À propos du Fruits Basket en quelques mots:

Fruits Basket est une série animée qui suit l’histoire de Tohru Honda, une jeune fille qui se retrouve sans abri après la mort de sa mère. Elle finit par vivre dans une tente dans la forêt, mais lorsqu’elle rencontre les membres de la famille Soma, sa vie change pour toujours. La famille Soma est maudite, et chaque membre se transforme en animal du zodiaque chinois lorsqu’ils sont stressés ou étreints par une personne du sexe opposé. Tohru devient rapidement amie avec les membres de la famille Soma, et elle découvre les secrets et les tragédies de leur malédiction. La série explore des thèmes tels que l’amitié, l’amour, la famille et la guérison.

Rencontrez les personnages de Fruits Basket

Hiro Sohma

Hiro, oui, ce Hiro-là — un peu dans l’ombre mais étonnamment chaleureux, toujours prêt à aider sans faire de bruit. Il a ce côté tranquille, presque posé, mais parfois il lâche une remarque trop honnête et tout le monde sursaute (moi j’adore). On le voit souvent avec un brin de nostalgie, comme s’il gardait des petites histoires ridicules dans la manche, et en même temps il peut être bizarrement capricieux sur de menus détails. Franchement, il donne cette impression d’oncle sympa qui collectionne des tasses à thé improbables (ou est-ce des timbres ? j’oublie).

Kisa Sohma

Kisa, c’est la douceur incarnée — timide, sensible, et terriblement attachante, avec une réserve qui fond comme neige au soleil quand elle se sent en sécurité. Elle dessine beaucoup, ou du moins elle aime vraiment les crayons, et elle miaule presque intérieurement de mignonnerie, sauf quand elle devient un petit ouragan de détermination (surprenante, non ?). Sa fragilité n’empêche pas un courage tranquille, du genre qui choque quand il éclate, et elle a parfois des réactions qui semblent trop adultes pour son âge. Et je jure qu’elle a un doudou invisible qu’elle serre quand personne ne regarde — ou peut-être c’est juste son écharpe ?

Hatori Sohma

Hatori, le type calme et sérieux avec des yeux qui ont vu trop de choses — médecin taciturne, mémoire effaceur (oui, c’est flippant mais utile), et une élégance un peu fatiguée. Il est du genre à rendre les autres plus sages juste par sa présence, mais attention, il a un humour sec et parfois un rire qu’on n’attend pas du tout. Il souffre en silence, profondément loyal, et pourtant il a des petites habitudes étranges, genre collectionner des réveils qui ne sonnent jamais. On sent chez lui une mélancolie douce-amère, mais il sauve les gens sans fanfare — et ça, c’est classe.

Kagura Sohma

Kagura est l’énergie brute sur deux jambes: passionnée, explosive, dévouée à l’excès (surtout pour celui qu’elle aime — oui, elle est un peu folle, ok, assumée). Elle mélange violence romantique et tendresse folle, genre elle te frappe et puis t’apporte une soupe, tout de suite après; c’est incompatible et parfait. Elle a des accès de jalousie qui font peur et des câlins qui guérissent, et parfois elle joue les tsundere avec une intensité dramatique digne d’un opéra. Petit détail mignon: elle adore les objets kitsch et les porte comme des médailles, parfois coordonnés, parfois non — mais toujours avec conviction.

Ayame Sohma

Ayame, le grand frère extravagantly dramatique, c’est la mode en personne et la philosophie à la fois — on ne sait jamais s’il parle pour choquer ou pour émouvoir, mais souvent il fait les deux. Il a un sens du style outrageux (lunettes, écharpes, parfums bizarres) et une tendance à transformer une conversation banale en monologue théâtral, et j’ai l’impression qu’il sait tout sur tout, même des choses inutiles mais fascinantes. Sous le froufrou et les blagues, il est incroyablement protecteur et d’une douceur presque embarrassante quand il veut bien l’être. Et oui, il exagère tout le temps, mais on lui pardonne parce que ses histoires finissent toujours par être étrangement profondes.

Isuzu (Rin) Sohma

Rin, c’est la froideur élégante qui cache un volcan; distante, parfois acerbe, mais d’une loyauté qui décoiffe quand elle s’investit. Elle a ce regard un peu dur et en même temps des gestes quasi maternels quand elle veut — paradoxale à souhait — et elle fume parfois (ou c’est un tic ?), ce qui lui donne un air à la fois triste et dangereux. Son passé la rend méfiante, mais quand elle accepte quelqu’un, c’est pour la vie; elle a un côté pianiste sérieux dans l’âme (ou alors elle frappe juste fort sur la table, je sais plus). Bref, complexe, blessée mais farouchement fière, et incroyablement magnétique quand elle sourit — oui, ça arrive.

Arisa Uotani

Arisa, c’est la badass au grand cœur: bagarreuse, loyale, drôle et un peu grosse blague ambulante, mais attention elle sait être sérieuse quand il faut. Ancienne délinquante repentie (ou presque), elle a un look de guerrière et une passion étonnante pour la nourriture — la viande, toujours — et pour ses deux meilleures amies, elle se transforme en protectrice sans limites. Elle balance des punchlines, fait des câlins surprenants et a un humour qui sauve des situations improbables; parfois elle pleure sans prévenir, parfois elle rit trop fort, bref imprévisible. Et oui, elle a peut-être une routine étrange le matin, qui inclut faire des pompes et manger des chips — à vérifier.

Tohru Honda

Tohru, la bonté incarnée, impossible de ne pas fondre: solaire, infatigable, attentive au moindre détail, elle transforme tout en maison chaleureuse sans lever la voix. Elle est naive parfois (et ça peut être drôle), mais sa capacité à comprendre les gens est presque magique; elle cueille les petits morceaux de tristesse et les change en corbeille de gâteaux — métaphoriquement et parfois littéralement. Toujours en tablier, toujours avec un sourire — et oui elle a des tics, genre parler aux plantes ou laisser des post-it partout, je jure. Elle semble fragile mais tient des montagnes; c’est la colle du groupe, et honnêtement, qui ne veut pas d’une Tohru dans sa vie ?

Kyo Sohma

Kyo, explosion d’émotions, furie orange aux poings rapides et au cœur énorme, toujours prêt à se battre et encore plus prêt à se cacher après. Il est impulsif, rancunier, terriblement seul derrière sa carapace, mais il a un sens de l’humour sec et des moments de tendresse qui te font fondre — parfois littéralement. Il est obsédé par sa culpabilité (trop) et en même temps super maladroit avec l’affection, du genre qui offre un sandwich quand il veut dire « je tiens à toi ». Bref, violent mais adorable, rugueux en surface et fondant sous la croûte, avec une manie de s’excuser même quand il a raison.

Yuki Sohma

Yuki, le prince triste et impeccable, beau, poli, un peu distant, mais avec une vulnérabilité qui te serre la poitrine dès qu’il baisse la garde. Il a cette façon parfaite de s’excuser pour tout, d’être élégant en toutes circonstances, et derrière ça une solitude énorme et des blessures d’enfance qu’on lit dans ses yeux. Hypersensible et ambitieux, il jongle entre vouloir être aimé et craindre de déranger — parfois il se montre froid, parfois il fait une crise existentielle à propos d’un stylo, c’est très Yuki. Il soigne son apparence comme on soigne un jardin, mais parfois jurerais le voir manger des gâteaux en cachette à 3h du matin.