À propos du Blue Period en quelques mots:

Blue Period est une série animée japonaise qui suit l’histoire d’un lycéen nommé Yatora Yaguchi, qui aspire à devenir un artiste de renom. Alors qu’il est sur le point de passer son examen d’entrée à l’université, il découvre sa passion pour la peinture et décide de poursuivre cette voie. La série suit son parcours alors qu’il s’efforce de trouver sa propre voix artistique, tout en naviguant dans les défis de la vie d’artiste et en faisant face à la pression de ses parents pour qu’il poursuive une carrière plus conventionnelle. La série explore également les thèmes de l’amitié, de l’ambition et de la créativité.

Découvrez les personnages de la période bleue

Yatora Yaguchi

Yatora, c’est le TOUT-LE-COEUR du groupe, l’étudiant qui a découvert l’art comme on découvre une drogue douce et cruelle à la fois. Il est hyper appliqué, obsédé par la progression (les nuits blanches, les retouches, les listes de tâches — oui oui), mais aussi super maladroit socialement, parfois tendu comme un ressort et puis deux secondes après il rigole pour rien. Il veut tout comprendre, tout démonter et tout refaire, amoureux du processus plus que du résultat (même s’il aime bien les compliments, chut). Ah et il bouffe des ramens à 3h du matin comme si c’était une méditation sacrée, ou alors il saute le dîner — dépend de la semaine.

Ryuji Ayukawa

Ryuji, wow, elle est genre le pilier tranquille qui a l’air blasée mais qui protège tout le monde sans faire de bruit. Son trait est précis, presque chirurgical, mais elle peut aussi faire des éclaboussures sauvages, c’est contradictoire et parfait. Elle parle peu, juge beaucoup (gentiment), et a des goûts musicaux bizarres pour quelqu’un d’aussi stoïque — jazz à minuit, peut-être du punk à 8h, qui sait. Et petite manie : elle garde toujours un crayon derrière l’oreille, même quand elle a les cheveux courts, oui je sais ça sonne cliché mais c’est vrai.

Yotasuke Takahashi

Yotasuke, c’est le showman excentrique qui met de la couleur partout (vraiment, même sur ses chaussettes), il adore la théorie mais il la transforme en spectacle, you know. Il est théâtral, sincère, très bavard — il va vous faire un exposé sur la symbolique des teintes ET finir par danser sur sa propre présentation, parce que oui. Derrière le glamour il y a une vraie vulnérabilité, il prend les critiques comme des coups mais rebondit avec style; il est compétitif ET artisanal, ce qui est drôle. Oh et il a un rituel bizarre de toujours goûter une tomate avant d’entrer en exam (ne me demandez pas pourquoi).

Haruka Hashida

Haruka est la calme studieuse qui organise tout sauf ses émotions (elle a un carnet pour les deux, probablement). Son travail est doux et réfléchi, des compositions subtiles, un peu poétique, et elle est du genre à recommencer une toile cinquante fois jusqu’à l’obsession — oui, perfectionniste mais avec une sensibilité franche. On la voit toujours avec une écharpe (sauf l’été, évidemment) et elle mâche parfois du chewing-gum pendant qu’elle peint, ce qui est totalement contradictoire mais mignon. Et elle a ce rire discret qui arrive sans prévenir et qui fait fondre la pièce, ok je suis partial.

Maki Kuwana

Maki est ambitieuse, super pointue, elle pense déjà en termes d’expo et de portfolio, très pro (ou du moins elle le prétend). Elle a une précision presque froide dans le trait, aime les lignes nettes, les compositions calculées, mais secret : elle pleure devant certains films, oui, elle peut être imprévisible émotionnellement. Elle est parfois piquante avec les autres parce qu’elle veut les pousser à être meilleurs (méthode pas toujours sympa), et elle déteste perdre — alors elle prépare des plans d’avance, ça la rassure. Petit détail random : elle collectionne des cuillères du monde entier, ne me demandez pas d’où vient cette obsession.

Maru Mori

Maru c’est le phénomène attachant à la voix forte, l’ami bruyant qui fait des blagues douteuses mais qui a un cœur énorme, vous voyez le type. À la peinture il est impulsif, il aime les grands gestes, des coups de pinceau épiques, mais il est aussi capable d’un petit détail incroyablement délicat, genre surprise. Il va vous proposer un snack (toujours) et vous convaincre de peindre une fresque sur le mur de la cafet’ à 2h du mat, puis il fera semblant de regretter — ou pas. Et il a une collection de t-shirts trop petits qu’il porte fièrement, ce qui est physiquement inquiétant mais narrativement adorable.