À propos du Kaiju No. 8 en quelques mots:

“Kaiju No. 8” suit l’histoire de Kafka Hibino, qui acquiert la capacité de se transformer en kaiju après avoir ingéré une créature parasitaire. Ce nouveau pouvoir le propulse vers son rêve de rejoindre la Force de Défense Anti-Kaiju aux côtés de son amie d’enfance, Mina Ashiro. La série, qui se déroule dans un monde frappé par des attaques de kaiju, combine une action intense avec des moments d’humour et de camaraderie, alors que Kafka et ses alliés luttent pour protéger leur patrie.

Découvrez les personnages de Kaiju No. 8

Kafka Hibino

Kafka, c’est le gars qu’on a envie d’encourager dès la première minute — le type qui commence comme balayeur et qui rêve la nuit d’être dans la Defense Force (et le jour aussi, enfin sauf quand il fait la sieste). Il est étonnamment gentil, maladroit, drôle sans le vouloir, et en même temps complètement embrumé par ses propres transformations en Kaiju No. 8 — oui, le twist est kiffant et terrible à la fois. Il a ce côté “héros malgré lui” qui te fait sourire et qui te serre la gorge parfois, et il adore les nouilles (ou était-ce les onigiri? je confonds toujours). Parfois il paraît naïf mais il a des moments hyper lucidess; bref, un mélange qui claque et qui casse tout.

Reno Ichikawa

Reno, c’est le pote raisonnable qui a l’air carré mais qui a des secrets bizarres (collection de pins? un côté mélancolique, oui). Il est calme sur le front mais quand il s’énerve — attention — il devient hyper efficace, genre mécanique huilée; sérieux, c’est rassurant de l’avoir dans l’équipe. Il tique sur les règles mais les contourne parfois en douce, contradiction suprême, on dirait un bon samouraï moderne qui aime aussi les playlists emo à 3h du mat. Il est loyal à mort et a un humour sec qui te surprend toujours, je jure qu’il peut être sarcastique ET adorable en une phrase.

Kikoru Shinomiya

Kikoru est la petite prodige: ultra-stratégique, froide en apparence, mais en vrai elle garde des papillons dans le ventre (ou peut-être que ce sont juste des schémas tactiques, je sais plus). Elle parle avec précision, note tout, et a ce côté “je te calcule en un regard” qui te met en PLS mais aussi en confiance — tu veux qu’elle te sauve la vie. Paradoxalement, elle peut être adorablement enfantine sur un détail (peluche, thé, je te jure), ce qui la rend 1000x plus attachante et moins robotique. Son obsession pour l’efficacité est légendaire, mais elle râle aussi devant les films cucul, allez savoir pourquoi.

Mina Ashiro

Mina pète la classe: leader exigeante, légèrement intimidante, mais avec une loyauté énorme pour son équipe (et un penchant secret pour les desserts, chuut). Elle est du genre à t’engueuler pour te pousser à être meilleur, puis à t’offrir un café trois minutes après comme si de rien n’était — ambivalence parfaite. Très compétente au combat, style “je gère tout”, et pourtant parfois elle se laisse aller à des moments bizarres de tendresse qui te surprennent à chaque fois. Franchement, c’est la captain qu’on veut dans le dos quand ça chauffe, même si elle oublie parfois son parapluie (oui, vraiment).

Soushirou Hoshina

Hoshina a ce charme silencieux: stoïque, hyper précis, genre sniper émotionnel, mais avec un petit sourire en coin quand il relâche la pression (rare mais délicieux). Il est professionnel au possible, presque froid, et puis bam, il montre un truc doux — un chat, une plante, une anecdote d’enfance — et là t’as rien compris. Il inspire le respect sans essayer, il est efficace, parfois un peu mystérieux (mais dans le bon sens), et il pourrait te botter le train tout en t’offrant un biscuit après, sérieusement. On sent qu’il a un passé lourd mais il le porte avec retenue, ce qui le rend fascinant et un peu insaisissable.