnerait sa dernière couverture sans hésiter — sauf peut-être si elle est toute froissée. Et puis, il a cette manie de parler aux pierres; sérieux, ça passe bizarrement bien.

Shiggy

Shiggy, ah Shiggy, l’inventeur un peu loufoque qui a toujours un bidule ou une potion qui sent drôle mais qui marche — parfois. Il fait des expériences comme d’autres font du café, avec une énergie contagieuse et des explosions occasionnelles (rien de grave, en théorie). Très affectueux avec les animaux et affreusement mauvais en diplomatie (il croit que trois sourires suffisent à régler une guerre, bref). Parfois incroyablement sérieux et organisé, parfois il oublie où il a rangé la clé de son laboratoire — et la clé est probablement dans sa main.

Marulk

Marulk c’est ce jeune aide plein d’entrain, à la fois malin et maladroit, qui connaît toutes les nouvelles d’Orth et te les balance en vingt secondes; parfait pour les potins et les plans de dernière minute. Il est incroyablement serviable — genre il prépare des onguents à deux heures du matin et te répare les chaussures — mais il a aussi un côté théâtral: il adore se coiffer et changer de tenue comme trois fois par jour. Il rigole facilement et parfois il pose des questions gênantes au pire moment (toujours drôle), et il a ce courage tout simple, pas du tout pompeux, juste… présent. Ah et il pleure devant les histoires tristes, mais après il te conseille avec une sagesse que tu ne lui avais pas donnée.

Ozen

Ozen la Dure — elle te glace et t’impressionne dès qu’elle entre dans une pièce, vraie montagne humaine, légende vivante des White Whistles. Impitoyable, sans filtre, elle t’enverra bouler et t’aidera après, probablement en te faisant la leçon; un peu comme une grand-mère qui t’assomme avec une cuillère en fer. Elle garde des secrets tordus (et un passé lourd) mais a des moments d’ironie sèche qui te font rire malgré toi; paradoxalement, elle adore les petits gâteaux ridiculement sucrés (oui, je l’imagine bien avec un cupcake). Massive présence, voix qui claque, et un sens du timing brutal qui fonctionne étonnamment bien.

Kiyui

Kiyui est la douceur timide qui surprend tout le monde par sa résilience — fragile en apparence, mais avec une volonté de fer quand il le faut; parfois elle parle à voix toute basse, parfois elle hurle, selon l’humeur. Elle est soigneuse, attentionnée, du genre à préparer des bandages propres et à chanter un peu faux pour calmer les nerfs; oh et elle collectionne des rubans, probablement trop. Paradoxalement, elle adore la foule bruyante et la tranquillité totale, selon le jour — c’est confus mais réel, comme une playlist qui passe du calme à l’orage. Elle a une empathie énorme, parfois trop, et ça la rend à la fois belle et épuisée.

Simred

Simred, grand et charismatique, un peu conspirateur, qui a toujours une idée (souvent risquée) pour améliorer une expédition: audace, flair, et un sens du spectacle — parfois un peu trop dramatique. Il aime les beaux discours, les chapeaux étranges, et a une propension à exagérer les faits pour l’effet — mais on lui pardonne parce que ça marche souvent. Il est charmant, manipulateur avec douceur, un vrai stratège qui a le cœur à la bonne place (même si lui-même n’en est pas certain parfois). Petit hic: il prétend détester les friandises industrielles mais garde un paquet caché sous son lit; qui l’aurait cru?