À propos du JoJo’s Bizarre Adventure en quelques mots:

JoJo’s Bizarre Adventure est une série animée japonaise qui suit les aventures de la famille Joestar sur plusieurs générations. Chaque membre de la famille possède une capacité unique appelée Stand qui leur permet de combattre des ennemis surhumains. La série combine des éléments de l’action, de l’horreur, du surnaturel et de l’humour, et est connue pour ses personnages excentriques, son animation dynamique et ses combats époustouflants. La série est basée sur le manga du même nom de Hirohiko Araki et a été diffusée pour la première fois en 2012.

Découvrez les personnages de JoJo’s Bizarre Adventure

Gappy

Gappy (oui, ce petit nom qui sonne trop mignon pour ce qu’il traverse) est curieux, tenace et bizarrement solaire — un peu détective de quartier et un peu gamin perdu dans un monde fou. Il a cette énergie maladroite qui le fait foncer tête baissée, puis réfléchir après (ou jamais, selon l’humeur). Il est incroyablement loyal et protecteur, surtout envers sa famille, même si parfois il oublie des détails essentiels, genre où il a mis ses propres clés. Et il y a cette habitude étrange de parler aux objets comme s’ils avaient une âme… ce qui est peut-être utile, qui sait ?

Bruno Bucciarati

Bruno est le leader calme et déterminé qui te fait confiance même quand tout s’écroule — un vrai capo au cœur d’or, un mélange d’autorité douce et de violence quand il faut. Il a des règles strictes et une loyauté presque religieuse envers son équipe, il pardonne peu mais protège beaucoup. Paradoxalement, il peut être presque paternel et en même temps implacable, genre champion de la discussion ferme et des sanctions rapides. Oh et il est obsédé par l’ordre et les zips (oui, littéralement des fermetures éclair), ce qui rend ses monologues encore plus stylés.

Gyro Zeppeli

Gyro, c’est l’excentrique au grand cœur, mania du spin, maître du Steel Ball avec une arrogance joyeuse qui te fait l’aimer instantanément. Il est dragueur, parfois cruel avec lui-même, mais d’une loyauté inexpugnable envers Johnny et la justice tordue qu’il sert. Il parle souvent en énigmes, raconte des histoires bizarres sur les règles familiales et les traditions (parfois contradictoires, parce qu’il aime confondre), et a un goût pour la mise en scène — chapeaux, roulements, tout le cinéma. Et oui, il a un faible pour les sucreries, je crois, ou peut-être que je mélange avec quelqu’un d’autre, bref.

Johnny Joestar

Johnny commence aigri, brisé et amer, et c’est justement ce qui le rend fascinant; il devient ensuite obsédé, déterminé, presque mystique dans sa quête. Parfois froid et très calculateur, il peut aussi fondre en larmes comme un gosse – grosse montagne russe émotionnelle, franchement. Il est incroyablement compétitif (merci la carrière de jockey ratée) et développe une intuition presque surnaturelle grâce à ses épreuves, donc ne le sous-estime pas. Minimaliste dans les mots, maximaliste dans la douleur et la persévérance, avec une faiblesse surprenante pour la fierté blessée.

Funny Valentine

Funny Valentine est l’archétype du patriotisme malsain: poli, cérémonieux, mais prêt à écraser des mondes pour « protéger » son pays — tellement digne et tellement terrifiant. Il parle comme un président modèle, sourit, sort des citations grandiloquentes, mais ses actes sont… euh, amoraux à souhait. Il a cette logique implacable où la fin justifie tout, et il croit vraiment être le héros de son histoire, ce qui le rend doublement dangereux. Et il collectionne des petites pièces ou des pins, ou c’est juste dans ma tête? Peu importe, il aime les symboles.

Dio Brando

Dio, le classique méchant charismatique: narcissique, cruel, hautain et absolument magnétique — il attire la loyauté et la haine à parts égales. Il combine une cruauté sans remords avec un ego démesuré et un sens du style qui ferait pâlir un défilé entier (chapeaux, bijoux, poses). Il est capable d’un charme terrifiant, de promesses enjôleuses, puis d’un sourire quand il te plante un couteau dans le dos — littéralement ou métaphoriquement. Bonus bizarre: il déteste les limites (genre la logique commune) mais aime les monologues théâtraux, donc il babille beaucoup — et tu l’écoutes, contre ton gré.

Yoshikage Kira

Kira est le fantasme tordu du voisin parfait: propre, discret, obsédé par l’ordre et par… les mains (ne demande pas pourquoi, ça serait spoiler mais aussi étrange). Il veut juste une vie tranquille (vraiment), mais il a des penchants meurtriers qui rendent la tranquillité explosive à chaque coin de rue. Politiquement correct en public, psychopathie élégante en privé — c’est son truc, et c’est à la fois inquiétant et fascinant. Et oui, il adore les activités domestiques, une tasse de thé, peut-être un petit bout de musique classique, et parfois il sourit comme si tout était normal (spoiler: non).

Rohan Kishibe

Rohan est l’auteur excentrique qu’on adore détester: un génie égocentrique, curieux au point d’être intrusif, mais avec un sens artistique brutal et addictif. Il veut raconter la vérité (ou la sienne) à n’importe quel prix, quitte à transformer la vie des gens en matériau de manga — oui, littéralement, parfois sans demander. Il est raffiné, pointilleux, souvent froid mais incroyablement passionné par son art; il a aussi des manies très précises, comme un amour suspect pour les stylos rares et les pauses dramatiques. Parfois il est étonnamment tendre, puis repart dans son « je dois comprendre la condition humaine maintenant » — très intense, très Rohan.

Jobin Higashikata

Jobin, le type méthodique et obsédé par le statut familial, joue dur pour garder ce qu’il croit être son droit — calme en surface, mais calculateur et dur quand il faut. Il a ce côté businessman-sans-scrupules mais qui croit (sans doute à tort) que tout est pour le « bien » de la famille; familialiste jusqu’à l’extrême. Très perfectionniste, aime les plans impeccables, les stoïciens et les succès propres, avec des réactions parfois surprenamment émotionnelles (oui, il peut craquer, oui c’est bizarre). Et je jure qu’il a une collection de stylos chic… ou des gants, ou les deux — allez, les deux.

Jotaro Kujo

Jotaro, l’homme des rares mots et des coups qui parlent pour lui — stoïque, badass, imperturbable, et pourtant terriblement humain quand on gratte un peu. Il protège sa famille sans poser de questions, a un sens de la justice très basique mais profond, et son regard suffit à faire fuir la moitié du monde. Il a ce côté « je bois du thé noir en regardant l’océan » et en même temps peut exploser de rage en une seconde, donc équilibre parfait. Et oui, il porte une casquette improbable qui fusionne avec ses cheveux — la mode inexplicable du héros.

Guido Mista

Mista est le gars hyper bavard, superstitieux et incroyablement loyal qui se bat comme si chaque balle était sa meilleure amie (parce que, en fait, elles le sont). Il a une peur irrationnelle du chiffre 4 (ne le dites pas trop fort), adore plaisanter même en plein danger et parle à ses balles comme à des petits soldats — c’est à la fois drôle et terrifiant. Son courage est contagieux et sa camaraderie, absolue; il est le type qu’on veut à ses côtés dans un bordel total. Aussi, il a parfois une logique presque enfantine quand il explique des plans complexes, mais ça marche, donc on ne critique pas.