À propos du My Happy Marriage en quelques mots:

“Mon Mariage Heureux”, également connu sous le nom de “Watashi no Shiawase na Kekkon”, est une série animée chargée d’émotions qui tisse habilement l’histoire de Miyo Saimori, une jeune fille prisonnière des attentes sociales et de la négligence familiale. Alors que la protagoniste navigue à travers les complexités de son enfance sans amour et de la perspective d’une alliance matrimoniale intimidante, la série dévoile un récit poignant, révélant que parfois, les liens les plus inattendus peuvent devenir notre salut. Avec en toile de fond des capacités psychiques, des jeux de pouvoir familiaux et des émotions brutes, la série met en avant le pouvoir transformateur de l’amour et de la compréhension.

Découvrez les personnages de Mon Mariage Heureux

Kiyoka Kudou

Kiyoka, c’est la fille ultra-organisée qui a toujours un carnet sur elle — et qui oublie ses clés dans le frigo, oui vraiment. Très protectrice, un peu têtue, elle mène tout d’une main ferme mais fond devant un chien (ou devant un croissant, selon la journée). Elle a ce regard décidé qui dit «je gère», puis dans la minute suivante elle s’effondre en éclats de rire pour une blague nulle; c’est adorablement humain. Et puis elle collectionne des cartes-postales anciennes, comme si chaque ville lui murmurait un secret — parfois elle noircit les bords avec du thé, pourquoi pas.

Miyo Saimori

Miyo est douce comme une tasse de thé chaud, toujours prête à écouter et à offrir un pansement émotionnel — littéralement, elle tient un kit dans son sac. Attention, douceur ne veut pas dire mollesse: elle cache une force tranquille et des décisions surprenantes quand il le faut, jure que c’est vrai. Elle adore cuisiner pour les autres (surtout des gâteaux qui ne ressemblent pas toujours à des gâteaux, mais c’est l’intention qui compte), et parfois elle est terriblement mystérieuse sur son passé — pas dramatique, juste… enveloppé dans du papier soyeux. Ah, et elle chante sous la douche comme si personne ne l’entendait, sauf que si, tout le monde l’entend.

Hana

Hana, c’est l’explosion de couleurs: rires forts, blagues foireuses, et une énergie qui te recharge — ou te fatigue, selon l’heure. Elle est profondément loyale, dramatique à souhait et capable de tenir une conversation sérieuse cinq minutes après avoir raconté une anecdote sur un pigeon héroïque. Paradoxalement, elle adore les romans mélancoliques, pleure à la fin et puis commande une glace en courant; émotionnalisme organisé? Peut-être. Petite manie: elle note tout dans des Post-it multicolores, puis les colle au frigo en forme de cœur (ou de gribouillis abstrait).

Yurie

Yurie est l’énigme silencieuse du groupe — calme, calculatrice parfois, mais d’une compassion tranchante quand il le faut. On dirait la personne qui observe d’abord, frappe ensuite; elle a ce talent pour voir les petites fissures chez les autres et proposer des solutions bizarres mais efficaces. Elle tricote quand elle est nerveuse (et oui, elle peut finir une écharpe en deux jours si le stress monte), et elle a un tatouage discret que personne n’ose demander à voir — sauf les curieux. Bref, mystérieuse mais fiable, un peu froide à l’extérieur, molleton chaud à l’intérieur, un bon combo.

Yoshito Gudou

Yoshito est calme comme un lac un matin de printemps, mais sous la surface bouillonne un romantique secret qui collectionne de vieilles affiches de cinéma — et des poèmes griffonnés sur des tickets de bus. Il parle peu, choisit ses mots comme des pierres précieuses, et quand il sourit c’est tout un monde qui se dévoile (le sourire rare est plus efficace que mille conversations). C’est le genre à préparer un dîner simplissime mais parfait, tout en fredonnant une chanson d’enfance; paradoxalement, il déteste les petits discours, mais adore écrire des lettres longues et maladroites. Ah et il pêche, pas seulement le poisson; parfois il «pêche» des moments, des silences, des instants qui deviennent précieux.

Sumi Usuba

Sumi, quelle boule d’excentricité! Elle change de couleur de vernis comme d’humeur et parle en métaphores incompréhensibles mais hyper poétiques — on rit, on est un peu perdu, et on l’aime pour ça. Super créative, ultra-désorganisée, mais elle sait exactement où est son pinceau préféré (même si le pinceau est dans le congélateur, oui). Elle adore les chats — même si elle est probablement allergique — et colle des étoiles phosphorescentes partout, même sur des objets improbables. Bref: chaos artistique ambulant, mais d’une cohérence intérieure déroutante.

Keiko

Keiko, c’est la pragmatisme incarné avec une touche de nostalgie; elle range, planifie, conseille, mais garde une boîte de souvenirs d’enfance qu’elle ouvre parfois pour le plaisir. Elle est la voix raisonnable du groupe, celle qui dit «oui mais…» avant de céder avec un sourire et une anecdote embarrassante (toujours la même anecdote, d’ailleurs). Elle aime les listes — et puis elle les ignore parfois, juste pour prouver qu’elle peut être spontanée, héhé. Surprise: elle a un faible pour les gadgets inutiles et collectionne des stylos qu’elle n’utilise jamais, c’est contradictoire et parfait.