À propos du The Outpost en quelques mots:

The Outpost est une série télévisée fantastique qui suit Talon, la dernière survivante de la race des Blackbloods, qui cherche à venger la mort de sa famille. Elle se rend dans une forteresse appelée The Outpost, où elle découvre des secrets sur sa propre identité et un complot pour détruire le monde. Avec l’aide de ses alliés, Talon doit affronter des ennemis puissants et protéger la forteresse contre les forces du mal. La série est remplie d’action, de magie et de mystère, et offre une intrigue captivante pour les fans de fantasy.

Rencontrez les personnages de The Outpost

Talon

Talon, c’est le héros torturé qu’on adore regarder se battre et broyer du noir en même temps — le genre qui a un passé super lourd (oui, secret, bien sûr) et qui marche toujours comme s’il savait tout. Il manie l’épée comme quelqu’un qui a trop réfléchi au sens de la vie, mais il râle encore plus quand on lui vole son thé — oui, il a une tasse préférée, je te jure. Solitaire mais pas vraiment (il sauve ses amis sans le crier sur les toits), et parfois il sourit comme un idiot, ce qui est perturbant mais mignon. Et puis, petit truc bizarre : il a l’air de détester les fêtes mais finit toujours par danser à la mauvaise chanson.

Captain Garret Spears

Spears, c’est le capitaine sec, militaire, tu sais, celui qui range ses ordres au millimètre et qui te fait sentir coupable avant même que tu fasses quelque chose. Stratégie froide, cœur (presque) tendre — il a un faible pour les protocoles et pour… les poèmes ? Oui, il récite des vers quand il est inquiet, je t’assure. Il commande comme un roc mais a une manie de polir ses bottes à minuit, donc il est humain, ou du moins très ponctuel. Parfois il est brutal, parfois un papa poule, donc bonne chance pour deviner.

Lady Gwynn Calkussar

Gwynn est la noblesse glacée qui, en réalité, a un sens politique absolument diabolique et un goût pour les chapeaux dramatiques. Elle joue aux échecs avec des gens et avec des royaumes, et elle gagne souvent (ou fait croire qu’elle gagne, parfois j’ai un doute). Elle peut être gentille, calculatrice, tendre un peu, puis tranchante comme une dague — très polyvalente, genre on va jamais s’ennuyer. Petite note : elle adore les chats et ensuite prétend les détester, donc oui, contradictions parfaites.

Janzo

Janzo, c’est le type un peu roublard qu’on croise partout et qui sait toujours où aller, qui a mille contacts et mille dettes et qui raconte des anecdotes plus grosses que nature. Il a un rire contagieux, une langue trop rapide et… une histoire d’amour non racontée avec les cartes à jouer (ou bien c’est juste une histoire de dettes, je mélange). Fidèle à sa façon, il se démerde pour aider (quand ça l’arrange aussi), et il a des gadgets bizarres — genre une lame fourre-tout dans un manche de parapluie, oui c’est cool. Et parfois il est sentimental, attention, le Janzo pleure devant des vieux films muets (ou il prétend que c’est à cause des pellicules).

Tobin

Tobin, c’est le pilier tranquille — force tranquille, mains calleuses, souvent celui qui porte les sacs parce que quelqu’un doit le faire, et il râle un peu mais il aide. Il est loyal à l’extrême, a un rire énorme et prépare une soupe qui pourrait guérir le monde (ou au moins te consoler après une défaite). Il n’est pas du genre à parler stratégie mais il sait ce qu’il fait sur le terrain, et il est plus courageux que ce qu’il laisse paraître — parfois il se cache un peu en criant, puis charge comme un héros, allez comprendre. Et évidemment, il collectionne des cuillères — oui, vraiment, c’est un type bizarre.

Gertrusha

Gertrusha, c’est la guerrière brute avec un cœur de pierre mais des gestes maternels impossibles à ignorer — elle peut te gronder comme une mère et t’égorger comme un soldat, souvent dans la même phrase. Elle adore les tactiques non conventionnelles, a des cicatrices qui racontent des histoires et un sens de l’humour noir qui te surprend quand elle rigole. Elle prétend détester les fleurs mais a toujours une feuille coincée dans ses cheveux (je l’ai vue, juré). Parfois elle est douce comme une grand-mère, parfois elle t’envoie valser par un coup de hache, donc prends garde.

Zed

Zed, ah Zed — le type mystérieux, un peu voyou, beaucoup charmeur, qui garde ses cartes près du gilet et son passé dans une poche fermée. Il a un air de “je-m’en-foutiste” mais il analyse tout, il te surprend avec des plans loufoques qui marchent et avec des sourires mesquins quand ça tourne bien. Il adore les farces et les entrées dramatiques (et les biscuits, okay il mange tout le temps des biscuits). Parfois il parle peu, parfois il déborde d’idées, donc on n’est jamais sûr si c’est un génie ou juste incroyablement chanceux.

Wren

Wren, c’est la putain de survie incarnée — soigneuse, archère peut-être, mais surtout la personne pratique qui remet tout en place quand le monde part en morceaux. Elle est douce mais tranchante, genre une infirmière qui sait manier une dague, et elle a une loyauté qui te ferait pleurer (si tu pleures facilement, ce qui n’est pas mon cas, évidemment). Elle collectionne des plumes (oui, encore une collection) et a une manie de mâchouiller une ficelle quand elle réfléchit — étrange mais mignon. Et oui, elle oublie les noms des gens parfois, sauf quand ça compte vraiment, évidemment.

Munt

Munt est ce personnage qui semble une blague au début mais qui finit par te surprendre à chaque fois — un mélange de grand benêt et de génie caché, parfois on ne sait pas s’il est sérieux ou en train de faire une performance. Il aime la nourriture (énorme surprise), raconte des histoires interminables et lit des livres qu’on dirait impossibles à comprendre (et il en sourit comme si c’était une blague privée). Il peut paraître maladroit, mais quand ça devient sérieux il a des réflexes étrangement précis, comme s’il avait été entraîné par des maîtres secrets (ou qu’il a juste beaucoup regardé des films d’action). Et son rire est contagieux — tu vas l’entendre même quand tu n’en veux pas.