À propos du Over the Garden Wall en quelques mots:

Over the Garden Wall est une série d’animation américaine créée par Patrick McHale. L’histoire suit deux frères, Wirt et Greg, qui se perdent dans une forêt mystérieuse appelée The Unknown. Ils rencontrent de nombreux personnages étranges et doivent trouver un moyen de rentrer chez eux. La série est sombre et mystérieuse, avec une ambiance de conte de fées et une animation magnifique. Elle a été acclamée par la critique pour son histoire captivante et sa direction artistique unique. Over the Garden Wall est une série incontournable pour les fans d’animation et de fantastique.

Découvrez les personnages d’Over the Garden Wall

Wirt

Wirt, c’est ce grand mélodrame ambulant avec un bonnet rouge qui se prend pour un poète quand il doit juste traverser un champ (vraiment, il parle comme s’il rédigeait une lettre à un roi — dramatique mais adorable). Il est anxieux, excessivement prudent et en même temps il devient étonnamment courageux au moment crucial, comme si quelqu’un appuyait sur un bouton « bravoure » sans prévenir. Il a des manières un peu guindées, adore faire de grands discours (qu’il oublie parfois au milieu), et il joue de la clarinette ou d’un instrument qui ressemble à une clarinette, mais pas toujours, c’est flou. Bref, il te tire des yeux ronds et des soupirs, il est gênant et sincère et on le protège malgré lui (ou à cause de ses cookies imaginaires).

Gregory

Gregory, c’est l’ouragan de joie: hypercurieux, hyperactif, il mange tout (et je dis bien tout — y compris des trucs bizarres) et trouve des trésors dans des boîtes de conserve vides. Il traîne son crapaud comme un talisman/animal de compagnie superstar, invente des chansons qui restent en tête et a cette naïveté qui frôle parfois le génie sans le vouloir. Il est insouciant au possible, capable d’oublier le danger en deux secondes mais aussi de lâcher une phrase d’une sagesse improbable au pire moment. Parfois il est étonnamment logique, parfois il confond une carte avec une serviette — ça dépend de l’humeur du vent, honnêtement.

Beatrice

Beatrice, oh la piaf sarcastique la plus fabuleuse — elle a un sens de la répartie qui claque, t’en as une dans la face et cinq répliques dans la tête après. Elle râle tout le temps, critique sans pitié, et pourtant elle protège Wirt et Greg comme une grande sœur qui a mangé trop de livres (et peut-être un peu de chocolat). Ancienne humaine transformée en oiseau, elle prétend qu’elle s’en fiche mais garde des petites choses qui trahissent un cœur mou (un pendentif planqué, un regard qui reste), donc oui elle est contradictoire et c’est parfait. Elle est pragmatique, cultivée, et quand elle se met à faire de l’humour noir on rit et on pleure en même temps — elle a ce talent d’être blessante et tendre à la fois.