À propos du Mirai Nikki en quelques mots:

Mirai Nikki est une série d’anime qui suit l’histoire de Yukiteru Amano, un lycéen solitaire qui passe son temps à écrire dans son journal intime sur son téléphone portable. Un jour, il découvre que son journal prédit l’avenir et qu’il est impliqué dans un jeu mortel où douze personnes possédant des journaux similaires doivent s’entretuer pour devenir le nouveau dieu de l’univers. Yukiteru est aidé par une fille nommée Yuno Gasai, qui est amoureuse de lui et prête à tout pour le protéger. La série est remplie de suspense, de violence et de retournements de situation inattendus.

Découvrez les personnages de Mirai Nikki

Yukiteru Amano

Yukiteru, oh mon dieu, ce garçon timide qui parle à son journal comme s’il était son meilleur pote — c’est à la fois adorable et légèrement inquiétant, non ? Il est maladroit, anxieux, toujours en train d’observer plutôt que d’agir, mais quand la pression monte il trouve parfois une force que personne n’attendrait (sérieusement, qui aurait cru). Il a ce côté “je veux rester invisible” mais en même temps il s’accroche à ses principes comme une moule à son rocher. Franchement, il passe son temps à se contredire — calme un instant, hyper panique l’instant d’après — et on l’adore pour ça.

Yuno Gasai

Yuno est l’archétype même de la fille folle-amoureuse (dans le meilleur et le pire sens), complètement dévouée et terriblement dangereuse, avec un sourire qui te glace et des yeux qui brillent d’une intensité… wow. Elle est protectrice, possessive, mais il y a une douceur bizarre sous toute cette obsession, des moments presque sincères qui te brisent le cœur — ou qui te font flipper, selon ton mood. Elle planifie tout, manipule tout, et pourtant parfois elle laisse transparaître une vulnérabilité enfantine (oui, je sais, elle dort peut-être avec un couteau, mais bon). C’est la reine du “je t’aime à mort” et du “je tue pour toi”, un cocktail explosif et fascinant à la fois.

Aru Akise

Aru, le détective en herbe avec trop de confiance et un cerveau qui carbure à 200%, il garde toujours une longueur d’avance et il est agaçant dans le bon sens — on veut l’encourager et le taper en même temps. Il est logique, perspicace, et incroyablement curieux; il décortique chaque indice comme un gosse avec un nouveau jouet, mais peut aussi se montrer étrangement sentimental (si si, parfois il s’adoucit, genre un peu). Il a un sens de la justice assez fort, parfois au détriment de son propre confort, et il adore résoudre des mystères même quand ça devient dangereux. Bref, c’est le pote brillant que tu veux de ton côté quand tout part en cacahuète.

Tsubaki Kasugano

Tsubaki est douce et gentille, mais y a toujours un truc triste et un peu obsessionnel sous la surface — elle veut juste être aimée, voilà, mais ça tourne vite au dramatique. Elle a cette énergie candide, presque naïve, et parfois elle est terriblement maladroite socialement (genre, “je vais tout arranger” et ça empire tout), mais on sent qu’elle essaie vraiment. Elle peut être surprenante dans sa détermination — très calme puis boum, elle fonce — et honnêtement c’est troublant et émouvant en même temps. On lui pardonne tout parce qu’on sent qu’elle souffre, et parce que, eh bien, elle a ce regard un peu perdu qui te cloue.

Minene Uryu

Minene, la terroriste qui te fait rire et te fout la trouille tout à la fois — elle est sarcastique, indépendante et complètement badass, genre “je veux la liberté coûte que coûte” avec des explosifs et un sourire narquois. Elle a une faiblesse pour les idées justes (oui, elle a des principes étranges) et cache parfois un cœur plus tendre que ce qu’elle laisse paraître — surprise ! — surtout quand elle s’attache à quelqu’un. Elle jure comme un charretier et parle cash, mais il y a des moments où elle devient presque maternelle, c’est bizarrement cohérent. Bref, c’est la rebelle intelligente qui te rend fière et inquiète en même temps.

Keigo Kurusu

Keigo est l’archétype du flic zélé mais complètement perdu dans ses propres contradictions — il veut faire respecter la loi mais parfois il est tellement aveuglé par ses émotions qu’il oublie de respirer. Il est ambitieux, énergique, très dramatique (vraiment, il aime les grandes entrées) et en même temps il cache une douleur familiale pas possible derrière un sourire forcé. Parfois il paraît héroïque, d’autres fois un peu grotesque, mais toujours passionné; il se bat pour ce qu’il croit juste, même si c’est maladroit. On le trouve parfois exagéré, mais il a ce charme tragique qui colle bien à l’histoire.

Kamado Ueshita

Kamado est la leader cool et bizarrement maternelle d’un groupe de kids — elle gouverne avec une logique un peu folle, mais étonnamment efficace, et on sent qu’elle adore avoir le contrôle (et peut-être un gâteau à la main). Elle est charismatique, parfois manipulatrice, mais toujours avec style; elle a ce don pour rassembler les gens, même si ses méthodes sont discutables. Il y a une vraie chaleur dans son approche, genre “je suis dure mais je tiens à vous”, et puis elle a des hobbies étranges comme collectionner les poupées ou organiser des goûters royaux, je jure que c’est canon. Bref, chef assumée, un peu reine, un peu maman — mélange détonant.

Reisuke Hojo

Reisuke, le type mystérieux et insaisissable qui t’énerve parce qu’il ne montre jamais toutes ses cartes — il a ce côté loup solitaire, discret mais incroyablement efficace. Il a une loyauté surprenante et une froideur qui te donne envie d’en savoir plus (et aussi un peu peur), et puis il est genre super pragmatique, pas de sentimentalités inutiles. Il garde des secrets, il sourit peu, mais quand il agit tu sais que c’est réfléchi et précis; il n’est pas là pour les drames gratuits. En résumé: énigmatique, classe et un poil dangereux, le mec qu’on adore et qu’on ne comprend jamais totalement.

Muru Muru

Muru Muru est adorablement flippante — genre petit démon de bureau sarcastique qui note tout et qui a des tics trop mignons (ou trop creepy, selon la journée). Elle sert Deus mais a sa propre personnalité pétillante et parfois très exaspérante : elle parle comme une enfant, boude, râle, puis te file des infos vitales comme si de rien n’était. Elle adore les choses sucrées (ou peut-être qu’elle déteste le sucre, attendez je sais plus), et elle garde toujours un carnet bizarre où elle écrit des trucs que personne ne comprend vraiment. Bref, elle est légère en apparence mais ne sous-estimez jamais une petite entité bureaucratique en colère.

Deus Ex Machina

Deus est l’entité ultime, genre dieu des journaux de la mort, et pourtant il a une obsession presque enfantine pour les règles et les jeux — c’est à la fois grandiose et ridiculement bureaucratique. Il crée les jeux, manipule les joueurs, et laisse ensuite les choses se dérouler avec une sorte d’ironie cosmique; il est omnipotent sauf quand il se prend un peu trop au sérieux (et parfois il râle comme un professeur grincheux). Il est distant mais curieux, parfois cruel, parfois étrangement fasciné par l’humanité — oui c’est contradictoire, c’est ce qui fait son charme. En gros c’est le maître du jeu impitoyable qui porte peut-être une tasse de thé invisible, et on le déteste-amours.