À propos du DanMachi en quelques mots:

DanMachi, également connu sous le nom de Is It Wrong to Try to Pick Up Girls in a Dungeon?, est une série d’animation japonaise qui suit les aventures de Bell Cranel, un jeune aventurier qui rêve de devenir le plus grand héros du monde. Dans un monde fantastique rempli de monstres, de dieux et de magie, Bell doit naviguer dans un donjon dangereux tout en faisant face à des défis et des ennemis redoutables. Avec l’aide de ses amis et alliés, Bell doit surmonter les obstacles et atteindre son objectif ultime. La série est remplie d’action, d’aventure et de romance, et est un favori des fans de l’anime.

Découvrez les personnages de DanMachi

Asterius

Asterius, sérieux, massif et un peu comme sorti d’un mythe, c’est le type qu’on remarque dans une pièce sans vraiment savoir pourquoi — la présence, voilà. Il est brutalement efficace au combat, mais y’a ce truc presque doux parfois, comme s’il gardait des secrets tendres (ou peut-être juste des sandwiches, qui sait). Il grogne beaucoup, rit rarement, et pourtant on jurerait qu’il a un sens de l’humour tordu — probablement sur des choses que personne d’autre ne comprend. Bref, fascinant et un peu effrayant, mais pas méchant, non, juste… très intense.

Revis

Revis, oh là là, elle a cette énergie effervescente — un peu papillon, un peu bibliothécaire de taverne, toujours prête à papoter ou à filer une info bizarre. Parfois elle semble fragile, puis pof, elle te surprend par une répartie ou une compétence improbable (cuisine? crochetage? gestion de monstres? tout à la fois, apparemment). J’adore qu’elle ne se prenne pas trop au sérieux et qu’elle garde des habitudes étranges comme collectionner des étiquettes ou noter les goûts de tout le monde. En clair: pétillante, imprévisible, et capable de garder un secret ou de le vendre au plus offrant — dépend de son humeur.

Ais Wallenstein

Ais c’est la lame silencieuse, impressionnante et froide comme une nuit claire — la guerrière parfaite, presque trop calme pour être normale. Elle dégomme les monstres avec une précision clinique et puis elle disparaît dans l’ombre, peut-être pour manger quelque chose de simple (viande? poisson? un snack mystérieux, oui). Il y a une sorte de noblesse mélancolique chez elle, comme si elle cherchait quelque chose qu’elle ne trouve pas — ou qu’elle oublie parfois où elle a posé son épée, ha. Franchement, c’est l’archétype de la badass réservée mais qui, au fond, pourrait fondre devant un chiot.

Ottar

Ottar, c’est le grand gaillard barbu qu’on imagine toujours avec une chope à la main et une légende incompréhensible en tête — parlé fort, rire encore plus fort. Il est un peu sauvage, peut être un peu rustre, mais tu sens direct qu’il est fidèle comme pas possible (même si parfois il oublie pourquoi il est fidèle ou à qui, petit trou de mémoire). Il aime les grandes histoires, les grandes batailles et, apparemment, les tartes (oui, les tartes; il a des goûts surprenants pour un type pareil). En somme: brute au cœur tendre, et un peu clown romantique quand on y pense.

Alfia

Alfia donne l’impression d’être une mère poule mais version exploratrice — pleine de savoirs pratiques, un peu sévère et totalement dévouée à son clan/famille/équipe (on n’est jamais très sûr des frontières, haha). Elle organise tout: rations, plans, emplois du temps et parfois des débats passionnés sur la meilleure façon de faire cuire les racines. Paradoxalement, elle peut être terriblement tête en l’air sur un détail sentimental (soudainement émue pour une raison obscure) et en même temps implacable en stratégie. J’aime son côté à la fois rationnel et totalement humaine — elle est brillante mais oublie parfois où elle a mis ses lunettes.

Zald

Zald, personnage un peu excentrique, mi-artisan mi-poète; il pourrait passer toute une nuit à polir une lame puis écrire un haïku dessus, et tu ne serais même pas surpris. Il a des manières bizarres — collectionne les clous, parle aux armes (ou aux plantes?), et arbore des goûts musicaux douteux, mais ça marche pour lui, haha. C’est le genre à râler sur la qualité d’un repas puis secrètement en cuisiner un ultime plat pour réparer la honte. En résumé: touche-à-tout farfelu, talent caché et cœur énorme, et oui, il a probablement une recette secrète pour quelque chose.

Albert Waldstein

Albert, ah, le noble charismatique avec un sourire un peu trop brillant — élégant, posé, toujours impeccable, mais il y a une étincelle de compétition dans le regard. Il parle avec assurance, te donne des conseils un peu pompeux et, surprise, il peut aussi pleurer devant une peinture (ou bien c’est une coupure d’oignon? on n’est pas sûrs). Il aime l’honneur, l’ordre et les beaux couverts, mais il peut se dévoiler en riant comme un gamin devant une farce bien faite. Bref: charmeur, sérieux quand il faut, et terriblement humain quand il baisse la garde — parfois trop parfait pour être totalement sincère, ou pas.