Quel personnage de The Last Ship es-tu ?
Êtes-vous fan de la série The Last Ship ? Si oui, avez-vous déjà rêvé de faire partie de l'équipage et de sauver le monde ? Eh bien, c'est votre chance de découvrir quel personnage de la série vous êtes ! Êtes-vous le courageux capitaine Tom Chandler, prêt à tout pour protéger son équipage et sauver l'humanité ? Ou êtes-vous plutôt le scientifique Rachel Scott, qui travaille sans relâche pour trouver un remède contre le virus mortel qui ravage le monde ? Découvrez-le en répondant à notre quiz Quel personnage de The Last Ship es-tu ? Alors, êtes-vous prêt à commencer ? Cliquez sur le bouton Commencer ci-dessous et laissez le quiz vous révéler votre personnage préféré de The Last Ship !

À propos du The Last Ship en quelques mots:
The Last Ship est une série télévisée américaine de science-fiction et d’action qui suit l’équipage d’un navire de guerre américain, le USS Nathan James, alors qu’ils tentent de sauver le monde d’une pandémie mondiale qui a tué la plupart de la population. Le capitaine Tom Chandler, le héros de la série, doit naviguer à travers des eaux dangereuses et affronter des ennemis impitoyables pour trouver un remède à la maladie et empêcher son équipe de sombrer dans la folie. La série est remplie d’action, de suspense et d’intrigues politiques, et a été saluée par la critique pour son réalisme et sa qualité de production.
Rencontrez les personnages de The Last Ship
Tom Chandler
Tom, c’est le type qu’on voudrait avoir à la barre quand tout part en vrille — calme, dur, pourtant étonnamment humain. Il porte souvent une expression ferme mais dès qu’il parle de sa famille, tout devient plus doux (oui, il fond un peu, surprenant). Leader qui prend des décisions lourdes sans beaucoup de glam, parfois têtu comme une mule, parfois terriblement juste. Il a un sens du devoir presque maladif, mais j’ai déjà entendu qu’il adore la pêche (ou était-ce juste une légende de bord ?). Bref, le capitaine qui te serre la main et qui, en secret, garde des nuits blanches à réfléchir à tout ça.
Mike Slattery
Slattery, c’est l’homme public par excellence: grand discours, regard assuré, mais on sent l’âme d’un type qui doute quand les caméras sont éteintes. Politique de terrain, pragmatique, capable de compromis mais pas un vendu — enfin, c’est compliqué, il essaie de concilier idéaux et survie. Il a ce côté charismatique qui attire et irritera tout le monde à la fois (les opposants l’adorent pour le détester, je sais, phrase bizarre). Parfois il parle comme un politicien poli, parfois il balance une vérité crue qui claque comme une porte. Ah, et il collectionne les petites notes griffonnées, ou du moins c’est ce qu’on raconte entre deux briefings.
Jeter
Jeter est le genre de mec discret mais indispensable — tu le remarques vraiment quand il n’est pas là, vous voyez le truc ? Loyal, carré, un peu nerd peut-être, toujours en train de chipoter un équipement ou de réparer un truc que personne d’autre comprend. Il a un sens de l’humour sec qui arrive quand tu t’y attends le moins; parfois il est sérieux au point d’agacer, parfois il lâche une réplique qui te fait éclater de rire. Il pourrait être le pote génial qui sait tout sur les vieux groupes de rock (ou est-ce qu’il adore plutôt la science-fiction ? je mélange tout). Bref, fiable, discret, et qui a plus de ressources que ce qu’il laisse paraître.
Danny Green
Danny, c’est le cœur sur la main — impulsif, courageux, parfois trop direct mais toujours prêt à sauter dans l’action pour ses potes. Il a cette loyauté presque maladive, et franchement, ça te donne envie de le suivre n’importe où (sauf peut-être dans les plans trop dangereux, ha). Il peut être sérieux quand il faut, mais il aime aussi déconner et raconter des anecdotes improbables à la cafétéria. Parfois il s’emporte, parfois il est étonnamment posé, bref il est humain, plein de contradictions adorables. Et non, il ne dort pas beaucoup, ou si oui il fait des rêves bizarres avec des pizzas — je jure que j’ai entendu ça quelque part.
Kara Foster
Kara est carburée à la compétence: directe, efficace, sarcasme affûté, elle ne perd pas de temps avec les conneries. Forte, indépendante, mais pas dénuée d’émotions — elle cache très bien ses faiblesses derrière une veste (ou un blouson en cuir, je l’imagine toujours en blouson). Elle est pratique, gère le combat comme elle gère l’organisation, et a ce petit côté protecteur avec l’équipage. Parfois elle paraît froide, parfois elle est la première à s’occuper d’un blessé avec douceur — bon, c’est contradictoire mais j’aime. Et je suis presque sûre qu’elle garde un vieux pull ridicule dans un casier, juste pour les mauvais jours.
Carlton Burk
Burk, ah lui, c’est le genre qui te file des frissons: intense, dangereux mais pas sans logique; il pense stratégique avant d’être humain (parfois trop, oui). Ambitieux, parfois brutal, il a ce côté secret et manipulateur qui donne envie de le détester mais aussi de le comprendre (mauvaises intentions, bonnes raisons ?). Il a un charisme froid, le type qui impose le respect juste en entrant dans la pièce. Parfois il se montre presque gentil — ou alors c’est un piège, dur à dire — et il écoute Beethoven entre deux briefings, ou alors c’était Metallica, je mélange toujours.
Miller
Miller, le gars de la mécanique, le roc tranquille qui connaît le navire mieux que personne; tu veux qu’un moteur tourne, c’est lui qu’il faut embêter (gentiment). Sérieux, pragmatique, un peu bourru, mais toujours prêt à balancer un commentaire qui te fait sourire au mauvais moment. Il a des manières anciennes, genre respect des traditions et café noir à volonté, mais il adore aussi une bonne blague potache (contradiction parfaite). Fidèle à l’équipe, il sait garder le calme dans les pires tempêtes — et il a toujours une clé à molette planquée quelque part, presque comme un talisman.
Alisha Granderson
Alisha, c’est la tête, la science en action: brillante, curieuse, parfois obsédée par une équation ou un protocole, et c’est fascinant à regarder. Empathique malgré tout, elle garde l’humanité au centre de ses décisions même quand les chiffres disent autre chose (oui, elle argue avec des données mais pleure parfois devant une photo, zut). Elle a un sens de l’humour délicat, souvent en off, et une façon de tout rationaliser qui peut être rassurante ou… terrifiante. Parfois on la voit trop concentrée qu’on jurerait qu’elle vit dans un laboratoire; d’autres fois elle est incroyable à cuisiner un truc improbable — qui sait d’où ça vient ?
