À propos du Uma Musume: Pretty Derby en quelques mots:

Uma Musume: Pretty Derby est une série animée japonaise qui suit l’histoire de filles chevaux anthropomorphiques, appelées Uma Musume, qui aspirent à devenir des championnes de courses de chevaux. L’histoire suit l’entraînement et les compétitions de ces filles, ainsi que leur vie quotidienne en tant qu’adolescentes. La série est basée sur un jeu mobile populaire au Japon et est connue pour son animation fluide et sa bande sonore entraînante. Elle a également été adaptée en manga et en roman. La série a été diffusée pour la première fois en avril 2018 et a depuis connu un grand succès auprès des fans d’anime et de sports.

Découvrez les personnages d’Uma Musume : Pretty Derby

Seiun Sky

Seiun Sky donne cette impression de calme olympien — genre toujours posé, toujours en contrôle, même quand tout part en vrille. Elle a ce côté mystérieux mais pas froid, plutôt « j’observe et je comprends » — oui, un peu prof tout doux, mais en courant vite. Parfois elle parle comme si elle racontait une légende et la seconde d’après elle rigole pour rien, j’adore ce contraste. Petit détail inutile mais mignon: elle collectionne des pins bizarres, je jure que c’est vrai (ou pas).

Air Groove

Air Groove, la reine de l’élégance, sérieux, très classe, un brin théâtrale — on la voit arriver et paf, tout devient chic. Elle peut être vraiment distante mais elle cache un cœur tendre qui donne des conseils comme une grande sœur un peu snob, tu vois le genre. Parfois elle dit des choses hyper directes et hop elle rougit cinq secondes après, contradiction totale mais tellement humain. Et oui, elle aime le thé, ou le café, ou les deux — selon son humeur (ou la météo).

Special Week

Special Week, oh là là, l’éternelle optimiste, la bonne copine qui veut tout donner pour son rêve, franchement adorable et un peu naïve parfois. Elle déborde d’énergie et d’idées, se lance tête baissée et apprend en route — cœur pur, maladroite mais tenace. J’ai l’impression qu’elle a une recette secrète pour un curry parfait qu’elle ne partagera jamais (ou alors elle oublie de le dire immédiatement). Elle t’encourage sans arrêt, et parfois elle pleure d’émotion à la moindre victoire, oui c’est très contagieux.

Mejiro McQueen

Mejiro McQueen, pure classe anglaise (ou japonaise-élégante?), hyper polie, perfectionniste et un peu distante — elle est du genre à corriger ta posture gentiment. Sous cette robe impeccable, il y a un compétiteur féroce qui ne lâche rien, mais voilà, elle a aussi des petites manies comme parler aux plantes, vrai ou faux je ne sais plus. Parfois elle semble froide, parfois elle offre des biscuits maison; les deux, évidemment. Et puis elle a ce rire très discret, comme un secret bien gardé.

Tokai Teio

Tokai Teio, explosion de joie et d’énergie, le genre qui crie « on y va ! » avant même d’avoir entendu le plan — tellement vivant, impossible de l’ignorer. Elle est hyper attachante, un peu tête en l’air, mais d’une loyauté sans faille, et OMG elle se relève toujours. Parfois trop confiante, parfois elle doute, c’est un yo-yo d’émotions, mais toujours vrai, toujours sincère. Ah et elle adore chanter à des moments complètement incongrus, souvent faux, toujours adorable.

El Condor Pasa

El Condor Pasa, tout de suite on pense « classe froide » avec un soupçon de mystère sud-américain (ou est-ce juste moi?). Elle est ultra concentrée, incisive dans sa course, et possède un charisme sec qui fait tourner les têtes. Pourtant, et c’est bizarre mais attachant, elle adore regarder des nuages et parfois s’endort en lisant des romans sentimentaux — contraste total. Elle sait mettre de la distance quand il faut, mais quand elle s’ouvre un peu, elle devient étonnamment douce.

King Halo

King Halo, petit mais tellement malin — le roi farceur qui adore embêter tout le monde (gentiment), avec ce grand sourire presque trop fanfaron. Il joue des tours, il fait des blagues, mais attention: il ne perd jamais le fil de la course, étonnamment stratégique. Parfois il a des accès de sérieux royal (oui oui), et parfois il prétend détester les sucreries alors qu’on l’a déjà vu en planquant des biscuits. C’est le type qu’on reprend cinq fois mais qu’on adore quand même, indomptable.

Grass Wonder

Grass Wonder, stature imposante et calme, un roc sur la piste — solide, fiable, un peu taciturne mais incroyablement protecteur. Il a ce regard qui dit « je gère » et pourtant il s’énerve pour des choses ridicules comme une chaussure mal lacée, allez comprendre. Parfois il se prend pour un philosophe, parfois il met du métal à fond en s’étirant, oui c’est contradictoire mais tellement lui. J’aime l’idée qu’il collectionne des fleurs séchées (ou bien des tickets de concert?) — ça le rend humain.

Taiki Shuttle

Taiki Shuttle, sérieux et un peu stoïque, mais très déterminé, le genre qui planifie tout dans sa tête comme un stratège. Il inspire confiance, parle peu mais quand il parle c’est précis, et il a ce côté « vétéran fiable » qui rassure l’équipe. Paradoxalement, il a des petites habitudes bizarres — il fredonne des trucs spatiaux la nuit? — et ça casse un peu l’austérité, j’aime ça. Il peut paraître froid au premier abord, et puis boom, il te tend la main et tout va mieux.

Silence Suzuka

Silence Suzuka, ah la foudre silencieuse — élégante, rapide, presque irréelle quand elle fonce, on a l’impression qu’elle glisse sur l’air. Elle parle peu, choisit ses mots, mais ses actes frappent fort; très digne, très solitaire, parfois presque fragile dans son intensité. De temps en temps elle sourit comme si elle gardait un trésor secret, et d’autres fois elle disparaît pour une sieste mystique (vraiment, je crois). Ses contradictions la rendent fascinante: à la fois inaccessible et étrangement proche.