À propos du Hyouka en quelques mots:

Hyouka est une série animée japonaise qui suit l’histoire d’un lycéen nommé Houtarou Oreki. Il est un garçon paresseux qui préfère ne pas gaspiller son énergie sur des choses inutiles. Cependant, sa vie change lorsqu’il rejoint le club de littérature classique et rencontre une fille nommée Eru Chitanda. Ensemble, ils résolvent des mystères et des énigmes en utilisant leur intelligence et leur perspicacité. La série est remplie de moments comiques, de personnages intéressants et d’intrigues captivantes qui gardent les téléspectateurs en haleine jusqu’à la fin.

Découvrez les personnages de Hyouka

Hotaro Oreki

Oreki, c’est le type qui semble toujours économiser son énergie comme si chaque respiration coûtait cher — posé, flegmatique, parfois un peu trop blasé, et pourtant terriblement efficace quand il se met enfin à réfléchir. Il râle, il soupire, il dit qu’il ne fait rien mais résout les énigmes avec une précision froide (et oui, il a ce côté « j’aimerais bien mais bon » qui te rend à la fois inquiet et admiratif). Il aime visiblement le calme, le thé, les coins sombres, et… peut-être des onigiri ? (Je jure qu’il a un paquet de snacks caché quelque part.) Bref, un génie paresseux et contradictoire, ce héros qui semble ne vouloir sauver le monde que par accident.

Eru Chitanda

Chitanda, c’est l’énergie concentrée dans un petit corps — curieuse au possible, les yeux qui brillent, ce fameux « je veux savoir » qui te transperce le cœur et te fait craquer immédiatement. Elle est gentille et intense, un peu naïve parfois, mais déterminée comme pas deux, et elle a le don de tirer Oreki hors de son placard d’apathie sans même essayer (ou plutôt en essayant beaucoup). Elle adore les détails mignons, collectionne des petites choses sans grande logique et peut être étonnamment maladroite quand elle est excitée; aussi, je suis presque sûr qu’elle garde des biscuits dans son sac pour les urgences émotionnelles. En un mot : adorable, obsessionnelle, et totalement irrésistible — bon, j’exagère, mais à peine.

Satoshi Fukube

Satoshi, c’est le bavard charmant, le pote encyclopédie qui te balance des faits improbables à la seconde et qui te fait rire mais parfois te pique un peu (gentiment) — il aime jouer le rôle du « savoir » mais ça cache des trucs plus profonds, tu le sens. Toujours souriant, un peu taquin, il adore les jeux de mots, les énigmes faciles et collectionner des anecdotes comme d’autres collectionnent des timbres; il te dira que tout est « data » et tu vas presque le croire. Il est sociable à l’extrême, mais parfois on sent chez lui une pointe d’insécurité qui le rend humain — ou est-ce juste un effet de sa voix trop joyeuse ? Quoi qu’il en soit, un type lumineux avec des couches.

Mayaka Ibara

Mayaka, c’est la fille franche, un peu râleuse, hyper compétente et terriblement fidèle, surtout quand il s’agit de défendre ce qu’elle aime — elle adore le manga, dessine des trucs intenses et jure souvent (gentiment) quand les choses ne vont pas comme elle veut. Elle a un côté serré, presque sévère, mais se révèle douce et têtue quand c’est nécessaire; oh et elle peut être incroyablement organisée et complètement bordélique la semaine suivante, va comprendre. Elle sait dire ses quatre vérités sans fioritures mais fond dès qu’elle voit un geste sincère; parfois un peu sauvage, parfois très affectueuse — contradictoire, mais honnêtement c’est ça qui la rend attachante.