À propos du Odd Taxi en quelques mots:

Odd Taxi est une série animée japonaise qui suit la vie quotidienne de plusieurs personnages, tous liés par un mystérieux chauffeur de taxi nommé Odokawa. L’histoire se déroule dans une ville fictive où les animaux anthropomorphes cohabitent avec les humains. La série explore des thèmes tels que la solitude, la criminalité et la corruption, tout en offrant des moments d’humour et de tendresse. Avec des personnages bien développés et une intrigue captivante, Odd Taxi est une série à ne pas manquer pour les fans d’anime.

Rencontrez les personnages d’Odd Taxi

Taichi Kabasawa

Taichi, c’est ce type qui a toujours l’air d’avoir une combine en tête, mais en même temps il pourrait te donner un bon conseil sur les plantes d’appartement — oui, je sais, bizarre combo. Energique et un peu nerveux, il parle vite, s’emballe pour des détails minuscules et oubliés par tout le monde sauf lui. Il a des tics: tripoter son stylo, laisser des Post-it partout, et prétend n’écouter que du jazz mais sa playlist contient clairement des trucs pop honteux. Tu sens qu’il cache quelque chose d’important, ou alors il a juste une très grande collection de tasses à café, difficile à dire.

Shun Imai

Shun est la boule d’énergie innocente qui peut soudain lâcher une remarque glaciale et te surprendre (comme qui, sérieux?). Toujours poli en surface, curieux jusqu’à l’obsession sous la peau, il note tout et oublie rarement un visage — ni un mensonge. Il sourit beaucoup mais parfois ses yeux trahissent une mélancolie improbable chez quelqu’un qui collectionne des autocollants kawaii. Il adore les petites victoires, aime les ramens épicés et, oh, croit fermement que les pigeons sont des espions, pas sûr à 100% mais ça lui semble logique.

Ayumu Gouriki

Ayumu donne l’impression d’être le pote fiable du groupe: calme, posé, mais avec un humour sec qui te prend aux tripes quand tu t’y attends le moins. Il observe plus qu’il ne parle, et pourtant quand il prend la parole on capte direct qu’il sait plier une situation à son avantage — parfois sans même essayer. Il garde une vieille écharpe même en été (vraiment) et adore les énigmes, ce qui le rend agaçant mais cool à la fois. Il paraît presque trop parfait sauf qu’il avale des bonbons acidulés en cachette, oui, un vrai rebelle sucré.

Eiji Kakihana

Eiji, c’est le mec flamboyant du quartier: tatouages, blagues hyper-pas-à-l’endroit, et un rire qui remplit la pièce, parfois un peu trop fort. Autoritaire mais étrangement paternel, il peut te menacer et t’apporter une boîte de biscuits la minute d’après — loyal et imprévisible, combo dangereux. Il collectionne les porte-clés ridicules et semble incapable de faire des choses simples comme plier une serviette correctement, ce qui le rend humain. Parfois il parle comme un film noir et la seconde suivante il te textote des emojis de chat, je te jure, c’est un phénomène.

Miho Shirakawa

Miho a ce truc d’idole fragile mais pas naïve du tout, genre tu veux la protéger et elle te corrige comme si t’étais l’élève confus. Charismatique, elle joue le rôle public à la perfection — sourires, photos, petits gestes — mais cache une complexité qui te retourne quand elle baisse la garde. Elle collectionne des peluches improbables et aurait, soi-disant, un faible pour les recettes de cookies trop élaborées (et souvent ratées). Et j’insiste: elle est mystérieuse au bon sens du terme — on pense la connaître, puis pouf, nouvelle couche.

Atsuya Baba

Atsuya, gros gaillard au cœur tendre, a l’air d’un tank mais adore les petites choses: bonsaïs, jeux de société et playlists soft pour se détendre. Il est direct, parfois brutal (oui), mais jamais gratuit — protèger ses amis, c’est sa loi personnelle. Il mange comme s’il préparait une compétition et, en même temps, pleure à chaque pub trop émotive (ne pas le dire trop fort). Parfois maladroit avec la technologie mais étonnamment brillant pour deviner l’humeur des autres, j’adore ce contraste.

Hiroshi Odokawa

Odokawa, le taxi guy, voix monotone mais qui s’imprime dans ton cerveau: il conduit, observe, écoute, et cache un passé qui claque sous la surface. Il est fatigué du monde mais pas cynique — plus du genre « j’ai vu trop de choses pour m’emballer », et pourtant il a un humour sec qui te fait sourire malgré toi. Il adore le café instantané (sérieusement, ne jugez pas), collectionne des tickets de métro froissés et a la manie de parler aux plantes (ou c’est aux passagers? on n’est pas sûrs). Calme mais pas passif, il est le cœur moral de tout ce bazar sans même le vouloir.

Yano Rapping

Yano est l’explosion sonore du coin: fringues fluo, flow sans pitié et une confiance en scène qui transcende tout — puis hors scène, il peut devenir bizarrement timide. Il joue avec les codes, provoque, mais il est hyper attaché à ses amis et lit parfois des poèmes doux entre deux couplets agressifs. Il collectionne des casquettes, change de couleur de cheveux comme de chemise et adore les chats (oui, encore un chat personna — ça va devenir un club). Et parfois il rappe en faisant la vaisselle, vrai détail inutile mais tellement lui.

Kenshiro Daimon

Kenshiro, énorme présence avec une voix grave, genre mec que tu n’oses pas contrarier au début — puis il rigole fort et te propose un onigiri. Protecteur comme pas permis, il incarne la sécurité mais a un côté artistiquement naïf: il peint des trucs étranges le dimanche (les moustiques? les nuages?). Vous pourriez croire qu’il est juste force brute, mais il adore les jeux de mots (oui, des blagues foireuses). Bref, un mélange surprenant de terreur douce et d’enthousiasme enfantin, si c’est pas charmant je sais pas.

Koshiro Daimon

Koshiro, le frère un peu plus posé, marche souvent cinq pas derrière Kenshiro mais en réalité il calcule tout — stratège silencieux, genre échecs mentaux non-stop. Intelligent, un peu snob peut-être, mais loyal jusqu’à la moelle, il a une passion secrète pour les romans à l’eau de rose (chut). Il a l’air froid mais rit fort quand on le prend par surprise, et, accessoirement, il sait faire 27 recettes de curry, confirmation probable ou fanfiction, à vous de voir.

Kensuke Shibagaki

Kensuke, le gars qui tape fort (oui le boxeur stéréotype, mais avec une conscience étonnamment fine), il est impulsif, fier et terriblement humain quand ça compte. Il cache un code d’honneur tordu: frapper pour défendre, mais parfois se frapper lui-même pour expier — dramatique mais pas ridicule. Il adore les boissons énergétiques et a une collection de t-shirts ridicules (licornes, sangliers, vous avez le tableau). Parfois il parle comme s’il écrivait un poème enragé, la minute suivante il oublie son portefeuille — contradictions, je vous dis.