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Qui es-tu dans Death Parade en fonction de tes préférences alimentaires ?

Si vous êtes fan de l'anime Death Parade, vous connaissez sûrement l'univers particulier de ce monde après la mort. Dans cet univers, les âmes des défunts sont jugées en fonction de leurs actions passées. Mais saviez-vous que vos préférences alimentaires peuvent également influencer votre destinée dans ce monde étrange ? C'est pourquoi nous avons créé ce quiz amusant pour découvrir qui vous seriez dans Death Parade en fonction de vos goûts culinaires. Êtes-vous plutôt sucré ou salé ? Aimez-vous les plats épicés ou préférez-vous la nourriture douce ? Répondez à ces questions et découvrez votre véritable personnalité dans Death Parade. Alors, êtes-vous prêt à commencer le quiz ? Cliquez sur le bouton Commencer ci-dessous et découvrez votre destinée culinaire !

Bienvenue au quizz: Qui es-tu dans Death Parade en fonction de tes préférences alimentaires ?

À propos du Death Parade en quelques mots:

Death Parade est une série animée japonaise qui suit les histoires de deux personnages mystérieux, Decim et Chiyuki, qui travaillent dans un bar appelé Quindecim. Leur travail consiste à juger les âmes des morts et à décider si elles doivent être envoyées au paradis ou en enfer. Les clients du bar doivent participer à des jeux et révéler leur véritable nature, ce qui permet à Decim et Chiyuki de prendre leur décision. Cependant, les choses se compliquent lorsque Chiyuki commence à remettre en question les méthodes de Decim. La série explore des thèmes tels que la moralité, la vie et la mort, et la nature humaine.

Découvrez les personnages de Death Parade

Clavis

Clavis, oh là là, ce type est un mystère bureaucratique avec un costume impeccable et des chaussures trop brillantes, toujours prêt à sortir un formulaire comme on sortirait un couteau—mais en fait il sourit souvent, genre un sourire qui veut tromper. Il gère l’administration des arbitres et sait tout (ou croit savoir tout), mais parfois il oublie où il a mis ses propres clés, va savoir. Il a ce côté un peu paternel mais un peu sinistre, et je jure qu’il collectionne les timbres ou les cuillères ou les parchemins — je sais plus exactement, c’est confus mais c’est mignon. Bref, officieux mais efficace, on le méprise et on l’adore en même temps.

Decim

Decim, le barman stoïque, calme comme un lac gelé et pourtant avec des émotions qui bougent en dessous (oui, il finit par s’en rendre compte, allez). Il parle peu, tranche les décisions comme un pro — et il a cette façon toute posée de mesurer la justice, comme si tout était une recette de cocktail très precise. Secret bonus : il a un faible pour les gâteaux (ne le dites pas), et il est étonnamment maladroit avec les petites ficelles sociales. En gros, c’est le type qu’on croit sans cœur et qui vous surprend toujours par un geste doux quand on s’y attend le moins.

Chiyuki

Chiyuki, la douce humaine qui traîne dans l’ombre du bar et qui rend tout plus humain — littéralement, elle rappelle que les gens sont plus que leurs fautes. Elle est timide mais résolue, avec un sens de la curiosité qui revient toujours, et parfois elle rit toute seule quand elle pense à des nouilles (oui, les nouilles, elle A-DO-RE, ou peut-être c’est du riz, là encore flou). Elle porte un poids immense mais elle peut aussi être incroyablement simple et drôle, un peu comme si un rayon de soleil portait des baskets. Franchement, elle est la preuve qu’un personnage calme peut exploser de couleurs quand on gratte la surface.

Nona

Nona, la diva administrative, grande gueule, costume rose pétant (ou peut-être vert?), elle dirige tout comme une organisatrice de mariage cosmique. Elle parle fort, bouge vite, exige tout et pourrit aussi un peu les plans des autres juste pour le fun — mais attention, elle a un cœur caché qui fait des confettis. Elle adore les cupcakes ou peut-être les merguez, j’ai un doute, mais elle a toujours une idée et un dossier classé par couleurs, probablement. En résumé : tyran adorable qui ferait pleurer de rire un scanner d’âme.

Mayu Arita

Mayu Arita est l’humaine un peu maladroite avec une détermination qui surprend — genre elle trébuche sur sa propre confiance mais se relève en criant « bon sang » avec style. Elle a des petites manies étranges comme toucher les boutons d’ascenseur trois fois et collectionner des tickets de métro, mais aussi une loyauté qui la rend dangereuse pour quiconque la sous-estime. Parfois ultra pragmatique, parfois complètement rêveuse (oui, les deux), et elle peut exploser en colère aussi vite qu’elle sourit. Elle est vivante, confuse et terriblement réelle, ce qui la rend impossible à ignorer.

Quin

Quin, l’artiste silencieux/obsédé par la beauté et la souffrance, fout le bordel dans les règles avec un sourire énigmatique — elle sait plus de choses que vous et en parle comme si c’était banal. Elle a un sens esthétique tordu : aime la symétrie mais adore casser les verres pour le drame, ou quelque chose comme ça; j’ai l’image mais pas la notice. Elle est douce-amère, mystérieuse et incroyablement cool, genre tu la vois une seconde et hop ta journée est réarrangée. Franchement, elle joue au chat et à la souris avec la morale et on l’adore pour ça.

Oculus

Oculus, la silhouette omnisciente (et un peu flippante), c’est l’œil qui voit tout, ou du moins qui semble voir tout — parfois il parle comme un narrateur vieux film, parfois comme un serveur sarcastique. Il se balade dans les coulisses, tire des fils, note des détails que personne d’autre ne remarque (oui, même la couleur de ton écharpe en 2007), et il a une manie bizarre pour les puzzles ou la télévision — je confonds tout mais c’est charmant. Sa présence est à la fois lourde et fascinante; il te fait sentir petit et important à la fois. Bref, il est énorme sans être encombrant — un mystère roulé en manteau.

Ginti

Ginti, l’arbitre grincheux et théâtral, il rugit, fait des menaces et prépare des pièges comme s’il mettait la table pour un dîner de famille — très élégant mais carrément sadique parfois. Il aime les règles (trop), a un code personnel bizarre et adore l’idée de justice comme un jeu de stratégie; je te jure qu’il a une collection de montres ou de gants (ou les deux?). Malgré tout ce grognement, il a des failles, des petites secondes où il est presque… humain, ou peut-être juste distrait, c’est flou. En résumé : grandiloquent, dangereux, un peu sentimental sous ses airs cassants — parfait pour les scènes dramatiques.