À propos du Into the Badlands en quelques mots:

Into the Badlands est une série télévisée d’action post-apocalyptique qui se déroule dans un monde où les armes à feu ont été interdites et où les combats se font à l’épée. La série suit le parcours de Sunny, un guerrier redoutable et mystérieux, qui se met en quête de liberté et de rédemption dans un monde dominé par des barons rivaux. Les personnages de la série sont tous des combattants aguerris, capables de se battre avec une grande habileté et une grande force. La série est connue pour ses scènes de combat chorégraphiées, sa direction artistique soignée et son intrigue captivante.

Découvrez les personnages d’Into the Badlands

Sunny

Sunny, c’est le guerrier qui a l’air d’avoir tout vécu et qui en garde une poche pleine de secrets (et une cicatrice pour chaque erreur, visiblement). Il est à la fois hyper discipliné et capable d’un coup d’éclat totalement imprévisible — genre calme, puis BAM, tout vole en éclats. Il a ce côté stoïque mais qui sourit quand personne ne regarde, et parfois on jurerait qu’il collectionne des boutons… ou des épées, je ne sais plus, on a tous des contradictions. Bref, il est sombre, fidèle, presque trop sérieux pour son propre bien, mais on l’adore pour ça.

Lydia

Lydia, oh Lydia, la beauté froide qui manipule les fils sans qu’on sache si elle pleure vraiment parfois ou si c’est juste du mascara (ok, je dramatise, mais vous voyez le genre). Intelligente, calculatrice, capable d’un charme qui désarme — et parfois d’un silence qui fait plus mal que n’importe quel coup. Elle peut paraître distante mais il y a une loyauté tordue qui surgit aux mauvais moments, genre elle te protège et te poignarde un peu en même temps. En plus elle a ce style impeccable, toujours parfaite, comme si elle sortait d’un tableau — ou d’un mauvais rêve, selon l’humeur.

Jade

Jade, la combattante féroce qui rit comme si tout était un jeu dangereux (et souvent, ça l’est). Elle tape vite, pense vite, et a ce charme un peu sauvage; on sent qu’elle suit ses règles, pas les nôtres — ou personne d’autre que la sienne, peut-être pas même la sienne tout le temps. Parfois tendre, parfois complètement impitoyable, elle change de registre en un battement de cil; et je suis presque sûr qu’elle adore les piments — ou qu’elle les déteste? Peu importe, elle mettra du feu dans tout ce qu’elle touche. C’est une boule d’énergie avec un cœur possible, mais bon, ne le testez pas.

M.K.

M.K., le gamin qui n’est pas juste « un gamin », il est à la fois fragile et terrifiant, l’innocence et le chaos dans le même petit corps. Il a ce pouvoir bizarre (oui, on le sait) qui le rend imprévisible — adorable un instant, monstrueux l’instant d’après — et on passe notre temps à retenir notre souffle. Il adore les sucreries? Non, peut-être les chewing-gums… ou collectionner des cailloux, je sais plus, mais il garde toujours un truc qui lui donne un air enfantin. En tout cas, il est la preuve que la vulnérabilité peut être la chose la plus dangereuse du monde.

Minerva

Minerva, comme une reine de glace qui a appris à sourire pour mieux trahir — stratégique, élégante et légèrement terrifiante. Elle tient tout d’une main de fer dans un gant de velours, et on sent qu’elle aime les plans qui prennent des années à germer (patience inquiétante, sérieux). Par moments elle paraît presque maternelle, puis hop, elle remet les règles à sa manière et on comprend que la douceur était seulement un outil. Franchement fascinante et un peu flippante, comme un chat qui te regarde avaler ta coupe avant de décider si tu mérites de vivre.

Tilda

Tilda, la résistante au grand cœur qui tape plus fort qu’on ne l’attend, et qui pleure aussi facilement qu’elle rit — j’adore ce contraste. Elle a ce code moral, ce côté « je refuse d’abandonner », mais elle sait aussi se salir les mains sans hésiter; loyale jusqu’au bout, ce qui est parfois son talon d’Achille. Elle aime les petits gestes tendres (oui, vraiment) mais peut aussi te planter un couteau avec un sourire presque doux. Bref, elle est passionnée, impulsive et étonnamment complexe — et probablement la personne à appeler quand il faut sauver la journée à la dernière minute.

Bajie

Bajie, le géant au cœur tendre qui mange tout (sérieusement, tout) et raconte les meilleures anecdotes au coin du feu — il est réconfortant et hilarant à la fois. Il est fort comme deux, mais garde une sorte de naïveté charmante, un peu comme un ours qui aurait lu trop de romans d’aventure. Parfois il cuisine quelque chose d’infâme mais le sert avec fierté; d’autres fois, c’est un chef-d’œuvre — allez comprendre. En tout cas, il est le type qu’on veut à ses côtés dans une bataille… et à sa table après, toujours pour la soupe.

Nathaniel Moon

Nathaniel Moon, le grand méchant raffiné qui respire la menace en costume sur-mesure — élégant, cruel, et un peu théâtral, ce type adore la mise en scène. Il manipule comme un chef d’orchestre, calme en surface, mais chaque geste est calculé pour blesser plus loin; et oui, il joue avec les gens comme s’ils étaient des pions (et parfois il se pique lui-même). Il a ce côté enfant capricieux qui veut tout contrôler, et en même temps une patience mortelle; contradictoire, mais terriblement efficace. On le déteste, on le craint, et bizarrement on le regarde toujours — impossible de détourner les yeux.