À propos du Arcane en quelques mots:

Arcane est une série animée de science-fiction qui suit les aventures de deux sœurs orphelines, Jinx et Vi, dans la ville de Piltover. La ville est divisée en deux, avec les riches habitants vivant dans la partie haute et les pauvres dans la partie basse. Les deux sœurs sont impliquées dans une guerre de gangs et doivent naviguer dans un monde rempli de magie, de technologie et de complots politiques. La série explore des thèmes tels que la famille, la loyauté et la vengeance, tout en offrant des scènes d’action et des graphismes époustouflants.

Rencontrez les personnages d’Arcane

Vi

Vi, c’est la bastonneuse au grand cœur — gueule d’ange brisée mais poings en béton, tu vois le genre. Elle protège sa ville et les siens comme si c’était la seule chose qui compte, et en même temps elle fait des blagues nulles (vraiment nulles) quand tout part en vrille. Impulsive, loyale, capable de pleurer après un combat et de repartir au front cinq minutes plus tard, parfois elle dit qu’elle déteste les chapeaux mais on la surprend avec un bonnet ridiculement mignon. Elle a un rire trop fort qui file la chair de poule aux ennemis, et je jure qu’elle adore le thé froid — ou était-ce du cidre? Bref, Vi est pas compliquée et c’est pour ça qu’on l’aime.

Jayce

Jayce, le genius boy un peu coincé dans ses costumes impeccables, obsédé par les progrès et par prouver quelque chose au monde (et à lui-même), oui. Il est brillant, ambitieux, a des idéaux honnêtes mais parfois son ego marche un peu devant, faut le suivre. Toujours avec un outil à la main, fasciné par la nouveauté, et étonnamment sentimental quand il parle de son passé — ou alors il fait semblant, qui sait. Il collectionne des cravates (vraiment), et il a un côté maladroit qui le rend presque touchant quand il essaie d’être dur.

Silco

Silco est tordu dans le meilleur sens — calme, charismatique, dangereux, et terriblement convaincant; il a une vision et il la pousse jusqu’au bout. Père de substitution horrible et terriblement affectueux pour certains (oui, il cajole avec la même main qui menace), il sait être patient comme il sait être brutal, souvent les deux en même temps. Il fume comme un vieux film noir, aime les petites plantes (non, vraiment, il a une plante qu’il parle peut-être), et porte une loyauté tordue envers Zaun comme si c’était la sainte bible. Il inspire la peur et la dévotion, et parfois on se surprend à comprendre pourquoi les gens le suivent — puis on se dit non, pas toi non plus.

Viktor

Viktor, scientifique au cœur tendre et au cerveau en surchauffe, l’éternel chercheur qui calcule tout sauf ses propres émotions. Pragmatique, méticuleux, il adore les schémas et la symétrie mais peut soudainement lâcher une phrase surprenante et poétique (oui, c’est vrai, il a dit quelque chose qui ressemblait à de la poésie une fois). On le voit comme froid mais il est juste… concentré, parfois obsédé, parfois maladroit avec les gens — il préfère les machines, sauf quand il ne préfère pas. Il a un carnet où il note des trucs et des croquis minuscules, et je suis sûr qu’il parle à ses outils la nuit (ou pas, bon peut-être que je dramatise).

Mel Medarda

Mel, c’est la manipulatrice élégante en manteau de luxe — politique, charmeuse et toujours en train d’anticiper trois coups d’avance. Elle aime l’art et les salons, les discours et les secrets (surtout les secrets), et elle sourit comme si elle avait déjà gagné avant de commencer. Peut-être un peu mère-poule et un peu reine du jeu d’échecs, elle peut être tendre un instant et glaciale l’instant d’après; contrastes, partout. Elle collectionne des robes dramatiques et des alliances, adore la stratégie mais collectionne les macarons (oui, c’est cliché mais je la vois le faire).

Vander

Vander est le grand frère fatigué de Zaun — fort, réparateur d’âmes, qui a essayé d’offrir une vie meilleure et qui traîne une culpabilité énorme. Il est paisible mais avec une tempête dans le regard, protecteur à mort, et d’une sagesse parfois trop lourde pour lui. Il aime les chansons simples, sait réparer les choses (métaphores et vrais boulons), et a un rire voilé qui revient rarement mais quand il revient, ça fait du bien. Parfois il dit qu’il ne veut pas se battre — et puis il se bat quand même, allez comprendre, c’est humain et irrégulier.

Marcus

Marcus a ce sérieux de bureaucrate qui pense que tout est protocole, t’as l’impression qu’il range l’air autour de lui en dossiers. Il est carré, loyal à sa façon, fait respecter l’ordre (ou essaye), parfois drôle sans le vouloir, et il a ce regard qui juge mais qui comprend les complications. Peut-être un peu bourgeois dans l’âme mais pas complètement déconnecté, il boit son café trop fort et marmonne des lois comme des prières. Parfois il surprend par une gentillesse maladroite, alors on le déteste moins — ou on l’aime étrangement.

Hoskel

Hoskel, type costaud et discret, l’exécuteur qui parle peu mais qui sait achever une mission — loyal aux siens, dangereux pour les autres. Il a des cicatrices, un sourire rare, et une façon de regarder qui dit qu’il a vu trop de choses pour être naïf. Il est fidèle à son clan (même si parfois il soupire), il peut paraître cruel mais il a ses propres règles d’honneur, bizarres mais tenaces. Parfois il chante faux sous la douche (ok, peut-être j’invente, mais ça le rend humain), et il est plus complexe qu’il ne veut le paraître.

Sevika

Sevika, c’est la capitaine badass qui hurle et qui inspire la peur en même temps, une femme de poigne avec un sacré sens de l’humour noir. Elle dirige, elle punit, elle conseille — tout en étant étonnamment protectrice envers sa « famille » de rue, flic invisible du chaos. Elle adore les codes, les ordres clairs, et une bonne dose de brutalité quand nécessaire, mais elle peut aussi s’attendrir devant une table mal alignée (vraiment, allez savoir). Parfois elle parle comme si elle vendait un plan, parfois comme si elle récitait une légende, un peu théâtre, beaucoup efficace.

Caitlyn

Caitlyn est la tireuse d’élite qui a du sang de noblesse et une curiosité d’enquêtrice — précise, calme, implacable quand il le faut. Elle jongle entre les exigences de Piltover et son sens de la justice, et elle est plus douce qu’elle en a l’air (même si elle ne l’avouera jamais). Elle porte des bottes élégantes et un fusil qu’elle chouchoute comme une relique, et a cette mélancolie derrière les yeux qui te dit qu’elle a fait des choix douloureux. Parfois un peu rigide, parfois incroyablement empathique, elle marche sur une ligne fine et la tient avec classe.

Jinx

Jinx, oh la la, Jinx c’est le chaos incarné — électrique, fragile, explosive, et tellement imprévisible que ça fait froid dans le dos. Elle rit d’un rien, pleure pour des raisons confuses, et construit des machines juste pour le plaisir de voir les étincelles (et les bangs). Elle veut de l’amour mais le sabote en même temps, garde des jouets bizarres et parle à des trucs inanimés, et parfois on a l’impression qu’elle ne comprend même pas qu’elle fait mal — ou peut-être qu’elle s’en fiche, ou peut-être qu’elle pleure et sourit à la fois. Elle est géniale, terrifiante, insupportablement créative, et tu ne sais jamais si tu dois la prendre dans tes bras ou courir.