À propos du Blue Period en quelques mots:

Blue Period est une série animée japonaise qui suit la vie de Yatora Yaguchi, un étudiant de deuxième année du lycée qui a tout pour réussir mais qui se sent vide et insatisfait. Un jour, il découvre sa passion pour l’art et décide de poursuivre une carrière en tant qu’artiste. La série suit son parcours alors qu’il se bat pour trouver sa propre voie dans le monde de l’art, en explorant les différentes formes d’art et en surmontant les obstacles qui se dressent sur son chemin. Avec des personnages attachants et une animation magnifique, Blue Period est une série captivante qui explore la créativité, l’art et la passion.

Découvrez les personnages de La période bleue

Yatora Yaguchi

Yatora, c’est ce genre de mec qui est passé de « je veux juste m’intégrer » à « je vis pour l’art » en deux planches et beaucoup trop de café — sérieux, il carbure à ça, parfois au ramen aussi, je crois. Il est hyper assidu, perfectionniste et en même temps tout hésitant, toujours en train de se demander s’il est à la hauteur (spoiler : il l’est, foutrement). Son énergie changeante fait qu’il peut être timide dans un couloir puis absolument flamboyant devant une toile, ce qui est adorable et déroutant. Et oui, il note tout, compare tout, puis jette la première version deux minutes après — obsession créative, voilà.

Ryuji Ayukawa

Ryuji est le type calme qui a l’air d’avoir toujours une technique secrète et un regard un peu perçant — mystérieux mais pas chiant, plutôt magnétique. Il travaille sans faire de bruit mais ses dessins crient, vous voyez le truc ? Il pousse les autres sans les écraser, genre mentor sarcastique qui adore taquiner et qui, secret bonus, aurait une playlist super mélancolique. Parfois il paraît insensible mais ensuite bam, petit geste tendre et on fond; contradictoire à souhait, comme un personnage de roman.

Yotasuke Takahashi

Yotasuke, c’est le feu d’artifice ambulant: exubérant, drôle, toujours prêt à mettre une touche dramatique (et un accessoire incroyable) dans une scène. Il est parfois superficiel — ok souvent — mais sa capacité à lire une œuvre et à la disséquer est réelle, surprenante et tellement utile. Il adore la scène, le costume, le spectacle, puis il s’assoit et te fait une critique ultra pointue, genre « wow j’ai pas vu ça venir ». Et oui, il poste des selfies, mais parfois il disparaît des réseaux pendant une semaine pour peindre en silence, allez comprendre.

Haruka Hashida

Haruka est une tornade créative avec une brosse, imprévisible, rude et incroyablement sincère — elle dit ce qu’elle pense, pas de filtre, parfois brutal mais vrai. Elle expérimente tout: installations, collages, trucs bizarres qu’on comprend pas tout de suite mais qui restent coincés dans la tête. Parfois elle est chaleureuse comme une grand-mère et cinq minutes après elle te traite de dilettante — affection chaotique, vraiment. Et, fait curieux, elle collectionne les couleurs comme d’autres collectionnent des timbres; je jure qu’elle a un carnet secret de nuances.

Maki Kuwana

Maki, la précision incarnée — elle compose comme une horlogère, chaque élément à sa place et ça vibre d’une manière super propre et intense. Elle peut paraître froide au premier abord (orgueil artistique, maybe) mais si tu la connais un peu elle est carrément fidèle et protectrice, genre grande sœur en secret. Son travail est réfléchi, presque mathématique, et puis parfois elle lâche une toile complètement folle qui te surprend — elle aime surprendre, oui oui. Et oui, elle note ses mesures sur des bouts de tickets de caisse, preuve que même les plus méthodiques peuvent être un tantinet bordéliques.

Maru Mori

Maru est le calme doux du groupe, attentionné, observateur, celui qui voit le détail que tout le monde rate — petit génie des natures mortes et des ambiances feutrées. Il n’a pas besoin d’en faire trop, sa présence suffit, et il a ce rire rare qui te fait fondre, presque injuste. Parfois il disparaît pour des heures à dessiner des mains, parfois il se met à tout colorer comme un fou, un vrai caméléon. Et oui, il apporte toujours des snacks pour tout le monde, mais oublie parfois de manger les siens — pratique et distrait, la combinaison parfaite.