À propos du Claymore en quelques mots:

Claymore est une série d’anime qui suit l’histoire de guerrières surnaturelles appelées Claymore, qui sont des demi-démons créés pour protéger les humains des monstres appelés Yoma. L’histoire suit le personnage principal, Clare, une Claymore qui cherche à venger sa famille en tuant le Yoma responsable de leur mort. Au fil de l’histoire, Clare rencontre d’autres Claymore et doit faire face à des ennemis puissants et à des choix difficiles. La série est connue pour ses scènes d’action intenses et sa représentation sombre et mature de la violence.

Rencontrez les personnages de Claymore

Isley

Isley, quel personnage — élégant, glacial et complètement imprévisible, comme un gentleman qui aurait appris la nuit à trancher des montagnes. Il a ce côté manipulatif, chef né, toujours en train de calculer trois coups d’avance, et en même temps parfois on jurerait qu’il raconte des blagues qu’on ne comprend pas; hmm. Il est terrifiant dans le combat, mais y a des moments où on le sent presque… curieux? (Oui, curieux et cruel, je sais, casse-pieds ce mélange.)

Miria

Miria, c’est la Claymore qui sourit avant de te planter et qui ensuite t’offre une collation — genre hyper sociable mais meurtrière, j’adore. Rapide, vive, elle joue l’optimiste mais cache une force de dingue, comme si le bonheur était son armure. Parfois on dirait qu’elle oublie qu’elle est dans un monde horrible, puis bam, elle redevient implacable; petit détail: elle collectionne peut-être des galets, ou pas, j’arrive plus à suivre.

Riful

Riful est follement étrange et fascinante — enfantin et sadique à la fois, avec des tentacules et un sourire qui te rappelle que la série n’est pas tendre. Elle adore les peluches? Non, attends, je crois qu’elle adore l’odeur du sang, voilà, ça sonne plus juste. Elle joue la gamine capricieuse mais peut annihiler une troupe en deux gestes; ah et ses expressions faciales sont un peu trop expressives pour une créature pareille, c’est déroutant.

Helen

Helen, douce et tragique, la sorte de grande sœur qui semble toujours un peu fatiguée mais incroyablement fiable quand tout part en vrille. Elle a ce calme qui rassure, elle parle peu mais chaque mot compte — et puis boum, le destin la malmène, je pleure encore. Elle aimait les petites choses, des gestes simples, et pourtant elle pouvait être effroyablement efficace en combat; contradiction adorable et déchirante.

Jean

Jean, sérieux mais parfois sec, le type qui tient la ligne et te remballe si tu fais une blague au mauvais moment. Stratège discret, fiable, un peu taciturne mais loyal, et—oh, il a ce tic de triturer sa lame quand il réfléchit, j’ai remarqué ça en relisant une scène. Il n’est pas le plus flamboyant, mais sa présence stabilise le groupe, et franchement on l’apprécie pour ça.

Raki

Raki est le cœur humain du bordel, super empathique, pas mal naïf au début mais avec un courage surprenant — parfois tu veux lui donner un manuel de survie, sérieusement. Il est attachant, râle souvent, adore la nourriture et a une loyauté presque gênante envers les Claymores, surtout envers Clare. Il veut protéger tout le monde mais s’embrouille facilement, ce qui le rend mignon et agaçant en même temps; contradictions, toujours.

Priscilla

Priscilla, pure force brute et instabilité émotionnelle, une tornade qui passe de la douceur à l’extermination en un battement de cil. Elle a ce côté enfantin mais totalement psychopathe — comme si une poupée cassée était devenue surpuissante — et bon sang, son orgueil est légendaire. On la craint et on la déteste, mais aussi on reste scotché à chaque apparition parce que c’est spectaculaire et dérangeant.

Teresa

Teresa, la mythique « sourire pâle », calme comme la mer avant l’orage, tellement puissante que sa douceur en devient presque suspecte. Elle était incroyablement humaine malgré sa force inouïe, protectrice et terriblement précise — style assassin-poète, oui oui. On se rappelle surtout de sa bonté qui faisait trembler les ténèbres, et puis il y a ce mystère autour d’elle qui te hante longtemps après.

Deneve

Deneve, tough et un peu râleuse, la guerrière à la résilience d’acier — elle encaisse des baffes que personne d’autre ne supporterait puis revient avec un sourire crispé. Elle a ce talent impressionnant pour récupérer, genre « je prends une flèche, je m’en sors », ce qui la rend indispensable en équipe. Et pourtant, sous cette carapace y a parfois de la fragilité, une nostalgie discrète, presque embarrassante — je sais, ça sonne weird, mais ça marche.

Clare

Clare, protagoniste griffée par la vengeance mais pas que, elle a une détermination presque obsessionnelle et un cœur étonnamment fragile. Petite, fine, capable d’exploser en combat, elle compense son faible rang par de l’ingéniosité et une colère brûlante — et parfois elle fait des blagues sèches qui tombent super mal, haha. Elle est têtue à en pleurer, parfois mignonne sans raison, et incroyablement complexe: on veut la serrer dans ses bras et lui dire « respire » tout en la regardant repousser l’impossible.