À propos du A Series of Unfortunate Events en quelques mots:

A Series of Unfortunate Events est une série télévisée adaptée de la série de livres éponyme de Lemony Snicket. La série suit les aventures des trois orphelins Baudelaire, Violet, Klaus et Sunny, qui sont constamment poursuivis par leur tuteur malveillant, le comte Olaf, qui cherche à s’emparer de leur héritage. La série est sombre et humoristique, avec une esthétique visuelle unique et une distribution stellaire, y compris Neil Patrick Harris dans le rôle du comte Olaf. La série a été saluée pour son traitement fidèle du matériel source et pour son ton intelligent et mordant.

Découvrez les personnages de la série Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire

Count Olaf

Oh là là, Count Olaf c’est le méchant théâtral qui donne envie de lever les yeux au ciel et d’applaudir en même temps — il est tout drame, déguisements foireux et sourires trop larges. Il veut toujours l’héritage, bien sûr, mais parfois on a presque l’impression qu’il cherche surtout un public (et des chapeaux bizarres, il adore les chapeaux). Cruel, paresseux, brillant dans sa paresse, il complote avec une flemme calculée qui est presque artistique — bon d’accord pas presque, carrément artistique. Parfois il pleure (ou alors c’est du maquillage) et il jure qu’il ne sait pas cuisiner mais il garde une boîte de biscuits dans sa poche, go figure.

Violet Baudelaire

Violet, c’est l’inventrice en chef, la fille qui peut résoudre un mécanisme avec un ruban dans les cheveux et deux bouts de ficelle — sérieusement, elle a une solution pour tout. Elle est pragmatique, courageuse, et étonnamment romantique dans sa façon pratique (oui, ça existe), elle écrit des plans dans sa tête quand tout le monde panique. Elle n’aime pas être au centre de l’attention mais paradoxalement adore briller quand il s’agit de sauver la journée; contradiction adorable. Et petit détail: elle laisse souvent une mèche rebelle qui finit toujours par servir de pince improvisée — vraie histoire (probablement).

Klaus Baudelaire

Klaus est le cerveau libraire du trio, toujours plongé dans un livre ou en train de se rappeler une date importante — lecteur compulsif, collectionneur de faits inutiles mais utiles au bon moment. Il a cette nervosité douce, tu sais, l’air d’avoir lu trop de livres sur les institutions et pas assez sur comment faire la vaisselle; mais il apprend vite, très vite. Il questionne tout, décortique les plans, devient parfois trop sérieux pour son âge (ou pas assez sérieux, selon la journée). Et oui, il a tendance à mâchouiller un marque-page quand il réfléchit — ce n’est pas officiel mais c’est une image qui me plaît.

Arthur Poe

Arthur Poe, le fonctionnaire un peu dépassé mais d’un cœur immense — il veut aider, il veut faire bien, et il perd ses documents dans le tiroir de la bonne volonté. Bourré de bonnes intentions, terriblement bureaucratique et souvent maladroit, il suit les règles comme si c’étaient des post-it sur son cœur; paradoxalement, il peut aussi se montrer étonnamment têtu (et parfois utile, allez savoir). On a pitié de lui, on sourit, et on sait qu’il fera ce qu’il peut même si « ce qu’il peut » rime parfois avec « confusion administrative ». Petit détail inutile: il a une tasse à l’effigie d’une banque et la remet toujours au même endroit, sauf quand il ne sait plus où il a mis la clé du bureau — classique Poe.

Sunny Baudelaire

Sunny, la petite avec des dents pointues, mignonne mais terriblement dangereuse — elle mord (souvent), elle goûte tout, et ses grognements sont pratiquement des plans d’action. Elle ne parle pas comme nous mais ses gestes, ses crocs et ses « mots de bébé » font passer des idées complexes; c’est incroyable et totalement logique dans l’absurde. Elle adore la nourriture étrange (vraiment étrange, pensez compote à la tomate?) et déteste l’injustice comme personne. Et parfois elle chouine pour un biberon, puis la minute d’après sauve tout le monde d’un crochet — baby multitâche, 100%.

Esme Squalor

Esme est la reine du « in » et du « out », la mode avant tout, le reste après (ou à côté, ou ailleurs), elle parle comme si chaque phrase était un défilé — tellement dramatique et tellement attendue. Elle peut être glaciale, cruelle et parfaitement indifférente à la misère, sauf quand une tendance peut la rendre aimable — alors, hop, générosité temporaire. Elle adore les chiffres — non, attendez, elle déteste les chiffres si ça ne fait pas joli sur une étiquette; c’est un peu flou mais très Elle. Petit truc: elle garde toujours un carnet avec des croquis de bottes, même si elle prétend ne jamais se souvenir où elle l’a posé.

Quagmire

Les Quagmires (oui, ils sont au pluriel dans ma tête) sont ces aventuriers débrouillards, des frères réunis par les codes, les énigmes et un sens du danger hyper développé — loyaux, malins et un brin mélancoliques. Ils ont un flair pour l’évasion, des secrets de famille collants et des plans qui tiennent plus de l’art que de la logique parfois; genre « on va s’échapper en chantant », et ça marche. Courage, solidarité, et une propension à sauver les Baudelaire même quand tout est contre eux — et ils gardent une boîte à outils avec des choses étranges (une loupe, un ruban, un fragment de carte?). Ah, et l’un d’eux sait écrire des codes en utilisant des recettes de cuisine, je jure que c’est vrai (ou pas, mais imaginez).