À propos du ReBoot en quelques mots:

ReBoot est une série animée de science-fiction canadienne qui suit les aventures de Bob, un gardien informatique, qui doit protéger la ville de Mainframe contre les virus et les programmes malveillants. La série se déroule dans un monde informatique appelé le Net, où les personnages sont des programmes informatiques vivants. Les épisodes de ReBoot sont remplis d’action, d’humour et de suspense, avec des thèmes tels que la loyauté, l’amitié et la confiance. La série a été diffusée pour la première fois en 1994 et a été acclamée pour sa qualité d’animation et son scénario innovant.

Rencontrez les personnages de ReBoot

Bob

Bob c’est le héros un peu carré qu’on adore, toujours prêt à plonger dans le code pour sauver Mainframe. Il répare, il planifie, il a ce mélange bizarre de soldat et de plombier (oui, sérieux, parfois il a l’air d’un mécanicien). Toujours sérieux mais parfois il sourit comme un gamin quand une stratégie marche — ou quand Frisket fait le clown. Il se fâche facilement contre l’incompétence mais oublie parfois de demander de l’aide, ce qui est à la fois touchant et un peu stupide. Ah oui, il porte presque toujours son casque, sauf quand il oublie… ce qui est rare, mais ça arrive.

Dot Matrix

Dot c’est la boss de Mainframe et la maman de tout le quartier, façon femme d’affaires qui sait casser des mâchoires si nécessaire. Elle gère un empire (bon, surtout un magasin et un diner, mais c’est un empire à sa manière), adore l’étiquette mais se bat comme une tigresse — et parfois comme une charmante commère. Très protectrice d’Enzo (oui, toujours), mais aussi ambitieuse et un peu vaniteuse (les chapeaux, c’est sa faiblesse, je suis certain qu’elle a une collection secrète). On la voit ferme et pragmatique, puis quelques minutes après elle rit comme une enfant; elle est contradictoire et totalement géniale pour ça.

Enzo Matrix

Enzo commence comme ce gamin épatant et devient (spoiler? non mais presque) un ado avec une détermination qui peut être agaçante tellement c’est intense. Il est courageux, idéaliste, parfois tête brûlée — et il a un cœur trop grand pour son propre bien. Il aime les aventures, les comics, et il peut pleurer devant un coucher de soleil numérique (ok j’exagère peut-être, mais il est sentimental). Parfois il panique comme un gosse, et parfois il prend des décisions d’adulte, donc oui, il est vaguement incohérent, mais dans le bon sens.

Frisket

Frisket, le sprite-chien le plus fidèle de l’histoire des cartoons numériques, petit et bruyant et irrésistible. Toujours en train de gambader, de grogner, puis d’être terriblement utile au moment où personne ne s’y attendait (et parfois il détruit quelque chose par accident, sorry). Loyale au-delà du raisonnable, mais a un penchant pour la course et les siestes au milieu des câbles — étrange combinaison. Il aboie rarement contre les vilains parce qu’il préfère mordre… enfin, tenter de mordre (courageux mais pas toujours très coordonné).

Phong

Phong, le vieux sage de Mainframe, genre professeur qui connaît tous les fichiers et toutes les histoires (il a une mémoire… ou du moins il fait comme). Il dispense des conseils à longueur de journée et garde la paix, avec un ton un peu condescendant parfois mais toujours bienveillant au fond. Il collectionne les manuels (et sans doute des tasses à thé cassées) et paraît immuable, puis paf, il rate ses lunettes et ça casse l’illusion. Patient, un peu râleur, et incroyablement attachant — je parie qu’il aurait un hobby bizarroïde comme tricoter des backups si quelqu’un lui laissait le temps.

Megabyte

Megabyte, le méchant principal avec une voix qui gronde et un plan dans chaque clignotement d’œil, le type qui veut le pouvoir et la domination (classique, mais tellement bien fait). Il est stratégique, cruel, et parfois presque charmant quand il déroule un monologue — attention, c’est une charmante menace. Il adore contrôler les choses, mais il a aussi des failles ridiculement humaines (parfois il s’emporte sur un détail insignifiant et ça le rend presque sympathique, si on peut dire). Et oui, il a ce côté diva-techno (imaginez-le aimant l’opéra mais en version bips numériques), totalement dramatique.

Hexadecimal

Hexadecimal, la virus la plus folle et la plus fascinante, drama queen masquée et maître du chaos (elle rit, elle pleure, elle lance des confettis… ok, pas toujours des confettis). Entièrement imprévisible: un instant joueuse et enfantine, le suivant destructrice et intense — tu ne sais jamais sur quel pied danser. Elle adore les masques, ou peut-être c’est juste un hobby, ou alors non, elle change d’avis toutes les cinq minutes; en tout cas ça ajoute au mystère. Émotionnelle, brillante, dangereuse, et étrangement attachante — bref, la meilleure anarchiste télévisuelle existante.