À propos du Wynonna Earp en quelques mots:

Wynonna Earp est une série télévisée américaine qui suit les aventures de Wynonna Earp, une chasseuse de démons qui revient dans sa ville natale de Purgatory pour combattre les revenants, des criminels morts-vivants qui ont été ramenés à la vie par une malédiction. Avec l’aide de sa sœur Waverly, de l’agent spécial Dolls et du shérif local, Wynonna doit affronter les forces du mal qui menacent sa ville et sa famille. La série est basée sur la bande dessinée du même nom de Beau Smith et est connue pour son mélange d’humour, d’action et de surnaturel.

Rencontrez les personnages de Wynonna Earp

Wynonna Earp

Wynonna c’est le chaos organisé avec un flingue et un cœur en or, genre elle fonce d’abord et réfléchit vaguement après — ou jamais. Têtue comme une mule, drôle et blessée, elle porte la malédiction comme un vieux jean qui lui va trop bien. Elle boit, elle jure, elle hurle des répliques cultes au milieu d’un champ de cadavres (oui, parfois elle pleure dans sa voiture en écoutant du mauvais rock). Parfois elle est hyper mature, parfois elle agit comme une ado qui a découvert les guimauves, impossible d’anticiper. Et petit truc mignon: elle garde un briquet un peu tordu comme porte-bonheur (ou elle l’a juste perdu la moitié du temps, qui sait).

Doc Holliday

Doc, c’est le charme toxique incarné — dentiste, joueur, poète cassé, et étrangement sentimental pour un homme qui pique et ment aussi bien qu’il fume. Il balance des répliques sèches comme personne, mais tu sens toujours qu’il cache une fatigue infinie derrière son sourire pince-sans-rire. Paradoxal: il est fataliste et soigneux à la fois, il fout le bazar mais protège comme un frère, et parfois il compose au piano comme si ça allait sauver la journée. Il prétend mourir souvent (classique), mais montre quand même qu’il aime la vie à sa façon tordue. Ah et oui, il a un faible pour les loukoums — ou était-ce du sucre? Je mélange tout, mais c’est charmant.

Waverly Earp

Waverly, c’est la petite sœur qui a grandi en super-héroïne de la compassion, toujours pleine d’idées, maladroite et lumineuse — un vrai feu d’artifice émotionnel. Elle a des plans, des déguisements, des listes, des théories sur les démons et aussi une collection de pulls qui ne matchent jamais mais ça lui va. Elle passe du timide « oh non je peux pas » à la meneuse surprenante en deux secondes (et parfois en trois, selon la météo). Elle adore les jeux de mots et les plantes — enfin, elle essaie d’aimer les plantes, mais bon, elle en tue une de temps en temps par accident. Et quand elle chante (s’il vous plaît), c’est soudainement la meilleure chose de la saison, même si elle rougit après.

Nicole Haught

Nicole, c’est la sherif adjointe calme, carrée et profondément juste, mais avec un humour sec qui te surprend quand tu t’y attends le moins. Compétente jusqu’au bout des bottes, elle respecte les règles… mais sait aussi plier les règles quand il faut sauver des vies (ou ses proches). Elle aime l’ordre, les procédures et paradoxalement adore improviser des soirées karaoké où elle démonte tout le monde (surprise!). Sérieuse mais douce, elle a cette force tranquille qui te rassure et puis cette petite manie de collectionner des stylos fancy. Oh et elle cuisine très mal les brownies mais ne le dit à personne.

Jeremy Chetri

Jeremy, le génie tech/cerveau en chef, un bouquin vivant de savoirs inutiles et hyper utiles en même temps — il parle vite, code plus vite et s’inquiète pour tout, surtout pour ses plantes (qui, surprise, semblent mieux que celles de Waverly). Socialement il est parfois « euh », mais avec les siens il est tout accueil et réconfort, et il aime bien les blagues nulles (qu’on lui pardonne). Il a des tics nerd adorables, des chaussettes dépareillées et une passion secrète pour les sauces piquantes maison. Parfois il est philosophe, parfois il est teenager qui fait des mèmes, bref imprévisible mais fiable à 200%. Et oui, il possède une peluche de science bizarre dont il ne parle jamais — sauf quand il en a besoin.

Sheriff Randy Nedley

Randy, le shérif au cœur géant et aux nerfs parfois en spaghettis, il a ce côté patriarcal un peu dépassé mais tellement attachant. Il suit la loi, il a des principes, puis il finit par se mouiller les mains dans toutes les embrouilles (genre, évidemment), souvent en se lamentant comme un père un peu dépassé. Il adore les tartes, chante faux sous la douche et tient absolument à prouver qu’il est encore « le chef », même quand tout le monde lui prouve le contraire. À la fois comique et surprenamment brave, il est le type qui aurait une lampe de poche et un cookie à offrir au moment parfait. Et parfois il confond les noms, mais on l’aime pour ça.

Agent Dolls

Dolls, l’agent fédéral classe, c’est l’homme qui regarde tout le monde comme s’il savait déjà le twist — calme, impassible, professionnel, et mystérieux comme un roman noir. Il planifie, il manipule subtilement, et il a ce passé lourd qui le rend dangereux mais magnétique (oui, très magnétique). On sent qu’il a des règles strictes et qu’il les brise quand il faut, contradiction typique : très stoïque mais dramatique au bon moment. Il porte toujours des costumes impeccables, mange rarement, mais parfois pique des beignets — je jure que c’est vrai, vu dans une scène imaginaire peut-être, mais ça pourrait l’humaniser. Bref, il est à la fois menace et allié, et on adore le détester (ou l’aimer, selon la journée).