Qui es-tu de ‘The End of F***ing World’ en fonction de tes préférences alimentaires ?
Si tu es fan de la série The End of F***ing World, alors ce quiz est fait pour toi ! Mais cette fois-ci, nous ne te demandons pas qui tu es en fonction de ton signe astrologique ou de ta couleur préférée. Non, cette fois-ci, nous allons découvrir qui tu es en fonction de tes préférences alimentaires. Es-tu plutôt sucré ou salé ? Préfères-tu les plats épicés ou doux ? Ce quiz te permettra de découvrir quel personnage de la série te ressemble le plus en fonction de tes goûts culinaires. Alors, es-tu prêt à découvrir qui tu es vraiment ? Clique sur le bouton Commencer ci-dessous pour commencer le quiz !

À propos du The End of F***ing World en quelques mots:
The End of the F***ing World est une série télévisée britannique basée sur la bande dessinée du même nom. L’histoire suit James, un adolescent qui pense être un psychopathe et Alyssa, une fille rebelle qui veut échapper à sa vie monotone. Ensemble, ils s’enfuient de chez eux pour un voyage sauvage à travers l’Angleterre. Leur voyage est rempli de moments sombres et comiques alors qu’ils apprennent à se connaître et à faire face à leurs propres démons intérieurs. La série a été acclamée par la critique pour son scénario captivant et ses performances exceptionnelles.
Rencontrez les personnages de The End of F***ing World
James
James, c’est ce type qui te regarde comme s’il mesurait la gravité de chaque silence. Il est taciturne, un peu maladroit socialement, obsédé par les règles qu’il veut casser mais ne sait pas comment, et parfois il est presque drôle sans le vouloir. On sent une colère froide sous sa peau — il a des pulsions pas très catholiques mais il aime aussi les choses ridiculement petites et mignonnes (oui, il adore les chats, ne le dites pas à personne). Il parle comme s’il lisait des manuels de mauvaise humeur, mais il a des moments d’honnêteté étonnamment doux; parfois il est contradictoire et c’est ce qui le rend humain.
Alyssa
Alyssa, c’est le feu en personne, râpeuse, franche, tordue et complètement insupportable et on l’adore pour ça. Elle fonce, elle hurle, elle ment quand ça l’arrange et parfois elle chante des chansons enfantines au milieu de la nuit (vraiment). Sous la carapace y a une détresse volcanique — elle veut tout briser et tout guérir en même temps, ce qui est épuisant mais fascinant. Elle est drôle, blessante, incroyablement loyale à sa façon et a l’habitude de manger des trucs improbables à 3h du matin; ça la calme, paraît-il.
Bonnie
Bonnie, la mère de James, c’est une boule d’angoisse qui essaie tant bien que mal de recoller les morceaux. Elle paraît fragile, parle bas, mais il y a une ténacité discrète — elle ne lâche jamais complètement, même quand tout craque. Paradoxalement elle accumule des trucs inutiles et est super organisée sur des détails bizarres (les élastiques sont triés par couleur, sérieusement). On a envie de la protéger et en même temps elle t’énerve parce qu’elle se perd dans des petites batailles — mais elle aime la bonne bouffe, même si elle prétend qu’elle “n’a pas le temps” pour cuisiner.
Phil
Phil, le type qui sent l’ennui et les pantalons repassés, est ce mélange de pragmatisme râleur et de petites tendresses planquées. Il râle beaucoup, donne des leçons, mais il fait rarement de grands gestes — un peu l’anti-héros domestique. Il a des hobbies surprenants (le jardinage? le foot? probablement une bible de bricolage), et un faible inexplicable pour les petits chiens, allez savoir pourquoi. Il se croit raisonnable mais se retrouve souvent dépité par l’absurdité des émotions des autres; il est plus doux qu’il ne veut le montrer.
Gwen
Gwen, wow, c’est ce genre de personnage qui paraît simple mais cache un sacré paquet de secrets. Elle est calme, accueillante, un peu mystérieuse, comme si elle avait déjà vécu dix vies avant d’en arriver là. Elle donne des conseils étranges et bêches des jardins à minuit dans ma tête — parfois elle sourit trop, ou pas assez, je sais jamais. Elle a un rire qui n’est pas souvent entendu et une habitude de garder des thés rares dans des boîtes qu’elle ne finit jamais; très classe, très étrange.
Clive Koch
Clive Koch sonne comme le nom d’un type très officiel et un peu effrayant, et en vrai il l’est — propre sur lui, rigide, presque chirurgical. Il parle lentement, pèse ses mots, garde des dossiers et des douceurs mensongères; on sent le contrôle à chaque geste. Il est obstiné, méthodique, capable de sourire d’un air glacial et de te faire sentir inutile en deux secondes, mais parfois il laisse échapper une blague vraiment nulle et c’est bizarrement humain. Sa routine est presque obsessionnelle (même ses tasses sont alignées) et il a une passion secrète pour les devinettes, oui oui, je l’ai juré — mais après je dis peut-être n’importe quoi.
