À propos du Record Of Ragnarok en quelques mots:

Record of Ragnarok est une série animée qui suit l’histoire d’un conseil divin qui décide de détruire l’humanité. Pour sauver leur race, les humains sont invités à participer à des combats de mort contre les dieux. Les combattants humains sont choisis parmi les plus grands guerriers de l’histoire, tels que Jack l’Éventreur, Léonidas et Adam, le premier homme. La série suit les combats épiques entre les humains et les dieux, qui ont chacun leurs propres pouvoirs et capacités. La série est remplie d’action, de drame et de moments émotionnels intenses qui gardent les téléspectateurs sur le bord de leur siège.

Découvrez les personnages de Record of Ragnarok

Adam

Adam, c’est l’archétype du premier homme — fier, pur et carrément poignant, tu sens le mythe à dix kilomètres. Il a une présence simple mais écrasante, genre « je suis humain » avec un sourire qui peut tout chambouler. En combat il devient presque religieux, pas forcément dans le bon sens, plutôt obsédé par la perfection — on l’adore pour ça et on a peur aussi. Petite anecdote inutile: il aime les pommes (évidemment), mais parfois il dévore un énorme sandwich comme si de rien n’était ; contradictions, you know.

Kojiro Sasaki

Kojiro c’est la zenitude incarnée, l’air de rien, le garde-fou discret qui tranche avec une économie de gestes hallucinante. Il parle peu, mais chaque mot claque comme un haïku; parfois on jurerait qu’il médite entre deux assauts (peut-être qu’il le fait vraiment, allez savoir). Il donne l’impression de ne rien vouloir, puis bam, il t’envoie une leçon d’honneur qui te retourne. Fun fact: il ferait un super chef minimaliste (ou alors il est incapable de cuisiner, les témoignages divergent), mais quelle classe.

Jack The Ripper

Jack c’est l’ombre, la folie froide et l’intelligence qui fait peur — élégant, sinistre et presque sarcastique parfois. Il te charme avec un sourire et te déconstruit ensuite, c’est terrible et fascinant à la fois. Il est maniéré, aime les détails, la précision; il aime le mystère plus que les gens, sauf quand il ne peut pas s’empêcher d’avoir une petite tendresse bizarre (oui, oui, il aime aussi… les gâteaux ?!). Contradictoire, effrayant, passionnant — bref, Jack est un personnage qu’on n’oublie pas.

Zeus

Zeus, c’est le roi tonitruant, le type qui entre en criant « moi » et qui te foudroie avec le sourire. Majestueux, explosif, passionné — et un brin dramatique, mais bon, c’est le lot des dieux. Il adore le festin, la grandeur, et en même temps il peut être étonnamment soumis à ses émotions (oui, le seigneur de l’Olympe a ses coups de tête). Oh et truc drôle: il peut prêter une oreille royale ou porter des tongs, selon l’humeur — c’est le chaos organisé, et on kiffe.

Buddha

Buddha est la calme absolue en version lumineuse, genre sourire éternel et paix intense, mais attention il n’est pas juste une statue zen. Il a une profondeur incroyable et une façon de déstabiliser l’adversaire sans crier — tout en te renvoyant à toi-même, un classique. En arène il montre qu’être pacifique n’est pas synonyme de faiblesse (spoiler: il est redoutable quand il veut). Et oui, détail marrant: il paraît qu’il boit parfois du café noir — qui l’eût cru? — mais il reste imperturbable.

Heracles

Heracles c’est la force brute avec un grand cœur, le type qui rit fort, dévore tout sur son passage et te sauve la mise en trois secondes. Il est rustre mais attendrissant, un peu bulldozer émotionnel: quand il aime, il aime fort, quand il se fâche, bon courage. Il a un appétit monstrueux (pour la viande, la vie, les doigts dans le nez), mais ne le prenez pas pour un simple bagarreur — il a de la noblesse. Petit truc contradictoire: il déteste les brocolis, puis en redemande si on lui cache la sauce, allez comprendre.

Brunhilde

Brunhilde est la stratège, la chef qui n’a pas d’égal — froide et calculatrice en surface, mais attention, elle ressent tout et très fort. Elle porte la responsabilité comme une cape et gère les Valkyries avec une poigne douce-amère; parfois elle est ultra sévère, parfois hyper maternelle, c’est ce contraste qui la rend captivante. Elle a un côté très cérémonieux (amour du détail, musique, symboles), et pourtant elle peut s’empiffrer de bonbons en cachette — oui, vraiment. Bref, elle inspire la loyauté et le frisson simultanément.

Shiva

Shiva, wow, c’est la danse et la destruction, le calme cosmique qui se transforme en tempête gracieuse — tout en simultanéité, littéralement. Il est d’une concentration chirurgicale, élégant dans sa violence, et étonnamment rieur parfois (rire profond comme un gong). Il aime le rythme, la transe, et il y a cette idée qu’il maîtrise tout, même si de temps en temps il adore semer le chaos juste pour voir la réaction (petit sadisme artistique?). Anecdote bizarre: il prétend adorer les salades, mais on le voit souvent se resservir de curry, allez savoir.

Göll

Göll, la discrète qui frappe fort, voilà le résumé rapide — stoïque en public, incroyablement loyale en privé. Elle fume un peu le silence et le porte comme une armure, mais quand elle sourit (rarement), c’est comme si tout s’éclairait. Elle suit l’honneur et parfois ça la rend intransigeante, parfois très tendre, et il y a quelque chose de très fragile sous la carapace. Petite touche étrange: elle garde un doudou secret (non, sérieux) et raconte des blagues nulles au bon moment, ce qui la rend terriblement humaine.