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Quelle version d’Harley Quinn es-tu ?

Êtes-vous une fan inconditionnelle d'Harley Quinn et de son univers ? Si oui, vous êtes au bon endroit ! Dans ce quiz, nous allons découvrir quelle version d'Harley Quinn vous êtes. Êtes-vous plutôt la version originale des comics, la version animée de la série Batman, ou la version récente de la série éponyme ? Répondez à nos questions et découvrez quelle version d'Harley Quinn correspond le mieux à votre personnalité. Alors, êtes-vous prête à découvrir votre véritable double animé ? Cliquez sur le bouton Commencer pour commencer le quiz !

Bienvenue au quizz: Quelle version dHarley Quinn es-tu ?

À propos du Harley Quinn en quelques mots:

Harley Quinn est une série animée pour adultes qui suit les aventures de Harley, une ancienne psychiatre devenue criminelle, alors qu’elle tente de se libérer de l’emprise de son ex-petit ami, le Joker, et de devenir la criminelle la plus redoutée de Gotham City. Avec l’aide de ses amis Poison Ivy et King Shark, Harley se lance dans des missions dangereuses, rencontre des ennemis redoutables et essaie de se faire un nom dans le monde criminel. La série est connue pour son humour noir, ses dialogues cinglants et sa représentation de personnages féminins forts et indépendants.

Découvrez les versions d’Harley Quinn

BATMAN BEYOND

Ok, imagine Harley projetée dans le futur et qui refuse de vieillir tranquille — elle est plus cynique, plus techno, mais toujours complètement barge. Elle a des gadgets improbables et une habitude étrange de collectionner des vieilles cassettes (oui, des cassettes, pourquoi pas). Parfois elle agit comme une mentor bizarre pour des jeunes voyous, parfois elle redevient la gaga d’amour que l’on connaît — contradiction assumée. Bref, version néon, un peu punk, qui fait des blagues sur les hologrammes et pleure en regardant des pubs rétro.

BATMAN AND HARLEY QUINN

Celle du film animé est comme un feu d’artifice: hyper méta, pleine de blagues qui tombent souvent à plat et puis non, ça marche quand même. Elle balance des répliques acérées, adore le chaos mais a des moments étonnamment doux (sérieusement, qui d’autre mangerait des fruits en plein combat?). Parfois c’est presque buddy-movie avec Batman, sauf que tout est bizarre et explosif. On la sent libre, joueuse, un peu dingue — et toujours prête à sortir une chanson stupide si l’ambiance le demande.

ASSAULT ON ARKHAM

Dans le film, Harley est plus dans l’ombre, rapide et efficace, moins clown acrobatique et plus soldate folle — oui, folle mais organisée, ça existe apparemment. Elle a des accès d’humour noir et puis des flashs de violence pure, on ne sait jamais sur quelle facette tomber. C’est la Harley qui suit des ordres mais qui garde sa petite touche personnelle (genre un autocollant sur le fusil, parce que pourquoi pas). Franchement, on la sent dangereuse et triste en même temps — combo déstabilisant.

GOTHAM CITY SIRENS

Ah, la Harley des Sirènes, reine du trio improbable avec Selina et Ivy — confidente, chiot sauvage et stratège à la fois. Ici elle essaie d’avoir une “vraie” vie de femmes qui tiennent un quartier, mais elle ramène toujours un peu de folie (et des cupcakes explosifs, probablement). Elle est loyale comme pas deux, très maternelle parfois (surprenant, je sais), puis cinq minutes plus tard elle sabote tout parce qu’elle a eu une idée brillante. Ce run la rend attachante, lunatique et dangereusement drôle — un cocktail pastel avec des clous.

INJUSTICE

La version Injustice est la Harley la plus sombre, clairement: traumatisée, vengeresse, capable du pire si on lui marche dessus. Elle n’est plus seulement l’icone de la folie mignonne, ici elle est politique, engagée par la perte, parfois vraiment terrifiante. On la voit évoluer entre faiblesse et rage pure, et parfois elle montre une loyauté incompréhensible qui choque même ses alliés. Bref, pas de paillettes, beaucoup de colère, et un cœur qui bat trop fort — en mode grande tragédie pop.

NEW 52/REBIRTH

Dans le New 52/Rebirth elle se réinvente constamment: plus indépendante, plus casse-cou, et très axée sur l’identité (oui, thérapie inside, ça nous fait bizarre). Elle est à la fois ex-psychiatre sérieuse et clown dangereusement créatif — sérieux on tient là un paradoxe ambulant. Parfois elle tient un carnet de notes comme une pros, puis elle lance un pieu en chantonnant un jingle. Résultat: version moderne, limite superstar, qui veut à la fois guérir et tout foutre en l’air.

BATMAN: ARKHAM TRILOGY

La Harley des jeux Arkham est théâtrale à souhait, ultra charismatique et parfois carrément terrifiante quand elle sort son marteau. Elle adore les mises en scène, les rires enregistrés et les comptines macabres (oui, elle chante souvent, parfois faux mais qui s’en soucie?). Elle peut te charmer en quinze secondes puis te poignarder (littéralement ou métaphoriquement), et c’est ça qui la rend accrocheuse. On la sent maîtrisée par moments, totalement instable à d’autres, et toujours délicieusement imprévisible.

DC UNIVERSE’S HARLEY QUINN

La Harley du DC Universe, c’est un peu la version omnibus: excentrique, gaffeuse, extra-terrestre niveau personnalité mais terriblement humaine aussi. Elle balance des punchlines, adore le rose et le chaos, et a cette sincère incapacité à rester “normale” — honnêtement, on l’aime pour ça. Parfois elle sauve la journée à sa manière, parfois elle cause l’apocalypse (small details). Bref, c’est la mascotte anarchiste de l’univers, toujours prête à squatter une scène ou à ruiner un plan pour la beauté du spectacle.

BATMAN: THE ANIMATED SERIES

Celle-là, la classique, est douce-amère et merveilleusement tragique: Harleen devient Harley sous nos yeux et c’est beau et horrible en même temps. Elle est adorablement folle, brillante (c’était quand même une doctoresse), et a ce rire qui reste gravé dans la tête — et parfois vous fait pleurer. Elle collectionne des bonbons et des souvenirs de Joker, mais elle peut aussi vous détruire moralement avec une seule réplique. En clair: la version qui a tout commencé pour beaucoup d’entre nous, tendre et dérangée, immanquable.

SUICIDE SQUAD and BIRDS OF PREY

La Harley cinéma (Margot Robbie vibes) est… un tourbillon mode punk-pop: explosions de couleur, coiffures folles, et une énergie absolument incontrôlable. Elle casse les codes féminins en robe bariolée, aime son indépendance mais veut aussi qu’on la regarde (contradiction adorable). Dans Birds of Prey elle montre qu’elle peut survivre sans le Joker tout en gardant son flair dramatique — danse avec une batte, vole des trophées et vole des cœurs, parfois les deux. Résultat: sauvage, drôle, fragile et outrageusement stylée — et elle a vraiment une préférence bizarre pour les jouets en peluche (on l’a vu, non ?).