À propos du Erased: Boku dake ga Inai Machi en quelques mots:

Erased: Boku dake ga Inai Machi est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Satoru Fujinuma, un mangaka de 29 ans qui possède une capacité unique à remonter dans le temps. Après avoir été accusé à tort d’un crime, Satoru utilise son pouvoir pour retourner dans le passé et résoudre une série de meurtres qui ont eu lieu dans sa ville natale, tout en essayant de sauver une jeune fille qui a été enlevée. La série est remplie de suspense, de rebondissements et de moments émouvants alors que Satoru se bat pour changer le destin de ceux qui l’entourent.

Découvrez les personnages d’Erased: Boku dake ga Inai Machi

Satoru Fujinuma

Satoru, c’est le type qu’on adore parce qu’il campe entre le héros épuisé et le mec ordinaire qu’on croise au coin de la rue — il saute dans le passé et s’emmêle les pinceaux mais toujours pour la bonne raison. Il est doux, terriblement coupable parfois (il rumine comme personne) et en même temps prêt à foncer tête baissée. Il a des tics bizarres — adore les snacks à n’importe quelle heure, oublie les anniversaires mais se souvient d’un détail minuscule qui sauve une vie — bref, imprévisible et profondément humain. J’adore son mélange de fatigue chronique et de volonté en béton, c’est presque trop chou.

Kayo Hinazuki

Kayo, oh Kayo, silhouette fragile mais rrrrée-solide à l’intérieur, toujours un peu en retrait mais qui vous fout un coup de poing dans le cœur quand elle sourit enfin. Elle parle peu, regarde beaucoup, et il y a une tristesse qui colle à elle mais aussi une force qui surprend — genre, ne la sous-estimez jamais. Parfois elle est froide comme la glace, parfois elle veut juste un bonbon ou un câlin, c’est contradictoire et j’aime ça. Et non, elle n’a pas besoin de beaucoup de mots pour dire tout un roman; mystérieuse et vraie.

Airi Katagiri

Airi est ce rayon de soleil chaleureux qui vient nettoyer la salle et vous filer un café même quand vous n’allez pas bien — modèle d’empathie un peu gaffeuse, toujours adorable. Elle est super attentive, a ce côté “je vais t’aider” tout le temps et parfois elle rougit pour un rien, trop mignonne, un peu maladroite dans ses confidences. Elle paraît simplette mais prend des décisions courageuses, vous verrez, ce mélange naïf/courageux est surprenant. Et parfois elle raconte des anecdotes aléatoires sur les chats, je jure que c’est son truc.

Sachiko Fujinuma

Sachiko, la maman qui ne plaisante pas: forte, lucide, hyper-protectrice et avec un sens de l’humour sec qui fait tout passer. Elle a ce regard de mère qui voit avant tout le monde, qui ne s’effondre pas mais qui peut exploser en une phrase tranchante — j’adore sa ténacité. Elle travaille dur (et je crois qu’elle a toujours un carnet à portée de main), elle est pratique mais sait être incroyablement douce au bon moment. Parfois elle a l’air de savoir exactement ce qu’il faut faire, parfois elle doute, ce qui la rend encore plus vraie.

Jun Shiratori

Jun, personnage un peu louche et fascinant, t’as envie de l’aimer et de te méfier en même temps — il joue plusieurs registres et ça rend tout plus tendu. Il est théâtral, parfois enfantin, parfois carrément inquiétant, et il adore attirer l’attention (même si ça cache sûrement un truc). Il a l’air de sortir des blagues nullement appropriées mais au fond il porte un poids; compliqué et attachant à sa façon. Parfois il est incroyablement charmant, parfois il vous donne envie de verrouiller la porte, bref, mon personnage pétillant-possible-suspect préféré.

Kenya Kobayashi

Kenya, la tête pensante du groupe: observateur, un peu geek, qui note tout et qui a le sens du détail comme arme secrète. Il est curieux, logique, fidèle, mais peut lâcher des répliques qui font sourire sans prévenir — un peu pince-sans-rire. Il adore rassembler des infos (collectionne peut-être des carnets? ou des cartes? pas sûr) et c’est souvent lui qui recolle les morceaux quand tout s’effrite. Franchement, il a ce côté “ami fiable mais sarcastique” qui sauve l’ambiance et la mission.

Gaku Yashiro

Gaku, maître du sourire parfait et des faux-semblants — charmant prof à l’extérieur, véritable labyrinthe psychologique à l’intérieur. Il attire, il rassure, et puis paf, tu comprends que tout n’est pas ce qu’il paraît; manipulateur et glacé quand il faut, c’est presque fascinant. Il a ce calme implacable qui donne froid dans le dos, mais parfois on veut presque croire en sa bonté — il est trop doué pour jouer les deux rôles. Petit détail creepy: il a l’air d’aimer les choses bien rangées — plantes alignées, stylo au millimètre — ou alors je me fais des films, je sais pas.