À propos du Higehiro en quelques mots:

Higehiro est une série animée qui suit l’histoire de Yoshida, un employé de bureau qui se retrouve à héberger une jeune lycéenne, Sayu, chez lui. Sayu a fui sa maison et voyage à travers le Japon pour échapper à son passé difficile. Alors que Yoshida essaie de l’aider, il commence à développer des sentiments pour elle. La série explore les thèmes de l’amitié, de l’amour et du traumatisme, avec des moments émotionnels et des rebondissements inattendus.

Découvrez les personnages de Higehiro

Asami Yuuki

Asami, c’est la fille qui a l’air super posée et organisée mais qui, sérieusement, peut perdre ses clés toutes les cinq minutes — oui, elle est responsable et oui, parfois elle panique pour un sachet de thé. Elle tient souvent la baraque quand les autres deviennent dramatiques, un peu la colonne vertébrale tranquille du groupe, mais attention elle sait aussi lâcher des répliques piquantes quand il le faut. J’adore qu’elle ait ce petit côté « je gère tout » tout en cachant une passion bizarre pour les comédies sentimentales moyenâgeuses (ou c’était des mangas? je mélange toujours). Bref, fiable avec des défauts charmants, Asami est le genre de personne qui te rappelle de payer tes impôts et qui te donne un biscuit en souriant.

Airi Gotou

Airi explose de peps, c’est la collègue colorée qui parle fort et commande des cafés même à 22h — elle est bruyante mais pas du tout insupportable, plutôt réconfortante, vous voyez? Derrière le maquillage et les playlists funky, il y a quelqu’un de terriblement loyal et étonnamment perspicace (elle remarque des détails que personne d’autre ne voit). Elle adore les tendances, juge un peu tout le monde (gentiment), et collectionne des tasses à chat alors qu’elle prétend détester les animaux, haha. En gros, Airi c’est le soleil du bureau qui peut aussi te rappeler d’être honnête avec toi-même, parfois en criant.

Sayu Ogiwara

Sayu est ce personnage cassé mais tellement vrai, hyper réservé·e, méfiant·e au début et puis—bam—tu te rends compte que c’est juste une pile d’émotions super profonde. Elle est débrouillarde, un peu sauvage, adore les jeux vidéos et peut cuisiner quelque chose de fantastique à partir de presque rien (ou le brûler complètement, selon son humeur). Le truc le plus poignant, c’est sa façon d’alterner entre silence total et explosions d’honnêteté brutale; on dirait qu’elle choisit ses mots comme des armes ou des cadeaux. Franchement, elle est le cœur de l’histoire: douloureuse, drôle, imprévisible, parfois terriblement contradictoire, et toujours humaine.

Yuzuha Mishima

Yuzuha c’est la nana qui marche comme si elle possédait la ville — confiance 100%, bottes pointues et commentaires acerbes inclus. Elle balance des sarcasmes et pourtant, attends, elle est prête à tout pour ses amis, même à faire des trucs ridicules pour les sauver (genre conduire toute la nuit, ou envoyer un message à 3h du mat). Elle aime les potins mais pas les conflits sérieux, et a un sens du style blasé qui te fait croire qu’elle n’a jamais essayé, alors qu’en fait elle planifie tout à la minute près. C’est un cocktail explosif: charmeux, blessé et super protecteur, parfois contradictoire et toujours divertissant.

Yoshida

Yoshida, le fameux salaryman — maladroit, tenace, un peu paumé dans sa vie mais pourvu d’un cœur énorme, on en ferait un ourson en peluche si on pouvait. Il parait banal au début: boulot-boulot, bière le soir, mais il a une patience surprenante et des principes très simples qui finissent par le définir comme quelqu’un de rare. Il oublie parfois les anniversaires (ou est-ce qu’il les célèbre deux fois?), mais se souviendra toujours de la chanson préférée de quelqu’un ou de la façon dont ils aiment leur riz. En résumé: classique, imparfait, étonnamment héroïque sur la durée, et bourré de petites habitudes bizarres (collection de tasses? plantes mortes? je me souviens plus).

Hashimoto

Hashimoto a ce regard sérieux genre « je classe tes dossiers avant de t’éliminer », mais en vrai elle est douce à sa manière — très efficace, un peu froide, mais elle a un côté maman-sardine (oui, je sais, ça ne veut rien dire, mais vous voyez l’idée). Elle est méthodique, ne supporte pas le désordre et pourtant garde des post-it partout, comme une religieuse du rappel (c’est-à-dire: productive et légèrement obsessionnelle). Parfois elle lâche une blague nulle et tout le monde est surpris parce que ce n’est pas son registre, alors on rit plus fort. En bref: pro, secrètement bon cœur, et probablement la personne à appeler quand tout part en vrille (après Yoshida, ou avant, dépend des jours).