À propos du Haganai en quelques mots:

Haganai est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Kodaka Hasegawa, un étudiant solitaire qui a du mal à se faire des amis. Il rencontre Yozora Mikazuki, une fille qui partage le même problème que lui, et ensemble, ils créent un club pour aider les élèves à se faire des amis. Le club attire rapidement d’autres membres, chacun avec sa propre personnalité et ses propres problèmes sociaux. La série explore les thèmes de l’amitié, de la solitude et de l’acceptation de soi. Haganai est une comédie romantique qui offre des moments hilarants et touchants.

Rencontrez les membres du Club des Voisins de Haganai

Kodaka Hasegawa

Ok, Kodaka c’est le héros silencieux qui a l’air toujours d’avoir passé la nuit dehors (les cheveux, sérieux), mais en vrai il est doux comme un chat timide — enfin, quand il arrête de froncer les sourcils. Il joue le rôle du “guy normal” mais se retrouve constamment embarqué dans des situations folles parce que tout le monde le croit bizarrement fiable. Il est maladroit avec les filles, mais hyper protecteur dès que ça compte; parfois il rougit comme un ado, parfois il répond d’un ton glacial, allez comprendre. Ah, et il adore les animaux? Ou c’est qu’il tolère un chien imaginaire dans sa chambre — détail flou mais mignon.

Yozora Mikazuki

Yozora c’est la reine des piques et des plans tordus, la fille qui écrit des règles comme si c’était de la poésie amère (elle est obsédée par l’ordre, mais pas du tout organisée, ironique non?). Elle clame haut et fort qu’elle n’a pas d’amis et puis, surprise, est prête à tout pour garder le club — manipulatrice affectueuse, c’est son truc. Elle est froide, acide, mais il y a des moments où elle devient… presque sincère, et là tu fonds, mais ne le dis à personne. Petite habitude: elle garde toujours un carnet, ou était-ce des marque-pages? Je vous jure, ça change selon l’humeur.

Sena Kashiwazaki

Sena c’est la princesse blonde — belle, brillante (parfois), ultra confiante et pourtant complètement à côté des codes sociaux, ce mélange est délicieux. Elle adore attirer l’attention, jouer la star, mais dès qu’on gratte un peu elle se révèle incroyablement naïve et fragile; attention atteinte du syndrome “je suis parfaite mais je ne comprends rien”. Elle est accro aux jeux vidéo et aux sucreries, et a ce rire contagieux qui te fait culpabiliser de la détester un peu. Quirky fact: elle collectionne des peluches géantes ET prétend ne pas dormir avec eux, mensonge flagrant, évidement.

Kobato Hasegawa

Kobato, la petite sœur hyper possessive qui mélange câlins et menaces à base de chuchotements mignons — elle est adorable mais genre, très dangereuse quand il s’agit de son frère. Elle joue la gamine adorable, fait des grands yeux, collectionne les diadèmes (ou était-ce des clés?), et veut toujours être prise au sérieux même quand elle boude comme un pot de colle. Parfois elle parle comme une adulte très sérieuse, puis bim, elle réclame un gâteau; contradictions au top. Bref, petite tornade de cuteness avec des éclairs de jalousie, impossible de la résister.

Yukimura Kusunoki

Yukimura est ce personnage tout en douceur et contradictions: a priori fragile, il cache un courage surprenant et une loyauté aveugle (surtout envers Kodaka), c’est presque trop mignon. Il a une manière de parler qui te fait dire “oh non, encore ce chibi vivant”, mais dès qu’il faut se battre ou défendre ses amis il devient sérieux comme un samouraï — oui oui, samouraï dans l’âme, parfois. Il adore tout ce qui est mignon et peut pleurer devant un clip puis scander un cri de guerre, c’est impossible à prévoir. Et parfois il semble aimer se déguiser? Ou c’était juste un bonnet, je ne sais plus, il change tout le temps.

Rika Shiguma

Rika c’est la scientifique folle version sexy-menteuse: invente des gadgets bizarres, parle de physique quantique puis te lance une blague super perverse en une phrase — combo détonnant. Elle est ultra intelligente, mais utilise sa science surtout pour… des expériences sociales douteuses (et quelques machines inutiles mais stylées). Sous sa façade perverse il y a une vraie sensibilité et une loyauté sincère envers le club, même si elle te le dira en injures déguisées. Et ouais, elle porte souvent un manteau de labo et des lunettes improbables, même si parfois elle les oublie sur la tête comme si c’était normal.

Maria Takayama

Maria est la petite poupée un peu froide mais terriblement attachante — calme, sérieuse, parle avec des mots presque anciens, et elle a ce regard qui te déstabilise (mystère!). Elle paraît fragile (taille mini, voix douce) mais surprise: elle a des convictions solides et peut sortir une phrase ultra tranchante sans prévenir. Elle adore les choses mignonnes et parfois se comporte comme une enfant modèle, puis pouf, lance une remarque qui te cloue sur place; ambivalence totale. Petit détail adorable: elle tient toujours un petit objet (une croix? un carnet? impossible de choisir) comme si c’était son talisman, et ça la rend encore plus mystérieuse.