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Qui es-tu de ‘Shigatsu wa Kimi no Uso’ en fonction de tes préférences alimentaires ?

Si vous êtes fan de l'anime 'Shigatsu wa Kimi no Uso', vous avez certainement été touché par l'histoire de Kosei, un jeune prodige du piano qui a perdu la capacité de jouer après la mort de sa mère. Mais saviez-vous que vos préférences alimentaires peuvent en dire long sur votre personnalité et vos similitudes avec les personnages de la série ? Êtes-vous plutôt sucré comme Kaori, la violoniste pétillante et pleine de vie, ou salé comme Tsubaki, l'amie d'enfance de Kosei ? Découvrez-le en répondant à notre quiz 'Qui es-tu de 'Shigatsu wa Kimi no Uso' en fonction de tes préférences alimentaires ?' Alors, êtes-vous prêt à commencer ? Cliquez sur le bouton 'Commencer' ci-dessous et laissez-vous surprendre !

Bienvenue au quizz: Qui es-tu de Shigatsu wa Kimi no Uso en fonction de tes préférences alimentaires ?

À propos du Shigatsu wa Kimi no Uso en quelques mots:

Shigatsu wa Kimi no Uso est une série animée japonaise qui suit l’histoire d’un jeune pianiste prodige nommé Kosei Arima. Après la mort de sa mère, Kosei perd sa capacité à entendre le son de son piano et se retire de la scène musicale. Cependant, tout change lorsqu’il rencontre une violoniste excentrique nommée Kaori Miyazono, qui l’encourage à jouer à nouveau. Ensemble, ils participent à des compétitions de musique et Kosei commence à redécouvrir sa passion pour la musique. La série explore les thèmes de l’amour, de l’amitié et de la guérison à travers la musique.

Découvrez les personnages de Shigatsu wa Kimi no Uso

Kousei Arima

Kousei, c’est le pianiste prodige un peu brisé, genre super précis au toucher mais avec des murs énormes autour de lui — il entend la musique mais parfois pas sa propre voix, tu vois ? Calme en apparence, mais il peut partir en surchauffe émotionnelle sans prévenir (oui, il pleure dans un coin, puis rigole deux minutes après, totalement normal). Il est terriblement loyal et obsédé par la perfection, et paradoxalement il adore les petites choses simples — des trucs bizarres comme collectionner des gommes ou préparer du curry tout droit sorti d’un sachet, je jure. Ah, et il est plus courageux qu’il n’en a l’air, même si ça lui prend trois épisodes pour l’admettre.

Kaori Miyazono

Kaori, c’est l’explosion vivante du violon: imprévisible, égoïste parfois (mais dans le bon sens?), et incroyablement contagieuse — elle te force à bouger, à respirer, à jouer faux et fort si besoin. Elle joue comme si le monde allait finir demain et en même temps cache un cœur fragile — oui oui, elle a ses secrets et ses silences, mais elle préfère mettre un chapeau rigolo et courir dans la pluie. Elle est surprenante, adore les onigiri au fromage (ou était-ce des pancakes? bref, elle mange n’importe quoi et ça marche pour elle) et sait pousser Kousei vers la lumière même quand elle semble s’évanouir. On l’aime parce qu’elle transforme tout en spectacle, même un rendez‑vous banal au combini.

Tsubaki Sawabe

Tsubaki, la copine d’enfance garantie 100% pain au chocolat et poing sur la hanche, hyper loyale et terriblement directe — elle te dit la vérité sans filtre, parfois brutalement, mais avec un cœur énorme. Elle est sporty, aime le baseball (ou le foot? non, baseball je crois), cuisine des bentos super réconfortants et pourtant peut rater une omelette de façon épique, allez comprendre. Elle est jalouse (oui, oui, elle l’est), mais protective surtout, et secrètement un peu amoureuse sans l’admettre, puis hop elle retourne à ses blagues. Elle est le moteur émotionnel du groupe: bruyante, douce, un peu contradictoire et tellement réelle.

Ryota Watari

Ryota, le beau gosse insouciant et populaire, la définition même du mec que tout le monde regarde — mais attention, il n’est pas vide: il a un cœur énorme et il sait être sérieux quand il faut. Toujours souriant, parfois un peu superficiel, il adore les hamburgers (pas de débat) et change d’intérêt aussi vite que de casquette, mais il revient toujours pour ses amis. Il peut paraître égoïste, puis te surprendre en étant incroyablement présent, surtout pour Kousei ; loyauté en bandoulière, tu vois le genre. Et oui, il drague, il rigole, mais au fond il collectionne des petites lettres ou un truc romantique comme un ticket de match — bon ok j’invente peut‑être ce ticket, mais ça collerait, non ?