À propos du Vanitas no Carte en quelques mots:

Vanitas no Carte est une série animée japonaise basée sur le manga du même nom. L’histoire se déroule dans un monde où les vampires et les humains coexistent, mais les vampires sont souvent victimes de préjugés. Le protagoniste, Noé, est un vampire qui rencontre Vanitas, un humain qui prétend être un médecin capable de guérir les vampires. Ensemble, ils se lancent dans une aventure pour découvrir la vérité sur le grimoire de Vanitas, un livre mystique qui pourrait changer l’équilibre entre les deux espèces. La série est remplie d’action, de mystère et de personnages intéressants, et elle est disponible en streaming sur diverses plateformes.

Rencontrez les personnages de Vanitas no Carte

Vanitas

Vanitas, c’est ce type théâtral qui débarque en trombe avec son carnet bizarre et un sourire qui veut tout dire sauf la vérité. Il joue les docteurs des vampires, il bricole, il hurle, puis il devient subitement doux — ou c’est peut-être juste du théâtre, allez savoir. Il est incroyablement sûr de lui et terriblement insécurisé à la fois, un vrai feu d’artifice qui parfois oublie où il a posé ses gants. Il a des tics, des répliques trop parfaites, et apparemment une passion secrète pour le café froid (oui, vraiment). Honnêtement, on l’aime parce qu’il est imprévisible et un peu casse-cou, même si parfois on a envie de le secouer.

Noé Archiviste

Noé, c’est la grâce incarnée avec des airs un peu distante — genre aristocrate poétique qui lit trop et parle peu. Il est doux, loyal jusqu’à la douleur, et il a ce regard qui te donne l’impression qu’il comprend des siècles d’histoire (parce que, eh bien, souvent il comprend vraiment). Paradoxalement, il peut être d’une naïveté enfantine sur certains trucs, et en même temps plus sage que tous les vieux de la bibliothèque réunis; je vous jure, c’est déroutant. Il collectionne des petits objets inutiles (boutons, plumes) et prétend que ce n’est « pas important », sauf quand il les range avec une obsession adorable. Bref, c’est le calme avant la tempête, et la tempête qui arrive est souvent plus tendre que prévue.

Dominique de Sade

Dominique, c’est la noblesse qui mord — élégante, un peu cruelle, et pourtant terriblement attentive à son cercle proche. Elle adore le paraître, les robes, les salons, mais peut vous découper une idée fausse comme on épluche une orange, sans merci; belle et tranchante, oui. Elle cache une mini-folie inventive derrière son sourire poli — aime les énigmes, les défis, et paraît tenir un carnet de recettes dont personne n’a vu le contenu (peut-être des potions?). Parfois elle est maternelle, parfois elle fait rire par sa brutalité franche, et parfois elle est juste étonnamment sentimentale devant un coucher de soleil (sérieux). En tout cas, on ne l’ennuie pas deux fois; elle garde la main ferme et un sens du spectacle indéniable.

Jeanne

Jeanne, c’est la guerrière froide au cœur bouillant — disciplinée, implacable, et incroyablement loyale, mais avec un sens de l’humour sec qui surprend toujours. Elle est souvent silencieuse, efficace, et si vous cherchez du cinéma dramatique, elle vous le servira en un regard, puis rangera son épée comme si de rien n’était. Elle semble stricte mais a des poussées de spontanéité (genre acheter des bonbons bizarres au milieu de la nuit) et elle a une faiblesse incohérente pour les fleurs en papier — oui, des fleurs en papier. Parfois elle fulmine comme une tempête, parfois elle se met à fredonner en nettoyant son arme, ce qui est à la fois effrayant et curieusement apaisant. Bref, Jeanne, c’est l’autorité avec un cœur secret et des contradictions charmantes.