À propos du Kaichou Wa Maid Sama en quelques mots:

Kaichou Wa Maid Sama est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Misaki Ayuzawa, la présidente du conseil étudiant d’un lycée mixte qui se transforme en maid dans un café pour gagner de l’argent. Cependant, son secret est découvert par un de ses camarades de classe, Takumi Usui, qui commence à la taquiner. Au fil de la série, Misaki et Takumi développent une relation complexe et amusante, tout en naviguant dans les défis de leur vie quotidienne. La série est remplie de moments comiques, de romance et d’action, et est un incontournable pour tous les fans d’anime.

Découvrez les personnages de Kaichou wa Maid‑sama

Takumi Usui

Takumi, putain, ce mec, c’est l’énigme ambulante — charmant, surdoué et tellement infuriant quand il te fait des clins d’œil comme si la vie était un jeu. Il est glacial d’un côté, incroyablement protecteur et collant de l’autre, et il te dira qu’il s’en fiche alors qu’il note tout (vraiment tout, même la couleur de tes chaussettes, je te jure). Il a ce côté “je suis parfait sans effort” mais parfois il mange des gâteaux comme si personne ne regardait (ok, peut-être qu’il cache une boîte de biscuits dans sa veste). Bref, la star sexy et mystérieuse qui t’énerve et te fascine en même temps, et qui, oui, rougit parfois — si si, ne le dites pas trop fort.

Misaki Ayuzawa

Misaki c’est la boss, la fille qui te remet en place et que tu respectes instantanément — dure au travail, ultra-organisée, et prête à casser des mâchoires pour défendre quelqu’un. Elle tient le café-maid en secret (quelle ironie, haha) et elle se bat contre les clichés, mais elle a un faible énorme pour les choses mignonnes qu’elle n’avouera jamais, jamais. Elle peut être froide comme la glace un matin d’hiver et fondre comme un bonbon au soleil dès qu’on la touche du doigt (non, je dramatise un peu, mais vous avez compris). En tout cas, c’est la leader qui inspire, qui s’énerve, qui craque et qui revient toujours plus forte — et qui, secret bonus, rate parfois une recette malgré son sérieux.

Aoi Hyōdō

Aoi, c’est la copine douce et un peu excentrique qui apporte toujours une boîte de pâtisseries et un sourire un peu fou — elle adore la bouffe, les t-shirts kitsch et faire des collages bizarres. Elle a ce mélange de naïveté adorable et de lucidité surprenante (elle te balance une remarque qui te cloue sur place puis rigole comme si de rien), et honnêtement je la trouve irrésistible pour ça. Parfois elle parle trop fort, parfois elle chuchote comme si elle partageait un secret cosmique; elle oublie des détails, mais jamais un anniversaire. Bref, la copine chaleureuse et légèrement chaotique qui rend les journées moins grises (et qui, oui, a un chapeau ridicule qu’elle adore).

Sōtarō Kanō

Kano, c’est le prince élégant avec une aura un peu distante, genre “je suis poli, cultivé et je lis des romans roses à midi” — classe, sportif et mystérieux à la fois. Il a ce sourire mesuré qui fait fondre les filles mais, surprise, il peut s’énerver comme un champion quand les choses dépassent les bornes (ne le mettez pas en colère, vraiment). Il aime les choses raffinées mais il a des hobbies bizarres, genre collectionner des porte-clés ou apprendre des recettes improbables à 3h du matin (qui l’eût cru?). En gros, le parfait mélange de raffinement et de touches humaines humiliantes et adorables — un peu comme un thé très corsé avec une cuillère de confiture.

Shōichirō Yukimura

Yukimura est le type sympa, loyal et un chouïa maladroit qui te fait fondre parce qu’il ne joue pas de rôle, il est juste vrai — généreux, un peu naïf parfois, mais d’une gentillesse incroyable. Il sourit tout le temps ou presque, adore encourager les autres et a un sens de l’humour un peu décalé (souvent il rit avant que la blague ne soit finie, ce qui est charmant). Il cuisine parfois de façon hasardeuse (résultat inégal, mais on aime quand même), il oublie les prénoms et il se rattrape en offrant un gros sandwich. En résumé, le copain fidèle, plein de bonne volonté et d’imperfections attendrissantes — genre tu restes calmé rien qu’en le regardant galérer avec un tablier trop grand.