À propos du DanMachi en quelques mots:

DanMachi est une série animée japonaise qui suit les aventures de Bell Cranel, un jeune aventurier qui rêve de devenir le plus grand héros de tous les temps. Dans un monde fantastique, les humains vivent dans une ville appelée Orario, où ils peuvent explorer un labyrinthe mystérieux rempli de monstres et de trésors. Bell est aidé dans sa quête par la belle déesse Hestia, qui est amoureuse de lui. La série est remplie d’action, d’aventure et de romance, avec des personnages attachants et une animation époustouflante.

Découvrez les personnages de DanMachi

Asterius

Asterius, c’est la brute au grand cœur qui te surprend toujours — la bestialité et la douceur qui se mélangent comme (je sais pas) miel et fer. Il paraît sauvage, prêt à tout casser, mais en vrai il a des tics mignons, genre il range ses armes comme on plie un linge (ou peut-être je m’emballe). Terrifiant en combat, protecteur jusqu’à l’excès, et parfois un peu gauche avec les gens, surtout les mots, parce qu’il parle pas beaucoup — ou alors il parle trop, ça dépend des jours. Bref, impossible de le détester, même si parfois il va raconter des trucs contradictoires sur son passé et puis bah on sourit et on le suit.

Revis

Revis, quelle énigme, sérieusement — froide comme une lame mais elle a ce côté stratège qui te donne envie de l’écouter même si elle t’envoie bouler. Elle manie les plans comme d’autres manient l’épée, élégante dans ses manipulations mais parfois maladroite avec les émotions (ou alors c’est intentionnel, qui sait). Faut pas la sous-estimer: elle sait retourner une situation en trois mots et un regard, et pourtant elle collectionne des petits souvenirs bizarres, genre des cailloux — je jure, qui collectionne des cailloux ? — qui la rendent presque humaine. Bref, elle te terrifie et t’intrigue en même temps, et c’est exactement pour ça qu’on l’adore.

Ais Wallenstein

Ais la légendaire — la guerrière silencieuse, d’un calme glaçant en plein chaos, et puis cette grâce qui fait penser à une statue qui bouge (mais vivante, hein). Elle est obsédée par l’entraînement, froide en public, mais gare à ceux qui pensent qu’elle est insensible : elle a des petites failles, des sourires rares et très précieux, et un faible pour les choses simples (je parie sur les crêpes, mais je peux me tromper). Parfois elle est presque enfantine dans ses désirs, parfois immé- nse et inaccessible, bref contradictions forever, mais toujours impressionnante. Cœur de glaise sous armure de fer — cliché, mais tellement vrai.

Ottar

Ottar, c’est le type bruyant que tu repères à dix mètres: grosse voix, rires gras, blague douteuse, mais oh mon dieu qu’il sait se battre. Il adore l’alcool, les défis, les coups d’éclat — et en même temps il est étonnamment loyal, presque paternel avec les plus jeunes (ce qui te surprend parce qu’il tette pas du tout ce côté). Parfois il parle comme un poète bourré (véridique), parfois il fonce sans réfléchir, et parfois il te donne un conseil sensé à 3h du matin : mélange dangereux mais touchant. On le jette sur la liste des personnages qu’on croit simples et qui te défoncent le cœur par surprise.

Alfia

Alfia, ok, elle a ce truc mystérieux, un peu vieille école, comme la bibliothécaire badass qui pourrait te tuer ou t’apprendre à tricoter, au choix. Elle parle doucement, mais chaque mot compte, et elle garde des savoirs étranges — rituels oubliés, recettes d’élixir, ou juste des anecdotes bizarres sur des chats, j’exagère pas. Par moments elle semble distante et supérieure, et puis pouf, elle te lance une blague nulle et te sert un thé réconfortant, contradiction incarnée. En tout cas, elle a ce rôle de guide/mentor mais sans jamais en faire trop, et on sent qu’elle en sait beaucoup plus qu’elle ne laisse paraître (et ça nous rend fous).

Zald

Zald, personnage truculent, un mélange de roublard et d’ambitieux qui veut toujours tirer son épingle du jeu — parfois avec classe, parfois en fumée totale. Il adore les plans foireux qui marchent (ou échouent spectaculairement), et il a un goût douteux pour les accessoires — bagues, plumes, je sais pas, il collectionne des trucs inutiles. Il peut être effronté, manipulateur, ou surprenamment loyal quand ça l’arrange; oui oui, morale flexible mais attachante quand même. On ne sait jamais trop à quoi s’attendre avec lui : il peut sauver la situation ou partir en courant avec le sac, et c’est ça qui est drôle.

Albert Waldstein

Albert, le vieux maître à la fois bourru et profondément noble — genre le mentor qu’on croit fermé mais qui cache une montagne d’affection maladroite. Il te parle comme si tu étais un apprenti gênant, te corrige en te culpabilisant gentiment, puis la seconde suivante te sert un morceau de gâteau (vraiment, je l’imagine). Il a des compétences énormes, un passé qu’il garde en retrait, et un code d’honneur un peu trop lourd ; parfois il exagère la gravité, parfois il raconte des anecdotes ridicules sur les combats d’autrefois. Bref, il est la colonne vertébrale tranquille du chaos, et on le respecte — même si parfois on voudrait lui arracher sa moustache (ou pas, finalement).