À propos du Golden Kamuy en quelques mots:

Golden Kamuy est une série animée qui suit l’histoire de Saichi Sugimoto, un ancien soldat de l’armée japonaise qui se rend en Hokkaido à la recherche d’or pour financer les soins de la femme de son ami décédé. Il rencontre alors Asirpa, une jeune fille aïnou, qui lui apprend à survivre dans la nature sauvage et à chasser. Ensemble, ils partent à la recherche d’un trésor caché en suivant les indices laissés sur des tatouages sur la peau de prisonniers de guerre. Cependant, ils ne sont pas les seuls à vouloir mettre la main sur ce trésor et devront faire face à de nombreux dangers et adversaires.

Rencontrez les personnages de Golden Kamuy

Tokushirou Tsurumi

Tsurumi, oh là là, c’est le type qui vous charme avec un sourire presque trop poli pendant qu’il manigance la fin du monde — lieutenant manipulative, cerveau sans scrupules et sourire cassé (oui, l’œil qui cligne tout le temps, creepy mais fascinant). Il a l’air calme, presque professoral, mais sous la cravate c’est un chaos calculé; il adore les plans sur le long terme et jouer aux échecs avec des humains. Parfois on jure l’entendre rire comme un gamin — et la minute d’après il est glaçant, froid comme du métal. Il collectionne les petites contradictions, genre gourmet discret qui aimerait aussi casser des crânes, bref, personnage aimant à la folie.

Yoshitake Shiraishi

Shiraishi, aka le roi de l’évasion, c’est le petit roublard qui fuit tout ce qui bouge mais s’en sort toujours — franchement adorable et branlant, un peu clown mais utile au fond. Il parle fort quand il est nerveux, aime se vanter puis diriger une fuite comme si c’était la chose la plus normale du monde, et il a ce talent incroyable pour se retrouver au bon endroit au mauvais moment. Parfois têtu, souvent lâche, et pourtant il a un courage qui apparaît quand il faut, comme par magie. Ah et il adore les bijoux ridicules, sauf quand il les perd, ce qui arrive souvent.

Toshizou Hijikata

Hijikata, le légendaire Shinsengumi réincarné en mercenaire tenace — sérieux, inflexible, code d’honneur vieux comme la montagne, et un regard qui dit « on ne me la fait pas ». Il dirige avec poigne, boit peut-être trop, et a des principes bizarres sur la loyauté (parfois trop stricts pour survivre dans ce monde). Il peut être dur comme la pierre mais cache une nostalgie pour un Japon disparu — oui, il sourit parfois en pensant à des souvenirs poussiéreux, surprenant. Fait étrange: il aime la propreté extrême, même si sa vie est un chaos permanent, allez comprendre.

Hajime Tsukishima

Hajime, taciturne et fiable, le soldat qui n’a pas besoin de crier pour se faire respecter — discret, observateur, souvent celui qui sent le danger avant les autres. Il a ce côté « je protège les miens » qui le rend hyper attachant, mais aussi une colère sourde qui jaillit quand on pousse trop loin (attention). Il parle peu mais quand il parle c’est tranchant, et parfois on le surprend à faire des choses étonnamment tendres, comme cuisiner pour l’équipe — sérieux, il sait faire un bouillon incroyable. Il mélange pragmatisme et petites folies personnelles, du genre collectionner des boutons usés, donc oui, humain et compliqué.

Saichi Sugimoto

Sugimoto, le fameux « Immortel », c’est la simplicité brutale mais pleine de cœur — soldat infatigable, loyal au bout des doigts et prêt à tout pour tenir une promesse. Il a une force de dingue et un optimisme râpeux, toujours prêt à courir vers l’inconnu en jurant que ça ira (même si ça sent le roussi). Il peut être direct, presque rustique, mais il a des gestes d’une douceur rare, du genre prendre soin d’un blessé comme d’un frère. Et fun fact improbable : il a une obsession bizarre pour les omelettes — je sais pas pourquoi, mais ça colle.

Hyakunosuke Ogata

Ogata, sniper fantôme, regard de verre, et intelligence froide comme un scalpel — on ne sait jamais vraiment de quel côté il est, et c’est ça qui fait peur. Calculateur, professionnel, parfois philosophe de salle d’attente, il tire sans trembler et rit encore moins, mais il a des moments où il semble presque mélancolique, ce qui le rend plus intrigant. Il collectionne les silences comme d’autres collectionnent les timbres, et il peut être étonnamment poli avant de tirer. Petites bizarreries : il adore les puzzles (comme quoi tirer, c’est un hobby très concentré).

Genjirou Tanigaki

Tanigaki, grand costaud au cœur d’or et à la bêtise parfois charmante, le type sur qui tu comptes quand tout part en vrille — il tape fort, il rit fort, il pleure peut-être un peu trop (je vous jure). Loyal jusqu’à la moelle, compagnon de beuverie et d’arcade, il a un sens de l’humour très terre-à-terre et une tendresse inattendue pour la culture aïnou (il apprend des mots, parfois faux, et ça le rend adorable). Il gesticule beaucoup quand il raconte une histoire et parfois se trompe de nom en parlant de quelqu’un — mais on l’aime pour ça. Il a une odeur de tabac et de soupe de poisson, vraie vie, vraie chaleur.