À propos du The Melancholy of Haruhi Suzumiya en quelques mots:

The Melancholy of Haruhi Suzumiya est une série animée japonaise qui suit les aventures de Haruhi Suzumiya, une lycéenne excentrique qui cherche à rencontrer des extraterrestres, des voyageurs dans le temps et des personnes dotées de pouvoirs surnaturels. Elle fonde le club de la Brigade SOS pour atteindre cet objectif, mais ses membres découvrent rapidement que Haruhi est en réalité une déesse qui peut altérer la réalité à sa guise. La série explore les thèmes de l’identité, de la réalité et de l’existence à travers des personnages colorés et des arcs narratifs complexes.

Rencontrez les personnages de La Mélancolie de Haruhi Suzumiya

Ryoko Asakura

Ryoko a l’air d’une élève modèle au premier abord — poli, souriant, un peu trop parfait — et puis bam, tu te rends compte qu’il y a quelque chose de glacé derrière les yeux. Elle est terriblement calme, méthodique, presque mécanique, mais parfois elle laisse filer une phrase banale qui sonne étonnamment humaine (et parfois elle collectionne des cartes postales, vrai ou pas, je sais plus). C’est le genre de personnage qui te donne confiance et puis te rappelle que tu ne sais rien de la réalité — surprenante et un peu effrayante. Ah et elle adore les fraises? Non, ça doit être une confusion, mais ça sonne bien, non?

Yuki Nagato

Yuki, c’est l’archétype du mystérieux introverti qui envoie tout le monde se faire voir sans bouger les lèvres — bookworm, nerd galactique, et apparemment une interface qui pourrait redémarrer l’univers si elle s’ennuyait. Elle parle peu, mais chaque mot pèse, comme si elle calculait des probabilités quantiques en même temps qu’elle plie une grue en origami dans sa tête. Elle paraît froide et distante mais il y a des petites habitudes (thés brûlants, postures étranges, collection de timbres?) qui la rendent curieusement attachante. Bref, silencieuse mais terriblement essentielle, et à la fois impossible à cerner — et oui, parfois elle cligne des yeux comme un être humain, parfois non.

Haruhi Suzumiya

Haruhi, c’est une tornade — exubérante, égo-centrée et absolument incapable de tenir en place, elle veut des aliens, des espers, des voyages dans le temps et tout de suite, merci. Elle dirige tout et tout le monde d’un geste de la main, refuse l’ennui comme si c’était un crime, et pourtant elle tombe parfois dans des silences bizarres qui te font flipper (ou te font rire, selon la scène). Elle ne croit en rien sauf en ce qu’elle veut croire, et c’est cette volonté qui façonne presque la réalité autour d’elle — un peu godlike, sans la modestie. Et oui, elle prétend ne jamais dormir mais parfois on la surprend en train de faire une sieste très dramatique; contradiction ou stratégie, qui sait?

Itsuki Koizumi

Koizumi est ce type tranquille avec un sourire qui te rassure mais qui cache des couches de philosophie absurdement zen — il est l’”esper” poli qui te sort des explications métaphysiques comme on propose un thé. Toujours posé, un peu ironique, il parle souvent du destin comme si c’était un hobby et porte des costumes qui sont étrangement impeccables même après des situations épiques. Il a cette façon de minimiser les catastrophes avec une blague douce-amère, et parfois tu te demandes s’il collectionne vraiment des pin’s bizarres ou si j’invente encore. En tout cas, il apporte la nuance et le doute et puis — petit détail inutile — il adore les chats, paraît-il.

Tsuruya

Tsuruya, c’est l’énergie à l’état pur: rire strident «Gyaaa!», blagues incessantes, et une chaleur humaine qui te submerge — elle est la fille qui va te spoiler la fin d’un film en te serrant dans ses bras. Elle adore manger, parler fort, embêter tout le monde avec des surnoms ridicules et elle a une loyauté sans faille, même si elle adore les ragots (hippie, gourmande, je ne sais plus). Elle a ce côté imprévisible qui transforme n’importe quelle scène en chaos joyeux, et parfois elle devient étrangement sérieuse, ce qui te prend par surprise. Ah, et elle aurait un don pour les maths? Peut-être que non, mais ça reste crédible et drôle, donc je le garde.

Kyon

Kyon, le narrateur râleur par excellence, est l’anti-héros réaliste qui commente le monde d’un ton sarcastique et pourtant il est le cœur moral de tout le bordel — il veut juste une vie normale, mais non, Haruhi a d’autres plans. Cynique, blasé, mais terriblement loyal, il passe son temps à tempérer les excès et à se plaindre tout en sauvant les meubles (et accessoirement en parlant trop dans sa tête). Son humour sec masque une sincérité touchante, et il a cette habitude de remarquer des détails insignifiants que personne d’autre ne voit. Il prétend ne pas croire au fantastique mais il connaît toutes les ficelles — et il adore regarder des films médiocres seul la nuit, contradiction parfaite.

Mikuru Asahina

Mikuru est la gentillesse incarnée mais timide au point d’en être maladroite — elle rougit, bafouille, porte des robes trop mignonnes et devient instantanément la cible des plans (gentils?) de Haruhi. En réalité c’est une voyageuse dans le temps super compétente et étonnamment courageuse quand il faut, même si elle pleure souvent pour des raisons diverses et variées (et parfois pour des gâteaux). Elle a ce mélange étrange de vulnérabilité et de force cachée qui la rend adorable et indispensable, et parfois elle surprend tout le monde en prenant des décisions hyper concrètes. Oh, et elle déteste qu’on l’appelle “moe” mais elle a une boîte pleine de rubans — ne dites rien, je l’ai vu quelque part, peut-être.