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Quel personnage d’Angels of Death : Satsuriku no Tenshi es-tu ?

Si vous êtes fan de la série télévisée Angels of Death : Satsuriku no Tenshi, vous avez sûrement déjà imaginé être l'un des personnages de cette histoire sombre et complexe. Et si vous pouviez le découvrir en répondant à quelques questions ? C'est exactement ce que nous vous proposons avec notre quiz Quel personnage d'Angels of Death : Satsuriku no Tenshi es-tu ?. Alors, êtes-vous plutôt Rachel, la jeune fille mystérieuse en quête de réponses, ou Zack, le tueur en série au passé trouble ? Ou peut-être êtes-vous Danny, Cathy ou Eddie ? Pour le découvrir, cliquez sur le bouton Commencer et répondez honnêtement aux questions qui vous seront posées.

Bienvenue au quizz: Quel personnage dAngels of Death : Satsuriku no Tenshi es-tu ?

À propos du Angels of Death: Satsuriku no Tenshi en quelques mots:

Angels of Death: Satsuriku no Tenshi est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Rachel Gardner, une jeune fille de 13 ans qui se réveille dans un sous-sol étrange et sombre sans aucun souvenir de son passé. Elle rencontre rapidement un tueur en série nommé Zack, qui lui propose de l’aider à sortir de cet endroit en échange de sa vie. Ensemble, ils doivent traverser les différents étages de l’immeuble, chacun étant gardé par un tueur différent. La série est remplie de mystères, de suspense et de violence, offrant une expérience de visionnage intense et captivante.

Découvrez les personnages d’Angels of Death : Satsuriku no Tenshi

Rachel Gardner

Rachel, c’est cette fille pâle et silencieuse qui te hante après cinq minutes de jeu — calme comme un couloir vide et pourtant avec une obsession pour la mort qui donne des frissons. Elle parle peu, réfléchit trop, et parfois on jurerait qu’elle note tout avec un petit sourire presque absent (ou c’est juste moi qui l’imagine). Elle paraît fragile mais elle a une détermination glaciale — du genre à planifier des choses horribles sans même lever la voix. Parfois elle se comporte comme une enfant, parfois comme une stratège froide, et ces deux trucs coexistent comme si c’était normal; j’adore ce contraste. Ah, et elle a un truc pour collectionner des petits papiers, ou c’était des bonbons ? je ne sais plus, j’invente peut-être.

Isaac Foster

Zack, oh mon dieu Zack, c’est la brute au cœur d’or (oui, c’est cliché mais c’est vrai — enfin, parfois). Il est violent, imprévisible, crie beaucoup et manie la hache comme s’il jouait d’un instrument, mais gare à qui touche Rachel, il devient étrangement protecteur, genre papa ours mais avec des bandages. On a l’impression qu’il adore le chaos mais qu’il est aussi terriblement loyal — contradiction made in fandom. Il jure, il pleure peut-être (ou grogne), et il a un rire qui te reste en tête, pour le meilleur et pour le pire. Et je jure qu’il aime les biscuits, ou qu’il les écrase, je me rappelle plus, mais y a quelque chose de drôle avec des biscuits.

Daniel Dickens

Daniel, c’est l’excentrique — un peu showman, un peu malade dans la tête, toujours prêt à jouer un rôle ou à faire un numéro (mettez une musique dramatique et il s’y croit). Il a des manies, des rituels bizarres, peut être terrifiant en un instant puis presque mélancolique l’instant d’après; on ne sait jamais si c’est du génie dramatique ou juste… du chaos pur. Il parle beaucoup, trop peut-être, et adore laisser des petites mises en scène derrière lui, comme s’il voulait qu’on l’applaudisse (ce qui est à la fois drôle et creepy). Parfois il est presque tendre — oui, oui, je dis ça et je me contredis — mais c’est juste que c’est compliqué avec lui. Et je suis sûre qu’il collectionne des timbres ou des cartes postales, ou alors c’est un canular, bref.

Edward Mason

Edward donne l’impression d’un type poli qui connait toutes les règles, la montre et le stylo dans la poche, très ordonné, mais tu sens que c’est dangereux sous la surface. Il parle calmement, explique les choses de façon affable et c’est là que tu comprends que c’est encore plus inquiétant (les gens courtois qui cachent quelque chose, classique). Il semble rationnel, presque clinique, mais parfois il laisse filer un sourire étrange et on se demande quelles lignes il est prêt à franchir pour arriver à ses fins. Il aime l’ordre mais il a des petits défauts bizarres, comme collectionner des cartes à jouer ou adorer les romans sentimentaux, je me perds dans ses contradictions. En tout cas, c’est le genre à garder un secret qui te fait perdre le sommeil si tu y penses trop.

Catherine Ward

Catherine, c’est l’élégance froide, la femme qui porte des talons et des plans en longueur — elle contrôle, elle manipule, elle a toujours une opinion et elle la claque comme une porte. Elle peut paraître distante, sévère, mais parfois elle a des gestes presque maternels (oui, surprenant), ce qui la rend encore plus imprévisible. Elle aime les règles, la propreté, et on dirait qu’elle a un faible pour les petites doses de cruauté théâtrale; grande classe et grande froideur. Parfois elle pleure en secret, parfois elle rit trop fort, et je jure que je l’ai vue écrire des poèmes une fois (ou j’ai rêvé, littéralement). Bref, elle est du genre à te faire croire qu’elle t’aide puis à te couper les ailes — mais avec style.

Abraham Gray

Abraham est le type massif et silencieux qui te rassure et te fout la trouille en même temps — taciturne, fort, mais pas stupide, loin de là. Il parle peu mais quand il le fait c’est toujours quelque chose de pondéré et parfois trop sage pour cet endroit (comme s’il lisait des citations au petit-déjeuner). On sent qu’il porte des blessures (physiques ou pas), il est protecteur et mystérieux, avec un côté presque philosophique quand il regarde par la fenêtre — ou peut-être qu’il regardait juste un trou, je dramatise un peu. Il collectionne des objets improbables (des clous? des boutons?) et parfois il cuisine des plats terribles mais réconfortants, donc bon, contradictions encore. En tout cas, il est le genre de personnage qui te surprend toujours et qui devient curieusement attachant.