À propos du I Want To Eat Your Pancreas en quelques mots:

I Want To Eat Your Pancreas est un anime émouvant et poignant qui suit l’histoire de deux lycéens, Sakura et Haruki. Sakura est atteinte d’une maladie incurable du pancréas et elle décide de vivre sa vie à fond jusqu’à la fin. Haruki découvre par hasard son secret et ils commencent à passer du temps ensemble, créant ainsi des liens forts. Leur amitié est mise à rude épreuve lorsque Sakura doit faire face aux conséquences de sa maladie. L’anime explore les thèmes de l’amitié, de l’amour et de la mort de manière délicate et touchante.

Rencontrez les personnages de Je veux manger ton pancréas

Sakura Yamauchi

Sakura, oh la la, elle paraît d’abord comme une boule d’énergie contagieuse — rires forts, maquillage toujours impec, et une façon de parler qui t’attrape sans prévenir. En vrai, sous cette façade de “je vis à fond”, il y a une fragilité énorme, un secret qui rend chaque moment qu’elle prend tellement lourd et précieux (oui, je sais, c’est dramatique mais c’est vrai). Elle aime les bonbons trop sucrés, dit qu’elle déteste le rose mais porte toujours un accessoire rose, et va à l’hôpital avec la même désinvolture qu’on enfile des chaussettes, ce qui est à la fois hilarant et déchirant. Franche, souvent insolente, mais capable d’une douceur surprenante quand on s’y attend le moins — impossible de l’oublier.

Haruki Shiga

Haruki, c’est le type silencieux et légèrement sarcastique qui observe plutôt qu’il n’intervient (mais attention, il remarque tout, vraiment TOUS les détails). Réservé, lecteur acharné, un peu maladroit socialement, et franchement pas doué pour dire ce qu’il ressent — pourtant on sent qu’il bouillonne à l’intérieur; il collectionne des moments minuscules comme d’autres collectionnent des timbres. Il a ce côté “je ne montre rien” mais laisse des notes absurdes et des miettes de biscuits partout dans ses poches (vrai ou pas, je jure que oui). Sa relation avec Sakura le transforme sans qu’il le veuille, et il devient la preuve qu’on peut être silencieux et, en même temps, incroyablement présent.

Kyouko Takimoto

Kyouko, c’est la copine bouclée, un peu directe, qui te dira ses quatre vérités sans filtre mais qui s’arrange toujours pour t’apporter des cookies quand t’as le moral en berne. Elle a une attitude “je gère”, porte souvent un sweat trop grand et promet qu’elle ne pleure jamais devant les films (sauf la fois où elle a craqué pour une pub de chatons, silence radio après ça). Pratique, terre-à-terre, hyper protectrice avec les gens qu’elle aime, et parfois étonnamment fleur bleue — oui, c’est contradictoire, mais c’est ce qui la rend attachante. Elle est la copine fiable à qui tu prêtes ton parapluie et qui te vole ton café matinier parce qu’elle a oublié le sien.

Takahiro

Takahiro est le pote bruyant et chaleureux, souvent en train de faire une blague foireuse mais capable de sortir une phrase qui te cloue sur place quand il veut vraiment être sérieux. Il fait du sport, aime la nourriture épicée (trop épicée, il s’en vante), et joue de la guitare comme s’il avais appris hier mais avec une passion sincère — parfois il oublie les paroles, parfois il improvise un solo qui te fait sourire. Loyal au possible, un peu désordonné (sa chambre est un champ de bataille mais sa voiture est désespérément propre, allez comprendre), et toujours prêt à sacrifier une soirée pour écouter un ami. On le sous-estime parfois parce qu’il rit fort, et puis paf, il te surprend avec sa sensibilité.

Kazuharu

Kazuharu donne l’impression d’être calme et posé, le type qu’on voit lire au parc et qui a toujours une bouteille d’eau à portée de main — mais il cache une tendance à l’excentricité, collectionnant des tickets de train anciens juste “parce que c’est joli”. Très fiable, discret, il agit souvent en coulisse pour aider les autres sans réclamer de reconnaissance; on dirait un personnage secondaire au grand cœur mais non, il est essentiel, sérieux. Il est patient (trop patient, parfois, il remet à plus tard ses propres envies), et curieusement mauvais en sport bien qu’il prétende le contraire à chaque réunion de groupe. Bref, calme en façade, surprenant au fond, avec un petit sourire qui dit “je te comprends” sans un mot.