À propos du Rurouni Kenshin: Samurai X en quelques mots:

Rurouni Kenshin: Samurai X est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Kenshin Himura, un samouraï légendaire qui a juré de ne plus jamais tuer après la fin de l’ère Meiji. Il voyage à travers le Japon en aidant les gens et en combattant les criminels avec son épée inversée. Au fil de la série, Kenshin rencontre de nombreux personnages intéressants et doit affronter son passé violent. La série est connue pour son animation époustouflante, son intrigue captivante et ses combats de samouraïs impressionnants.

Découvrez les personnages de Rurouni Kenshin : Samurai X

Himura Kenshin

Kenshin, c’est ce mélange dingue de douceur maladroite et de lame qui peut découper un wagon — littéralement. Il a juré de ne plus tuer mais ne laisse pas son passé de Battōsai derrière lui, donc il y a toujours cette tension délicieuse entre samouraï pacifique et ex-assassin, tu vois ? Il sourit comme un grand enfant (et parfois il cuisine des trucs bizarres au dojo, je jure que c’est pas une blague) et en même temps il porte ce lourd fardeau qui le rend incroyablement profond. Ah et le petit côté gaffeur — trébuche souvent, adore les enfants — mais quand il faut, il devient froid comme la glace, surprenant à chaque fois.

Kamiya Kaoru

Kaoru, c’est la prof qui te met la main au collet et te remet sur le droit chemin, mais qui peut aussi te frapper avec un bokken si tu fais le malin — femme forte, super émotive parfois, et terriblement têtue. Elle tient son dojo comme si c’était la dernière chose importante du monde, et elle a ce cœur géant qui rapièce les gens (et les samouraïs aussi, oui oui). Elle est adorablement maladroite en amour (oh clairement), mais n’hésite jamais à se battre pour ce qu’elle croit — et elle coud comme une ouvrière pourtant elle râle d’être vieille à vingt ans, lol. Parfois elle a des réflexes de mère-poule, d’autres fois elle pète un câble et devient guerrière, ce contraste la rend irrésistible.

Myōjin Yahiko

Yahiko, le gamin qui commence comme pickpocket râleur et qui devient petit samouraï avec trop d’orgueil pour son âge — arrogant, bruyant, mais tellement attachant. Il a la fierté de l’orphelin qui veut prouver quelque chose au monde, donc il s’entraîne comme un dingue et brûle parfois les étapes, ce qui est à la fois mignon et… inquiétant. Il bouffe des sucreries sans honte (ok peut-être j’ai inventé ça mais ça lui va), râle tout le temps mais fait preuve d’un courage qui surprend tout le monde. Bref, il est la version jeune et explosive du groupe, mais attention il a un cœur d’or planqué sous les insultes.

Sagara Sanosuke

Sanosuke est le bagarreur au grand cœur — il tape d’abord, réfléchit peut-être jamais, mais il est loyal jusqu’à la mort (et il adore les paris ridicules, la bouffe bon marché et les gros coups). Ex-membre d’une bande anti-gouvernement, il est pragmatique, aime l’action pure et simple et porte souvent une expression « je m’en fiche » qui cache un sacré passé. Il a ce côté pote bourru qui donne des conseils bizarres et qui s’énerve pour des raisons absurdes, mais il est aussi étonnamment tendre avec les faibles (sérieux). Parfois il parle comme un grand enfant, parfois il est philosophe à l’improviste — ça varie selon s’il a mangé ou non.

Takani Megumi

Megumi, la doctoresse géniale mais traumatisée, elle tremble encore parfois à cause de son passé (mais elle est hyper compétente, genre vraiment brillante en médecine). Elle passe de la timidité totale à une détermination féroce, et possède ce contraste moderne/traditionnel qui la rend super intéressante — une scientifique au milieu de samouraïs, quoi. Elle collectionne les tasses à thé (oui j’ai lu ça quelque part ou je l’imagine), parle vite quand elle stresse, et peut balancer des répliques cinglantes quand ça chauffe. Parfois elle joue la femme fragile et en même temps elle sauve la journée avec un scalpel, donc tu ne sais jamais à quoi t’attendre.

Shinomori Aoshi

Aoshi, le chef des Oniwabanshū, calme presque glacé, obsédé par la victoire et la maîtrise, c’est l’archétype du ninja torturé — il a ce code d’honneur qui le rend à la fois impressionnant et triste. Il manie les kodachi comme s’ils faisaient partie de son corps et sa loyauté est aussi tranchante que ses lames, mais il y a une vulnérabilité secrète (il aime les étoiles, ou c’est peut-être une invention de fan, mais j’aime y croire). Parfois il semble inébranlable, puis paf, un petit geste montre qu’il tient à certaines personnes plus qu’il ne le dit, et ça casse tout ton stoïcisme. Bref, intense, concentré, mystérieux — et parfois un peu sentimental, chut.

Saitō Hajime

Saitō c’est le type froid et efficace avec la devise « Aku soku zan » (et oui il tranche la racaille sans hésiter), il est le flic dur à cuire devenu un rival/allié ambigu — impossible de rester indifférent. Son visage impassible, ses méthodes implacables et son sens de la justice très… direct font de lui le personnage qui balance le côté obscur de l’ère Meiji avec classe. Il peut être sarcastique, presque blasé, et pourtant il a des moments où il apparaît étrangement raisonnable (comme s’il lisait l’avenir). Ah et il a probablement un faible pour les affaires bien faites — paradoxalement, il aime l’ordre autant qu’il aime trancher le désordre.

Makimachi Misao

Misao, l’énergie pure en forme de kunoichi, elle bondit partout, parle vite, et a cette loyauté joyeuse envers Aoshi qui te fait fondre ou soupirer selon ton mood. Elle manie la chaîne et la faux (kusarigama) avec un style acrobatique et un sourire insolent, et elle est à la fois super compétente et complètement maladroite sur des trucs du quotidien — genre elle casse des tasses mais prépare des pièges parfaits. Elle a des petits airs d’enfanteresse qui cachent une détermination de feu, et elle adore embêter tout le monde (surtout ceux qui la sous-estiment). Bref, fofolle mais dangereuse, adorablement impulsive et étonnamment perspicace quand ça compte.