À propos du Megalo Box en quelques mots:

Megalo Box est une série animée japonaise de 2018 qui se déroule dans un futur dystopique où la société est divisée en deux classes : les riches et les pauvres. Le protagoniste, Junk Dog, est un boxeur de rue qui se bat pour gagner sa vie. Il rencontre un entrepreneur nommé Nanbu qui le convainc de se battre dans des matchs de boxe Megalo, une forme de boxe où les combattants portent des exosquelettes pour augmenter leur force et leur vitesse. Junk Dog décide de participer au tournoi Megalonia, où il doit affronter les meilleurs combattants du monde pour devenir le champion. La série est connue pour son animation de style rétro et son histoire captivante.

Découvrez les personnages de Megalo Box

Joe

Joe, oh là là, le Junk Dog — c’est le type taciturne qui fait mal paraître la solitude, un vrai anti-héros crade et magnifique, tu vois le genre ? Toujours à frapper plus fort qu’il ne parle, il transpire la détermination et un peu de colère enfouie, mais parfois il sourit comme un gamin et tu te dis “quoi ?!” (oui, il a un cœur, parfois). Il est hanté par son passé mais il se relève, encore et encore, ce côté “je m’en fous” qui ferait craquer n’importe qui — ou te taper sur les nerfs. Ah et il a une manie bizarre pour les chaussures sales, je jure que c’est vrai… ou pas, je confonds peut-être avec quelqu’un d’autre.

Sachio

Sachio, le petit bras droit/ami loyal qui ne lâche rien — on dirait un môme mais il a une loyauté d’acier, toujours là pour pousser Joe, râler et pleurer en même temps, c’est émouvant. Il fait des plans débiles et parfois ça marche, parfois non, mais peu importe, il fonce et emporte tout le monde avec son énergie. Parfois il parle comme s’il avait dix ans de plus et l’instant d’après il joue au caïd, c’est adorablement contradictoire. Et sérieux, il a des tics de doigts quand il est nerveux — ou est-ce qu’il faisait ça quand il était content ? J’oublie toujours.

Gansaku Nanbu

Gansaku, le mentor râleur (ou le vieux mal fagoté qui adore râler), il a ce côté “j’ai tout vu” mais il continue à s’emballer comme un gosse devant un combat, c’est génial. Il est dur mais juste, souvent bourru, parle en proverbes bizarres et tu sens qu’il cache des regrets mais aussi une fierté énorme. Parfois il est philosophe, parfois il est juste grognon pour rien, donc tu ne sais jamais quelle version tu vas avoir — et ça rend tout plus vivant. Il collectionne peut-être des timbres ou des souvenirs, ou alors c’est une cafetière cassée, bref, il a des trucs étranges.

Yuri

Yuri, le rival froid et presque mythique, sérieux, il est comme une machine mais avec une âme cachée — élégant, précis, presque ennuyant de parfait (dans le bon sens). Il inspire le respect et la peur, il ne crie pas, il domine, et pourtant tu sens des fissures, des nuits blanches, des choses lourdes sous la surface. Parfois il paraît indifférent, d’autres fois il a des gestes surprenants, comme s’il cherchait quelque chose qu’il a perdu — peut-être la simplicité, qui sait. Et j’ai l’impression qu’il aime les fleurs ? C’est peut-être une métaphore, mais j’aime bien l’imaginer avec une plante sur sa table.

Yukiko Shirato

Yukiko, la femme d’affaires glaciale mais brillante, elle dirige tout avec un sourire calculateur et un petit regard qui dit “je maîtrise”. Une vraie stratège, très élégante, mais parfois tu la surprends à être humaine — genre elle a un faible pour les chats ou pour les biscuits un peu trop sucrés, ça la rend trop relatable. Elle peut sembler manipulatrice, oui, mais aussi incroyablement déterminée à faire avancer son monde et ses rêves, parfois au prix fort. Parfois elle est douce, puis coupante, puis douce à nouveau — elle est comme une tasse de thé qui change de goût selon la météo.

Mikio Shirato

Mikio, l’autre membre de la famille Shirato, on dirait un calme calculateur mais avec des éclairs de chaleur, c’est bizarrement touchant. Il ressemble à quelqu’un qui pèse chaque mot, qui aime les chiffres ou les tableaux (ou alors c’est juste une impression), et il a ce sens du devoir familial qui lui colle à la peau. Parfois il s’énerve pour des broutilles, parfois il est d’une douceur étonnante, je jure que je l’ai vu sourire en regardant un match comme si c’était un vieux film. Et je jure aussi qu’il a une tasse fétiche, trop cliché, mais je le vois bien — avec une tasse.

Aragaki

Aragaki, le personnage mystérieux qu’on adore détester/adorer, entre machiavélique discret et type un peu paumé parfois, ça dépend de son café du matin. Il a des méthodes, il tire les ficelles, mais il n’est pas que méchant: il a ses raisons, et souvent un humour sec qui sort au pire moment. On dirait le genre à garder des secrets dans des poches que personne ne soupçonne, et aussi à offrir un conseil étrange quand tu t’y attends le moins. Et oui, j’ai l’impression qu’il collectionne des stylos, ou peut-être des feuilles mortes — je mélange tout, mais c’est ce qui le rend fascinant.