À propos du KonoSuba en quelques mots:

KonoSuba est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Kazuma Satou, un adolescent qui meurt dans un accident de la circulation et est réincarné dans un monde de jeu vidéo. Il est accompagné de Aqua, une déesse inutile, Megumin, une magicienne obsédée par les explosions, et Darkness, une paladine masochiste. Ensemble, ils forment une équipe maladroite qui doit combattre des monstres et accomplir des quêtes pour gagner de l’argent et améliorer leur équipement. La série est connue pour son humour et ses personnages excentriques.

Découvrez les personnages de KonoSuba

Eris

Eris est cette prêtresse calme et dévouée qui donne l’impression que tout ira bien si elle est dans les parages — et souvent elle a raison. Elle est douce mais peut être étonnamment directe, genre « non, arrête ça tout de suite » avec un air de mère sévère et zéro hésitation. Vouloir la sous-estimer parce qu’elle soigne tout le monde? Mauvaise idée, elle a de la poigne quand il le faut (et elle adore les confiseries, ou était-ce des croûtons? Je mélange toujours). Très pieuse mais pas ennuyeuse, elle a des principes et parfois une surprise sarcastique cachée derrière son sourire.

Kazuma Sato

Kazuma, c’est le gars pragmatique, râleur et complètement capitaliste du groupe — un anti-héros qui ferait n’importe quoi pour une bonne sieste et un peu d’argent. Intelligent à sa façon, il combine feinte, flemme et cerveau froid pour s’en sortir, souvent en trichant légèrement ou en trouvant le plan le plus paresseux mais efficace. Parfois héroïque, parfois lamentable, il a le talent rare de te faire rire tout en gérant les désastres (et il est un peu pervers, ok, mais attachant). Ah, et il a cette relation amour-haine avec la malédiction du destin, genre il veut être glorieux mais adore les récompenses pratiques.

Darkness

Darkness est noble, solide comme un roc et complètement hors du radar en tant que combattante — littéralement, elle prend les coups pour tout le monde et… admire la douleur, ce qui est à la fois drôle et gênant. Elle a l’allure d’une chevalière digne, mais son fan club secret, c’est en fait sa propre obsession masochiste, et oui elle rougit quand on dit « enchainer une défaite honorable ». Très loyale, parfois tête brûlée au mauvais moment, et étonnamment très généreuse (mais elle rate souvent ses attaques — bon, tout le temps). Elle est bizarrement adorable quand elle parle de devoir, comme si tout ceci était un jeu très sérieux où elle gagne en souffrance.

Beldia

Beldia, c’est le vieux démon/ancien grand vilain qui te regarde comme si tu étais un jouet casse-pieds mais qui, sous sa carapace, a un côté presque paternel (ou c’est du théâtre? je ne sais plus). Imposant, charismatique, parfois un peu dramatique dans ses introductions, il aime les monologues et les destructions théâtrales — et parfois il fait du jardinage, oui, je dis bien du jardinage, ou c’est une rumeur. Il inspire la peur et le respect, mais on peut jurer l’avoir vu pleurer devant un coucher de soleil (ou est-ce un effet de lumière?). Bref, intimidant mais pas sans contradictions sentimentales.

Aqua

Aqua est la déesse la plus… chaotique? Très expressive, incroyablement pleine d’énergie et juste inutile au combat quand il faut du bon sens, mais bizarrement indispensable pour les situations sociales (et les réunions d’imprévus). Elle aime briller, chanter, se mettre en scène, puis foutre le bazar et pleurer cinq minutes après — un vrai yo-yo émotionnel. Puissante en théories divines et miracles, mais pratique? Euh… pas toujours (et elle adore les bains, non, vraiment, obsession pour les bains). En gros c’est la diva inefficace mais sincère qui te fera rire autant qu’elle te mettra dans l’embarras.

Megumin

Megumin, reine des explosions, obsédée par un seul sort et fière comme un phénix sur son trône de débris — elle jure que l’explosion est l’art suprême et rien d’autre ne compte. Extrêmement dramatique, théâtrale à souhait, elle met toute son âme dans une seule incantation par jour et puis se retrouve épuisée mais satisfaite, genre professeur artiste torturé. Étonnamment fidèle et enfantine parfois, elle a des goûts bizarres pour les chapeaux et les poses, et jure jamais d’apprendre autre chose (sauf quand elle triche accidentellement et lance un sort stupide en cuisine). Simple, intense et irrémédiablement attachante — et oui, elle exagère toujours un peu.

Yunyun

Yunyun, pauvre Yunyun, la rivale timide et super studieuse de Megumin qui veut juste des amis mais a le timing social d’un robot mal programmé — elle est adorablement maladroite. Sérieuse, compétente en magie et parfois incroyablement douée, mais elle s’en sort souvent pire que prévu à cause de sa gaucherie sociale (et d’un sens du drame très dramatique). Elle a un cœur énorme, se fixe des objectifs ridicules et essaie de t’aider même si ça la rend rouge jusqu’aux oreilles; parfois elle insiste trop, parfois elle se retire, c’est compliqué. Yunyun est la combinaison de compétences réelles et d’un manque total de chance pour briller dans les soirées.

Hans

Hans est ce type bureaucratique/mercenaire (ou commerçant? les deux?) qui arrive avec des papiers, des plans et une expression de « tout est sous contrôle » — mais souvent c’est un contrôle un peu souple. Il aime les règles, les contrats, les petits arrangements qui rapportent, et il a un sens du détail presque comique (vérifie toujours les lignes, les signatures, les timbres, je te jure). Discret mais utile, parfois un héros silencieux ou juste un homme qui veut un bon café et un bureau propre; il peut surprendre en combat ou juste courir pour éviter les ennuis, difficile à dire. En tout cas, c’est le type qu’on oublie jamais quand il te sort un claquement de doigts bureaucratique.

Vanir

Vanir, le démon entrepreneur en costard — charmeur, malin et avec un rire trop confiant, il adore les deals brillants et les surprises en trompe-l’œil. Il a ce regard pointu et une tendance à manipuler les situations comme un joueur d’échecs, mais il est aussi étonnamment sociable, genre il t’invite à boire et termine par te vendre cinq contrats. Il adore les gadgets, la boutique, collectionne les petites tricheries et est peut-être, je dis bien peut-être, un addict des jeux de société (ou c’est une exagération de fan). En bref, slick, intelligent, souvent drôle, et probablement en train de préparer un plan qui te fera applaudir et grogner en même temps.

Wiz

Wiz est la nécromancienne tendre, l’undead douce qui gère une boutique magique et qui pourrait te donner des conseils parentaux en vendant un artefact à la fois. Mélancolique parfois, elle a un rire timide et adore les bonbons (oh et les poupées) — mais n’oublie pas: c’est quand même une puissante sorcière qui peut être terrifiante si on la provoque. Elle est chaleureuse, attentionnée avec les habitués, et cache une histoire lourde qui la rend plus profonde qu’elle en a l’air (ça sort parfois dans ses silences). En somme, étrange mélange de vulnérabilité et de puissance, on veut la protéger et en même temps lui confier notre inventaire magique.