À propos du Yuri!!! On Ice en quelques mots:

Yuri!!! On Ice est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Yuri Katsuki, un patineur artistique japonais qui a perdu sa confiance en lui après une défaite humiliante. Alors qu’il pense à mettre un terme à sa carrière, il rencontre le légendaire patineur russe Victor Nikiforov, qui décide de devenir son entraîneur. Ensemble, ils voyagent à travers le monde pour participer à des compétitions et remporter des médailles. La série explore les thèmes de l’amitié, de l’amour et de la persévérance, tout en offrant des performances de patinage artistique incroyables et une bande-son épique.

Découvrez les personnages de Yuri!!! On Ice

Yuri Plisetsky

Yurio, c’est un concentré d’adrénaline russe en petit format — bourré de rage, de talent pur et d’une fierté à déplacer des montagnes. Il jure tout le temps (j’exagère, mais presque) et en même temps il adore les choses mignonnes, ce qui est complètement contradictoire et parfait. Sur la glace il transforme la colère en perfection technique; hors glace il peut se comporter comme un ado de 15 ans qui voudrait qu’on le laisse tranquille mais cherche secrètement des compliments. Ah et il a un style vestimentaire sauvage, parfois élégant, parfois… pas du tout, c’est Yurio quoi.

Victor Nikiforov

Victor, c’est l’icône brillante qui te sourit et te fait fondre en deux secondes, un mélange de génie, d’exubérance et d’égo délicieusement assumé. Coach, mentor, showman et parfois gros gosse qui joue au chat et à la souris (avec un peu trop de glamour), il sait tout faire sauf rester sérieux trop longtemps. Il inspire, manipule (gentiment) et fait les choses à sa façon, souvent en laissant derrière lui une traînée de paillettes et de confusion émotionnelle. Et oui, il a l’air de collectionner les photos mignonnes et les cafés stylés — ou était-ce les tasses? Peu importe, c’est Victor.

Yuri Katsuki

Yuri, le timide qui se transforme en bête précise sur la glace — anxieux, doux, obsédé par les détails et toujours trop honnête avec ses propres peurs. Il a des selfie-moments douteux, mange beaucoup (ramen! stress-food!), et en même temps il y a cette force tranquille quand la musique commence qui te prend aux tripes. Il doute, mais bosse, et quand il est poussé par quelqu’un (ou quelque chose, genre une moustache très convaincante) il devient magnifique. Parfois il se perd dans ses pensées et puis paf, il sort une pirouette folle, classique du “je suis timide mais jeeee—” moment.

Kenjirou Minami

Kenjirou, calme, poli à la japonaise mais pas ennuyeux, genre l’oncle sympa qui sait toujours comment recadrer une conversation sans dramatiser. Il a une présence rassurante: steady, professionnel, un peu mystérieux parce qu’on n’en sait pas trop — ce qui est intriguant, non? Sur la glace il est précis, élégant, pas de fioritures inutiles mais quand il décide d’ajouter un petit détail perso, boum, ça fonctionne. Parfois il raconte des anecdotes absurdes (je le jure, il collectionne peut-être des stylos bizarres), parfois il reste dans l’ombre; bref, sérieux mais avec du charme caché.

Michele Crispino

Michele, l’Italien solaire qui a du flair, de la théâtralité et un côté « je vis pour la performance » — très expressif, très dramatique, très bon public aussi. Il cante presque ses programmes dans la tête et t’offre des mimiques incroyables (parfois too much, parfois parfait), et il est le genre de compétiteur qui te fait sourire sans remarquer. Il peut râler comme un vieux monsieur un peu comique, se plaindre de tout et de rien, mais t’assure aussi qu’il répète jusqu’à l’obsession; contradiction vivante. Et oui, il boit sûrement trop de cappuccinos entre deux entraînements — ou alors c’est du thé, ou peut-être des jus, bon, vous voyez l’idée.