Royaume: Quel personnage es-tu ?
Bienvenue dans le quiz Royaume : Quel personnage es-tu ?. Si tu es fan des animes et des séries télévisées, ce quiz est fait pour toi ! Nous avons sélectionné les personnages les plus emblématiques de la série Royaume pour que tu puisses découvrir lequel te correspond le mieux. Es-tu plutôt un guerrier courageux comme Shin, un stratège rusé comme Ei Sei ou un guerrier solitaire comme Kyou Kai ? Réponds à nos questions pour le découvrir ! Alors, prêt à savoir quel personnage de Royaume te correspond le mieux ? Clique sur le bouton Commencer pour commencer le quiz !

À propos du Kingdom en quelques mots:
Kingdom est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Shin, un orphelin qui rêve de devenir un grand général. Il est recruté par un jeune roi pour devenir un soldat dans son armée et aider à unifier le pays en guerre. Shin doit se battre contre des ennemis puissants, faire face à des complots politiques et apprendre à devenir un leader compétent. La série est remplie d’action, de stratégie militaire et de personnages intéressants. Elle est basée sur le manga du même nom et est disponible sur Netflix.
Découvrez les personnages de Royaume
Ri Boku
Ri Boku, quel personnage… froid en apparence mais pas un glaçon — plutôt un iceberg avec des pensées hyper précises. Stratège silencieux, il calcule chaque mouvement comme un joueur d’échecs qui mâche du tabac (bon, j’invente peut‑être pour le fun). Il a ce côté artisanal et patient, presque affectueux avec ses subordonnés, sauf qu’il vous écrase si vous lui déplaisiez — logique, non ? Et puis parfois il sourit comme si quelqu’un lui avait raconté une blague nulle; ça le rend presque humain, parfois trop mystérieux pour être simple.
Mou Bu
Mou Bu, c’est la tornade humaine; un titan qui adore l’odeur du carnage mais qui, curieusement, garde toujours une sucette dans sa poche (vrai ou pas, je le vois bien). Frontal, brutal, il fonce et après réfléchit — souvent trop tard — mais ça marche parce que la peur fait le reste. Il a un rire énorme, un appétit d’ogre et un respect surprenant pour ceux qui tiennent tête, comme s’il aimait les défis plus que les victoires. Bref, sauvage, drôle, terrifiant, et étonnamment fidèle à sa manière (et bon, il pleure peut‑être devant une vieille chanson, ou pas).
Ren Pa
Ren Pa, la classe incarnée, un peu comme un seigneur qui ferait de la poésie sur un champ de bataille — oh là, je m’emballe mais c’est ça. Charmeur, méditatif, il a ce je‑ne‑sais‑quoi d’aristocratique qui attire et en même temps gêne les plus brutaux. Sous ses airs de rêveur il y a un chef redoutable: il sait écouter, manipuler légèrement (gentiment?), et renverser une situation comme on change de parfum. Et oui, il collectionne peut‑être des éventails ou écrit des haïkus entre deux campagnes — cliché, mais j’adore.
Ou Ki
Ou Ki, roi du calme et de la grâce martiale; on dirait un acteur princier qui sait manier l’épée et la politique avec la même élégance. Stratège magistral, il a toujours un plan à trois coups d’avance et une formule mystérieuse sur les lèvres; on jurera qu’il a un petit dragon domestique (non, sérieusement, je le sens). Il inspire loyauté sans crier, et ses discours sont presque des leçons de vie — parfois un peu théâtrales, mais efficaces. Paradoxalement, il peut être enfantin sur un détail stupide (la porcelaine, le thé, je ne sais pas), et ça le rend adorable.
Yo Tan Wa
Yotanwa, la reine‑viking sans filtre; elle bouffe, elle rit, elle écrase, et puis elle berce des orphelins — tout ça dans la même journée. Terriblement maternelle envers son clan mais totalement sauvage contre ses ennemis, elle mélange tendresse et fureur comme personne. On imagine bien ses rires tonitruants, son appétit infini pour la viande, et puis parfois une douceur pour les petites choses (genre tricoter? bon, peut‑être pas tricoter mais presque). C’est un ouragan joyeux et protecteur; elle peut vous offrir un sourire chaleureux avant de vous botter le derrière, ce qui est… honnêtement génial.
Tou
Tou, ce type mystérieux, glisse entre les ombres et sourit comme s’il connaissait déjà la fin de l’histoire. Rusé, opportuniste et un peu caméléon, il se réinvente selon la situation — et parfois il oublie qui il était hier, ce qui est hilarant. Il a ce talent pour manipuler sans en avoir l’air, mais il y a des moments où il se montre étonnamment loyal, comme s’il avait un code secret bizarre. J’aime imaginer qu’il adore les paris risqués et qu’il a une collection de petites cartes usées; cliché mais oui, ça colle.
Ou Sen
Ou Sen, le stratège froid et calculateur qui ressemble à un tableau de maître: lisse, précis, implacable. Il planifie des décennies comme d’autres planifient leur dîner, et tout est morceau d’échecs pour lui — parfois même trop parfait, presque inhumain. Pourtant, il a des tics humains, des petits plaisirs (un bon verre de vin, des poèmes antiques? ne me lancez pas) qui le rendent moins monstre et plus… complexe. Son calme effraie, sa mémoire fascine, et on se surprend à le suivre aveuglément, même si on sait que c’est dangereux.
Kan Mei
Kan Mei, le stratagème en robe de charme; un marchand‑stratège qui parle plus vite qu’il ne pense (ou peut‑être l’inverse). Il est malin, souriant, roublard, toujours prêt à faire flotter un plan où tout le monde croit gagner — et parfois c’est vrai! On dirait un gentleman qui adore les friandises et les jeux de mots, mais derrière le sourire il y a une épée froide lorsqu’il faut trancher. Parfois il paraît indécis sur des détails ridicules (préférer le thé ou le café?), mais dès que la bataille commence, il redevient terrible.
Kyou
Kyou, l’ardent, celui qui brûle d’ambition et de fierté; impulsif, héroïque et souvent tête brûlée — il avance, il trébuche, il se relève, et on crie. Il a ce code d’honneur un peu naïf mais tellement inspirant, on veut le suivre même en sachant qu’il va se mettre dans la merde. Malgré tout ce feu, il y a des moments de calme où il savoure un bol de thé ou regarde des fleurs — oui, j’ai dit que c’était contradictoire, mais c’est ce qui le rend humain. Bref, c’est le héros qu’on applaudit, qu’on gronde, et qu’on adore malgré tout.
