À propos du Bakemonogatari en quelques mots:

Bakemonogatari est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Koyomi Araragi, un lycéen qui a été transformé en vampire mais qui a été guéri par une exorciste nommée Meme Oshino. La série suit Koyomi alors qu’il rencontre différentes filles qui ont toutes des problèmes surnaturels et doit les aider à les résoudre. La série est connue pour son style visuel unique, son dialogue rapide et ses thèmes profonds explorant la psyché humaine. La série a été acclamée par la critique pour son originalité et son traitement mature des thèmes sombres.

Découvrez les personnages de Bakemonogatari

Koyomi Araragi

Koyomi, c’est ce type épuisé mais indéfectible qui traîne des ennuis surnaturels comme d’autres ont des boutons — et qui insiste pour sauver tout le monde, même quand c’est manifestement une mauvaise idée. Il est sarcastique, parfois maladroit en empathie, et étrangement attirant dans sa fatigue héroïque; il parle beaucoup (trop), raconte des blagues foireuses et les regrette aussitôt. Vampire-ish mais avec une conscience, il a ce mélange étrange de pragmatisme et de romantisme idiot, tu sais, le mec qui panique mais qui fonce quand même. Ah et il mange rarement de la nourriture normale… ou peut-être que si, je confonds, bref, il est compliqué et c’est pour ça qu’on l’aime.

Hitagi Senjōgahara

Hitagi est la reine des répliques cinglantes et des punchlines bien placées — froide, acerbe et terriblement précise, comme une épingle de sûreté affûtée émotionnellement. Elle cache un abîme de fragilité sous une coque en acier inoxydable, et a une passion bizarre pour les objets de papeterie (oui, vraiment — agrafes, ciseaux, classeurs, tout ça). Tsundere ? Peut-être, mais c’est plus compliqué: elle veut te repousser pour mieux te tester, ou te blesser avant d’être blessée, en gros un enchevêtrement affectif. Parfois douce, parfois mordante, elle peut aussi être inexplicablement enfantine — oui, j’ai vu ça, contradiction acceptée.

Mayoi Hachikuji

Mayoi c’est la gamine fantôme hyperactive qui débarque avec un sac énorme (et un sens de l’orientation qui est, euh, catastrophique — ironiquement). Elle est adorablement piquante, un peu espiègle, toujours prête à balancer une punchline inattendue, et en plus elle adore taquiner Araragi comme personne. Sa présence est à la fois légère et poignante: joyeuse, mais on sent toujours un petit quelque chose de mélancolique dessous — elle sait des choses qu’elle ne dit pas, parfois. Ah, et elle ADORE les sucreries? Ou était-ce une obsession pour les parapluies… bref, elle est pleine de surprises.

Suruga Kanbaru

Suruga est l’athlète intense avec un tic pour la provocation: basket, shorts, énergie brute et… des mains qui font des trucs bizarres avec un artefact (la fameuse patte de singe, oui oui). Elle est franche, un peu trop honnête, sexualisée parfois sans s’en rendre compte, et terriblement loyale envers ceux qu’elle respecte — mais ne la sous-estime pas, elle a un côté sombre et vif. Son humour est souvent grossier mais authentique, et elle peut te surprendre par des réflexions très douces entre deux blagues limites. Parfois elle montre une vulnérabilité presque niaise; parfois elle est froide comme une lame; c’est perturbant, mais fascinant.

Nadeko Sengoku

Nadeko commence comme la fille timide, mignonne et réservée — douce, effacée, on veut la protéger — puis paf, il y a ce virage sournois vers quelque chose de beaucoup plus tordu. Elle a cette innocence presque hypocrite au début, mais dedans bouillonne une jalousie et une rage qui te surprennent si tu l’as sous-estimée. C’est à la fois pathétique et terrifiant, comme si un petit chat s’était mis à accumuler des couteaux en secret (ok je dramatise, mais vous voyez l’idée). Et bon, elle adore les bracelets — ou est-ce qu’elle les déteste ? J’oublie toujours.

Tsubasa Hanekawa

Tsubasa est l’archétype du cerveau calme: brillante, organisée, super littéraire et presque parfaite en surface — la fille modèle, la confidente qu’on veut consulter. Mais attention, elle a une facette sauvage et féline (littéralement parfois), une noirceur refoulée qui la rend incroyablement complexe; elle est polie ET dangereusement introspective. Elle aime les livres, les chats, l’ordre, et en même temps son intérieur est un champ de bataille émotionnel très discret. Parfois compatissante jusqu’à l’excès, parfois glaciale, on la ressent toujours comme une personne qui réfléchit trop — ce qui la rend à la fois admirable et tragique.

Karen Araragi

Karen, c’est l’archétype du “fight for justice” en short: explosive, impulsive, et tellement sûre d’elle qu’elle en devient adorablement naïve. Elle veut frapper les injustices (avec ses poings, son énergie, parfois sans réfléchir) et elle crie “justice” comme si c’était un hobby — un hobby bruyant et inspirant. Elle est aussi incroyablement loyale à sa famille (surtout à son frère), et parfois stupide dans son héroïsme, mais c’est ce qui fait son charme. Ah, et elle jure beaucoup? Ou elle fait des slogans? Je confonds toujours, mais c’est la petite tornade qu’on adore.

Tsukihi Araragi

Tsukihi est bizarrement élégante et explosive à la fois: calme, presque étrangère dans son aisance, puis capable de fulminer comme un volcan. Elle a ce côté “immortelle” (oui oui, légendaire) et une personnalité qui peut sembler douce mais terriblement tranchante; on ne sait jamais vraiment si elle joue ou si elle domine. Parfois elle est sérieuse à l’extrême, parfois elle fait des choses ridiculement enfantines — une vraie montagne russe de comportements qui te laisse toujours surprise. Elle aime les choses traditionnelles mais peut aussi te balancer un truc totalement moderne; cohérence optionnelle.

Shinobu Oshino

Shinobu est l’énigme vampirique déguisée en enfant: centuries d’arrogance coincés dans un corps mignon, sarcasme sec, et une passion bizarre pour les beignets (véridique ou exagéré, who knows?). Elle parle avec un mélange d’ennui profond et de supériorité amusée, et ses moments silencieux pèsent plus que n’importe quel discours heroïque. Parfois terrifiante, parfois presque affectueuse, elle est la mémoire vivante de tout ce qui est surnaturel dans l’histoire — et aussi incroyablement capricieuse. Elle aime l’ombre et la musique ancienne et parfois, je jure, elle raconte des blagues très nulles que même Araragi trouve gênantes.