À propos du Trigun en quelques mots:

Trigun est une série animée japonaise qui suit les aventures de Vash the Stampede, un personnage mystérieux et légendaire. Vash est un tireur d’élite redoutable qui voyage à travers le désert avec ses amis pour échapper à une organisation criminelle qui veut sa mort. La série est remplie d’action, de personnages colorés et de rebondissements inattendus. Au fil de l’intrigue, Vash doit faire face à son passé et à son identité véritable, tout en protégeant les innocents et en luttant contre le mal. Trigun est une série passionnante et captivante qui plaira aux fans d’anime et de science-fiction.

Rencontrez les personnages de Trigun

Legato Bluesummers

Legato, oh là là, c’est ce genre de méchant qui te glace et te fascine en même temps — il parle doucement mais t’as toujours l’impression qu’il va t’écraser comme une mouche. Raffiné, presque théâtral, il obéit à Millions Knives avec une sorte de dévotion romantique (bizarrement touchante), et puis paf, il fait des trucs horribles sans sourciller. Il a l’air calme, genre on dirait un poète, mais il adore semer le chaos, et oui il a peut-être une préférence pour les gants en velours — je jure que je l’ai imaginé avec. Parfois il semble fragile et parfois il donne la chair de poule; j’arrive pas à savoir s’il sourit vraiment ou s’il simule tout le temps.

Nicholas D. Wolfwood

Wolfwood, le prêtre-avec-un-mitraillette, c’est le meilleur anti-héros ever — il prêche, il bouffe des steaks, il porte une énorme croix qui est en fait une arme, logique? (Non, mais c’est génial.) Il a un sens de l’honneur tordu: il veut sauver les gens mais sait aussi que parfois faut faire des trucs dégueulasses, et ça le ronge clairement. Il est bourru, drôle à sa manière, et étonnamment sentimental — il rit comme un grand gosse quand il est embarrassé, j’ai craqué. Bref, dangereux mais avec un cœur mal placé; je parie qu’il aime le café plus que la confession.

Midvalley the Hornfreak

Midvalley, mon dieu, c’est le gosse le plus flippant du coin — il collectionne les cors, klaxons, trompettes, enfin tout ce qui PEUT faire du bruit, et il est tellement fier de sa « musique ». Il semble innocent et bouffon (oui, il porte parfois un chapeau ridicule), mais il planifie des tours tordus comme si c’était un jeu de société; on rit mais on a peur. Il a des tics d’enfant, limite doux, et en même temps il te poignarde avec un sourire qui ne devrait pas exister. Parfois il parle comme un petit vieux, parfois comme un gamin de six ans, la cohérence? pas son fort, mais c’est ce qui le rend terriblement mémorable.

Vash the Stampede

Vash, l’éternel sourire bête et le cœur cassé, c’est le héros-pacifiste qu’on adore et qu’on veut caliner après une crise existentielle. Il est hyper drôle, maladroit, un vrai clown parfois (les cheveux en pétard, la façon dont il évite les ennuis… bon ok il se retrouve dedans quand même), mais si tu le pousses trop loin, il devient sérieux et effrayant — genre « je pourrais tout détruire » sérieux. Il collectionne un tas de gadgets, aime les glaces, adore les animaux, perd ses clés tout le temps; bref, adorable bordélique. Toujours en train de positiver même quand tout part en fumée — et ça fait mal au cœur mais en même temps t’es super inspiré.

Rai-Dei the Blade

Rai-Dei, c’est l’épéiste silencieux — genre stoïque, toujours propre, une lame qui chuchote plus fort que son discours (si jamais il parle, ce qui n’est pas fréquent). Il suit un code qui ressemble à de l’honneur ancien, et parfois il a des moments franchement surprenants de nostalgie (il garde peut-être une petite poupée en bois? ou pas, j’ai des doutes). Magnetique, tranchant, il a ce truc d’anti-héros mélancolique qui te fascine même si tu le comprends pas tout à fait. Il rit rarement, mais quand il le fait… bon, c’est perturbant et cool en même temps.

Millions Knives

Knives, ok c’est le génie cruel, froid comme un frigo mais avec une élégance presque aristocratique — il te parle comme si tu étais un jouet cassé, puis il range ses affaires avec soin (oui, il organise ses plans comme un collectionneur). Il hait l’humanité avec une constance terrifiante et il est terriblement cultivé; il pourrait te réciter des poèmes avant de t’anéantir, ce qui est à la fois classe et flippant. Parfois il paraît presque joueur, d’autres fois c’est du fanatisme pur — on sent qu’il s’amuse avec le monde comme avec un puzzle. Il a des manières raffinées (peut-être qu’il boit du thé vert? ou du chocolat chaud?), bref un sociopathe très stylé.

Dominique the Cyclops

Dominique, l’imposante cyclope — élégante et froide, avec un regard unique qui te perce l’âme (littéralement, sors ta poésie ou meurs). Elle a cet air de commandante glaciale, genre ordre et précision, mais il y a des petits trucs étranges: elle caresse parfois des peluches (vraiment) quand elle est seule — je sais, dissonance totale. Elle se déplace avec grâce (définitivement pas du genre à courir), donne des ordres et tranche dans le vif sans hésitation, mais parfois elle montre une sorte de curiosité presque enfantine, ce qui fout le bazar dans l’image parfaite. Bref, mystérieuse, dangereuse, et étonnamment attachante si t’es du genre à aimer les personnages compliqués.

Monev the Gale

Monev, le type qui incarne le vent: rapide, imprévisible, et un peu fou — il bouge tellement vite que tu jures qu’il a volé la gravité. Il adore le chaos, crie des phrases poétiques en plein combat (ou peut-être il fredonne? souvenir flou), et il a un rire qui reste dans ta tête pendant des jours. Il est sadique, mais parfois il joue à faire des blagues nulles, ce qui rend tout encore plus inquiétant (qui rigolerait après un massacre? apparemment lui). Petit détail inutile: il a peut-être peur des pigeons… ou pas; en tout cas, il souffle sur tout ce qui passe.