À propos du Angels of Death en quelques mots:

Angels of Death est une série animée qui suit l’histoire de Rachel, une jeune fille qui se réveille dans un sous-sol sombre et lugubre. Elle rencontre un tueur en série nommé Zack, qui lui promet de la tuer si elle l’aide à s’échapper. Ensemble, ils traversent les différents étages du bâtiment, affrontant des ennemis et découvrant les sombres secrets qui se cachent derrière leur captivité. La série explore des thèmes tels que la folie, la vengeance et la survie, et est remplie de rebondissements inattendus tout au long de l’intrigue.

Découvrez les personnages d’Angels of Death

Rachel Gardner

Rachel, c’est ce mélange bizarre entre une enfant posée et une âme qui veut… partir? Elle a ce calme glaçant, toujours à noter des détails, à sourire sans raison et à dire des choses qui vous restent dans la tête — parfois tellement douce que tu veux la protéger, parfois tellement déterminée que tu flippes un peu. Elle adore les douceurs (ou pas, je jure qu’une fois elle a rejeté un cookie, puis l’a volé cinq minutes après), et il y a toujours cette impression qu’elle sait plus de choses qu’elle ne le laisse paraître. Rien ne semble la surprendre vraiment, mais parfois elle éclate de rire pour aucune raison et tu te demandes si elle pleurait juste avant.

Isaac Foster

Zack — ou Isaac, appelez-le comme vous voulez — c’est le tueur au grand coeur, littéralement un bulldozer avec des ciseaux, hurlant et riant en même temps; il est chaotique et terriblement loyal. Il adore le bruit fort (musique, cris, tout ce qui gronde), mais il s’arrête net pour une phrase gentille de Rachel, et là il devient presque pataud, c’est trop mignon et flippant. Il a des tics bizarres, un sens de l’humour très mauvais et peut être à la fois hyper violent et incroyablement protecteur, genre un ours qui tricote en secret — ok, peut-être pas tricote, mais vous voyez l’idée. Parfois il fait des choses surprenantes, comme s’intéresser à un film romantique (oui, moi non plus je ne m’y attendais pas).

Daniel Dickens

Daniel, c’est le type qui ressemble à un vieux spectacle de magie raté, tout en costume, sourire forcé et yeux qui observent trop longtemps; il adore les jeux psychologiques et les petits tests tordus. Il cause comme un conteur malsain, on dirait qu’il récite des comptines pour enfants mais en version cauchemar — charmant, non? Il peut être à la fois si poliment cruel et étrangement théâtral, et parfois, pour une raison inconnue, il s’attendrit devant un jouet cassé, ce qui casse tout le tableau. Honnêtement, on ne sait jamais si on doit lui rire au nez ou lui demander conseil, et c’est ça qui le rend fascinant.

Edward Mason

Edward est ce type posé, presque clinique, qui donne l’impression d’avoir toujours une cigarette qu’il n’allumera jamais (ou alors si, parfois, mais c’est mystérieux). Il est réfléchi, calme, parfois sarcastique, et il aime cataloguer les choses — listes, notes, tout ce bazar organisé — mais il peut fondre en larmes devant un coucher de soleil, ce qui te prend par surprise. Il est souvent pragmatique à l’extrême mais pas dépourvu d’humour (sec, noir, genre tu souris malgré toi), et il joue parfois les mentors quand personne ne le demande. Il a des habitudes bizarres, genre collectionner de petits cailloux, et je jure que la moitié du temps tu te demandes s’il complote ou s’il dort juste beaucoup.

Catherine Ward

Catherine, c’est la fausse gentillesse emballée dans un sourire trop parfait; elle est méticuleuse, élégante et on sent qu’elle aime les règles — enfin, ses règles. Elle peut être douce comme une berceuse et, la seconde d’après, froide comme un miroir cassé; attention, manipuler Catherine c’est comme jouer avec une poupée qui a des couteaux cachés (romantique, hein). Elle a un faible pour la cuisine (ou alors elle prétend aimer cuisiner — parfois ses plats sont délicieux, parfois immangeables, allez savoir), et elle garde toujours un carnet où elle note des choses, parfois des listes de personnes à surveiller. Franchement, elle te donne l’impression d’avoir un plan pour tout, sauf pour ses moments de faiblesse où elle ricane bêtement devant une vieille chanson.

Abraham Gray

Abraham est l’énorme présence silencieuse qui te met à l’aise et te fout la trouille en même temps; grand, solide, souvent taciturne mais étonnamment empathique. Il a ce côté protecteur genre “je te porte si tu tombes” mais il peut aussi être franchement brutal quand on le cherche — pas toujours subtil, mais efficace. Il aime des trucs calmes comme arroser des plantes (oui, un géant qui parle aux plantes, ça marche), et parfois il est d’une douceur presque paternelle, parfois il te menace avec un silence pesant — très bipolaire, dans le bon sens. Je jure qu’il a une boîte de biscuits qu’il cache et qu’il partage seulement si tu racontes une bonne histoire; il paraît romantique, non?)