À propos du Uta No Prince-Sama en quelques mots:

Uta no Prince-Sama est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Haruka Nanami, une jeune fille qui rêve de devenir une compositrice de chansons pour idoles. Elle intègre l’académie Saotome, une école de formation pour les futurs idoles, où elle rencontre six beaux jeunes hommes qui deviennent ses partenaires de chant. Ensemble, ils forment une unité de chanteurs et travaillent dur pour atteindre leur rêve de devenir des idoles célèbres. La série est remplie de romance, de musique et de compétitions entre les différentes unités d’idols, créant une intrigue captivante pour les fans de tous âges.

Découvrez les personnages d’Uta No Prince-Sama

Aijima Cecil

Cecil, oh mon dieu, Cecil c’est le théâtral incarné — il vit pour la mise en scène et les petits drames romantiques, toujours avec un accent mystérieux (ou c’était juste moi qui l’invente?). Il parle en vers parfois, et est totalement obsédé par l’esthétique : franges, froufrous, lumière tamisée, le kit complet. Il peut paraître doux et un peu distant, mais il te sortira une réplique ultra-dramatique quand tu t’y attends le moins — et ensuite il rigolera comme si c’était prévu depuis toujours. Ah, et je suis quasi sûre qu’il a une boîte secrète remplie de bonbons qu’il prétend ne jamais goûter, parce que « c’est pour l’inspiration ».

Kotobuki Reiji

Reiji a l’air si poli et rangé que tu veux presque lui offrir du thé à la menthe; il dégage cette vibe gentleman mais avec un côté flamboyant (oui, toujours impeccablement coiffé). Il est stratège et un peu perfectionniste, mais pas froid — plutôt du genre à préparer des plans hyper détaillés pour une petite surprise juste parce qu’il aime que tout soit précis. Parfois il parle comme s’il récitait un manuel, puis la seconde d’après il fait une blague absurde sur des biscuits, je te jure. Il garde une montre vintage et dit que c’est pour la ponctualité mais aussi parce qu’il adore les rouages, ou peut-être juste pour la déco.

Shinomiya Natsuki

Natsuki est ce type calme et mystérieux qui te regarde comme s’il lisait une partition secrète — classique, élégant, complètement maître des atmosphères. Il compose dans sa tête en regardant la pluie (ou est-ce la lumière d’un lampadaire? je confonds toujours), et il a un petit côté tsundere subtil qui te tue doucement. Très sérieux sur son art, mais il t’enverra une photo de son dîner avec une légende sarcastique, donc oui, il a de l’humour — sec et tranchant. Parfois il est étonnamment joueur, comme s’il retenait une avalanche de surprises cools pour le moment parfait.

Mikaze Ai

Ai, waouh, il est beau, androgyne, mystérieux — et silencieusement intense, du genre qui t’embarque sans grandes explications (mais souvent avec un sourire énigmatique). Il passe pour distant mais il observe tout, et tu sens qu’il comprend des choses que personne d’autre ne capte; romantique à sa façon, mais pas du tout démonstratif. J’ai l’impression qu’il collectionne des petites pierres ou des plumes? Peut-être que je mélange avec quelqu’un d’autre, mais ça lui va bien. Il est à la fois fragile et étrangement solide, un paradoxe ambulant et totalement fascinant.

Jinguuji Ren

Ren c’est le prince charmeur, mature, le mec qui t’envoie un message à 2h du mat avec une phrase philosophique et une photo de la lune — et tu fondes. Il a ce côté séducteur cool mais genre pas lourdingue, plutôt délicat; il sait exactement quand être sérieux et quand te faire rire. Il adore le thé vert (ou c’est du café? bref) et a des goûts raffinés — trop raffiné pour son bien parfois, limite dramatique avec des mouchoirs en soie. On dirait l’oncle parfait que tu veux appeler quand tu as besoin de conseils de vie, ou juste d’un câlin emphatique à distance.

Ittoki Otoya

Otoya c’est l’optimisme incarné, une boule d’énergie qui hurle « on peut le faire ! » même quand tout est flingué; il bouge, chante, saute, répète, et répète encore. Il est hyper chaleureux, un peu naïf parfois, mais incroyablement attachant — il fera des pancakes à 3h du mat et te traitera comme sa famille. Il a sûrement un tiroir plein de porte-clés moches qu’il collectionne depuis l’enfance, et il te racontera l’histoire de chacun sans honte aucune. Bon, il peut aussi être têtu sur ses idéaux, à la limite du comique, mais c’est ce qui le rend si vrai.

Hijirikawa Masato

Masato est froid et digne au premier abord, sérieux comme un professeur de piano d’un vieux film — un vrai classicisme ambulant. Il a des standards élevés (pour lui et les autres) et il est super loyal, presque à l’excès; parfois il paraît coincé mais c’est surtout parce qu’il réfléchit trop, ou peut-être juste qu’il aime la composition parfaite. Il adore la musique classique mais je suis prête à jurer qu’il connaît aussi une playlist entière de chansons honteuses qu’il écoute en secret. Il a cette aura de mystère noble, et pourtant, parfois il sourit comme un gosse devant un chaton, ce qui est injustement adorable.

Kurosaki Ranmaru

Ranmaru, oh, le rebelle artiste — guitare, tatouage (???), voix rauque et regard qui brûle, tu vois le type. Il vit pour la musique brute et honnête, pas pour les paillettes, même s’il porte des trucs étranges parfois (cape? veste avec des chaînes? je ne sais plus). Il est un peu sarcastique, cynique mais avec un cœur énorme planqué sous des couches de cuir et d’attitude « je m’en fiche ». Il fabrique peut-être des bracelets en corde quand il réfléchit, ou alors c’est juste une rumeur que j’adore croire.

Ichinose Tokiya

Tokiya est l’enigmatique perfectionniste, talentueux au-delà du raisonnable et obsédé par l’exactitude (et les partitions) — parfois froid, mais toujours profond. Il travaille comme un fou, un vrai bourreau de travail, et pourtant tu sens qu’il garde un monde intérieur très romantique, même s’il refuse de l’admettre. Il a cette voix qui te cloue sur place, et il t’énerve parce qu’il est doué dans tout, mais d’une façon triste (gentille triste, pas dépressive). Parfois il s’autorise un snack étrange à la sono, ou il collectionne des stylos — j’ai vu une photo floue, ou était-ce un rêve?

Kurusu Syo

Syo est la petite boule d’explosion: énergique, enfantin, hyper compétitif et dramatique comme personne — mais tellement grognon quand les choses ne vont pas comme il veut. Il veut être le centre d’attention, mais de manière adorablement égoïste (et il pleure facilement, oui, ce mec pleure pour des tas de raisons). Il est confiant au point d’être comique, aime les paillettes et les trucs mignons, et en même temps il pourrait casser un micro par frustration — contradictions parfaites. Il a une collection de tenues ridicules et les porte comme si c’était la chose la plus normale du monde ; il te regardera avec des étoiles dans les yeux et tu seras foutu.